Après avoir chanté les psaumes,
ils partirent pour le mont des Oliviers.
(Marc 14, 26)...qui a fait de nous un royaume et des prêtres
pour son Dieu et Père, à lui, la gloire et la souveraineté pour les siècles des siècles.
Amen.
(Apocalypse 1, 6)Voilà pourquoi, je te le rappelle, ravive le
don gratuit de Dieu, ce don qui est en toi
depuis que je t’ai imposé les mains.
(2 Timothée 1, 6) Et pour la coupe, après le repas, il fit de même,
en disant : « Cette coupe est la nouvelle Alliance
en mon sang répandu pour vous.
(Luc 22, 20)Puis, ayant pris du pain et rendu grâce, il le rompit
et le leur donna, en disant : « Ceci est mon corps,
donné pour vous. Faites cela en mémoire de moi. »
(Luc 22, 19) Et, partant de Moïse et de tous les Prophètes,
il leur interpréta, dans toute l’Écriture, ce qui le concernait.
(Luc 24, 27)Maintenant mon âme est bouleversée.
Que vais-je dire ? “Père, sauve-moi de
cette heure” ? – Mais non ! C’est pour
cela que je suis parvenu à cette heure-ci !
(Jean 12, 27)Mais il s’est anéanti, prenant la condition de serviteur, devenant semblable aux
hommes. Reconnu homme à son aspect,...
(Philippiens 2, 7) Qui aurait cru ce que nous avons entendu ?
Le bras puissant du Seigneur, à qui s’est-il révélé ? Devant lui, le serviteur a poussé
comme une plante chétive, une racine dans
une terre aride ; il était sans apparence ni
beauté qui attire nos regards, son aspect
n’avait rien pour nous plaire. Méprisé,
abandonné des hommes, homme de
douleurs, familier de la souffrance, il
était pareil à celui devant qui on se
voile la face ; et nous l’avons méprisé,
compté pour rien. En fait, c’étaient nos
souffrances qu’il portait, nos douleurs
dont il était chargé. Et nous, nous pensions
qu’il était frappé, meurtri par Dieu, humilié.
Or, c’est à cause de nos révoltes qu’il a été
transpercé, à cause de nos fautes qu’il a été
broyé. Le châtiment qui nous donne la paix a
pesé sur lui : par ses blessures, nous sommes
guéris. Nous étions tous errants comme des
brebis, chacun suivait son propre chemin. Mais
le Seigneur a fait retomber sur lui nos fautes à
nous tous. Maltraité, il s’humilie, il n’ouvre pas
la bouche : comme un agneau conduit à l’abattoir,
comme une brebis muette devant les tondeurs, il
n’ouvre pas la bouche. Arrêté, puis jugé, il a été
supprimé. Qui donc s’est inquiété de son sort ?
Il a été retranché de la terre des vivants, frappé
à mort pour les révoltes de son peuple. On a placé
sa tombe avec les méchants, son tombeau avec les
riches ; et pourtant il n’avait pas commis de violence,
on ne trouvait pas de tromperie dans sa bouche.
Broyé par la souffrance, il a plu au Seigneur. S’il
remet sa vie en sacrifice de réparation, il verra une
descendance, il prolongera ses jours : par lui, ce qui
plaît au Seigneur réussira. Par suite de ses tourments,
il verra la lumière, la connaissance le comblera. Le
juste, mon serviteur, justifiera les multitudes, il se
chargera de leurs fautes. C’est pourquoi, parmi les
grands, je lui donnerai sa part, avec les puissants il
partagera le butin, car il s’est dépouillé lui-même
jusqu’à la mort, et il a été compté avec les pécheurs,
alors qu’il portait le péché des multitudes et qu’il
intercédait pour les pécheurs.
(Isaïe 53)