coeurtendre
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 | Sujet: Question/1/ Évangile de Jean/(6, 52-59)  Ven 18 Oct - 13:49 | |
| Questions 1/Évangile  "Comment cet homme peut-il nous donner sa chair à manger?" "C'est un dicton dur; qui peut l'écouter?""Voulez-vous aussi vous en aller?"
Chers frères et soeurs,
Vous savez que, depuis plusieurs dimanches, la liturgie a proposé à notre réflexion le chapitre six de l’Évangile de Jean, dans lequel Jésus se présente comme le "pain de la vie ... descendu du ciel", et il ajoute: "si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement; et le pain que je donnerai pour la vie du monde sera ma chair "(Jn 6, 51). Aux Juifs qui se disputaient avec ardeur, se demandant: "Comment cet homme peut-il nous donner sa chair à manger?" (v. 52) et le monde en discute toujours Jésus répond à chaque époque: "Si vous ne mangez pas la chair du Fils de l'homme et ne buvez son sang, vous n'avez pas de vie en vous" (v. 53). Nous aussi devons réfléchir pour savoir si nous avons vraiment compris ce message.
Aujourd’hui, le 21ème dimanche du temps ordinaire, Laissez-nous méditer sur la dernière partie de ce chapitre dans laquelle le quatrième évangéliste mentionne la réaction du peuple et des disciples eux-mêmes. Ils ont été choqués par les paroles du Seigneur au point qu'après l'avoir suivi jusque-là, ils se sont écriés: "C'est un dicton dur; qui peut l'écouter?" (v. 60). Après cela, "beaucoup de ses disciples se sont retirés et ne sont plus allés avec lui" (v. 66) et la même chose s'est produite maintes et maintes fois à diverses époques de l'histoire. On peut s'attendre à ce que Jésus cherche des compromis pour se faire mieux comprendre, mais il n'atténue pas ce qu'il dit.
Au contraire, il se tourne directement vers les Douze et leur demande: "Voulez-vous aussi vous en aller?" (v. 67). Ses paroles ont été telles qu’après l’avoir suivi jusque-là, ils se sont écriés: «C’est une parole dure; qui peut l’écouter? (v. 60). Après cela, "beaucoup de ses disciples se sont retirés et ne sont plus allés avec lui" (v. 66) et la même chose s'est produite maintes et maintes fois à diverses époques de l'histoire. On peut s'attendre à ce que Jésus cherche des compromis pour se faire mieux comprendre, mais il n'atténue pas ce qu'il dit. Au contraire, il se tourne directement vers les Douze et leur demande: "Voulez-vous aussi vous en aller?" (v. 67). Ses paroles ont été telles qu’après l’avoir suivi jusque-là, ils se sont écriés: «C’est une parole dure; qui peut l’écouter? (v. 60). Après cela, "beaucoup de ses disciples se sont retirés et ne sont plus allés avec lui" (v. 66) et la même chose s'est produite maintes et maintes fois à diverses époques de l'histoire. On peut s'attendre à ce que Jésus cherche des compromis pour se faire mieux comprendre, mais il n'atténue pas ce qu'il dit. Au contraire, il se tourne directement vers les Douze et leur demande: "Voulez-vous aussi vous en aller?" (v. 67). On peut s'attendre à ce que Jésus cherche des compromis pour se faire mieux comprendre, mais il n'atténue pas ce qu'il dit. Au contraire, il se tourne directement vers les Douze et leur demande: "Voulez-vous aussi vous en aller?" (v. 67). On peut s'attendre à ce que Jésus cherche des compromis pour se faire mieux comprendre, mais il n'atténue pas ce qu'il dit. Au contraire, il se tourne directement vers les Douze et leur demande: "Voulez-vous aussi vous en aller?".
Cette question provocante ne s'adresse pas seulement aux auditeurs de son temps, mais touche également les croyants et le peuple de toutes les époques. Aujourd'hui aussi, beaucoup sont "choqués" par le paradoxe de la foi chrétienne. L'enseignement de Jésus semble "difficile", trop difficile à accepter et à mettre en pratique. Ensuite, il y a ceux qui le rejettent et abandonnent Christ; il y a ceux qui cherchent à "adapter sa" parole à la mode de l'époque, en en déformant le sens et la valeur. "Voulez-vous aussi partir?" Cette provocation dérangeante résonne dans nos cœurs et attend une réponse personnelle de chacun; c'est une question adressé à chacun de nous. Jésus ne se contente pas d'appartenance superficielle et formelle, une première adhésion enthousiaste ne lui suffit pas; au contraire, il faut participer toute sa vie "à sa pensée et à sa volonté". Le suivre remplit nos cœurs de joie et donne tout son sens à notre existence, mais cela implique des difficultés et des sacrifices car nous devons très souvent nager à contre-courant.
"Voulez-vous aussi partir?" Pierre répond à la question de Jésus au nom des apôtres et au nom des croyants de tous les siècles: "Seigneur, à qui irons-nous? Tu as les paroles de la vie éternelle; et nous avons cru et appris que tu es le Saint de Dieu "(v. 68-69).
Chers frères et soeurs, nous aussi, nous pouvons et voulons répéter la réponse de Pierre, conscients de l'évolution de notre fragilité humaine, de nos problèmes et de nos difficultés, mais confiants en la puissance du Saint-Esprit qui s'exprime et se manifeste dans la communion avec Jésus . La foi est un don de Dieu à l'homme et, en même temps, la totale et libre confiance de l'homme en Dieu; la foi est docile en écoutant la parole du Seigneur qui est la "lampe" de nos pieds et une "lumière" de notre chemin (Ps 119 [118]: 105). Si nous ouvrons nos cœurs au Christ avec confiance, si nous nous laissons gagner par lui, nous pourrons aussi faire l'expérience, comme par exemple le saint Curé d'Ars, que "notre seul bonheur sur cette terre est d'aimer Dieu et savoir qu'il nous aime ". Demandons à la Vierge Marie de toujours garder en nous cette foi empreinte d'amour.
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