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 Sermon de Saint-Augustin/Sujet /L'enfant-prodigue/(Luc 15,11-32)/

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coeurtendre
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MessageSujet: Sermon de Saint-Augustin/Sujet /L'enfant-prodigue/(Luc 15,11-32)/   Sermon de Saint-Augustin/Sujet /L'enfant-prodigue/(Luc 15,11-32)/ Icon_minitimeSam 26 Juin - 14:15

Sermon de Saint-Augustin/Sujet /L'enfant-prodigue/(Luc 15,11-32)/ 4580313ee9ec88e7e24ad73974bcb8fb


L'enfant prodigue (Luc 15,11-32). - Cet homme qui a deux fils, c'est Dieu, père de deux peuples qui sont comme les deux branches de la race humaine, le peuple des hommes demeurés fidèles au culte d'un sent Dieu, et le peuple des idolâtres, qui abandonnèrent le Seigneur. Mais il faut remonter à l'origine de la création de l'homme pour approfondir cette histoire. Le fils aîné est le type de la fidélité au culte du vrai Dieu. Le plus jeune part pour une contrée lointaine. Il a demandé à son père la portion d'héritage qui lui revient. Telle est l'âme que la jouissance de son pouvoir a séduite. Son patrimoine, c'est-à-dire la vie, l'intelligence, la mémoire, la sublimité et la promptitude du génie, tous ces dons de la munificence divine sont plis à sa disposition par le libre arbitre; c'est pourquoi. «le père distribua son bien à ses enfants.» Le plus jeune partit pour un pays lointain. Il abusa des dons naturels, il abandonna son père, délaissant le Créateur pour se livrer à la jouissance des créatures. - Il est représenté, «peu de jours après rassemblant tout ses biens, et s'en allant dans une contrée lointaine.» C'est qu'en effet, peu de jours après la création du genre humain, l'âme, cette créature raisonnable, voulut être, par son libre arbitre, maîtresse absolue d'elle-même et de ses facultés, et se détacher de son Créateur pour s'appuyer sur ses propres forces. Mais plus elle s'éloigna de Celui qui était la source de sa vie, plus elle fut promptement épuisée. C'est pourquoi l'Evangile appelle une vie de débauche et d'excès la vie répandue et dissipée dans les pompes extérieures et vide au dedans: l'homme qui s'y livre poursuit les vanités qu'elle enfante, et abandonne Dieu qui est au dedans de lui. Cette région lointaine, c'est donc l'oubli de Dieu. La famine survenue dans ce pays, c'est la privation de la parole de vérité. 

L'habitant de la contrée désigne quelque prince de l'air, faisant partie de la milice de Satan. Sa maison de campagne figure le genre de pouvoir qu'il exerce, et les pourceaux les esprits immondes qui sont au-dessous de lui. Les Arrow cosses dont il nourrissait les pourceaux figurent les maximes du siècle, vides et sonores, dont retentissent les poèmes et les divers discours consacrés à la louange des idoles ou aux fables des dieux des Gentils, et qui font la joie des démons. C'est pourquoi ce jeune homme voulant se rassasier cherchait dans cette vile pâture un aliment qui fût substantiel et sain, et qui procurât le bonheur, et il ne le trouvait pas. De là cette parole: «Et personne ne lui en donnait.»

«Mais étant rentré en lui-même,» c'est-à-dire s'arrachant aux trompeuses illusions et aux entraînements; des vanités du monde extérieur et recueillant ses pensées dans l'intérieur de sa conscience, «combien de mercenaires, s'écrie-t-il, ont du pain en abondance dans la maison de mon père.» Comment ceci pourrait-il être connu de l'homme plongé, comme les idolâtres l'étaient, dans un si grand oubli de Dieu? Ces paroles ne désigneraient-elles point le réveil de l'âme à la prédication de l'Évangile. 

Arrow On vit alors en effet de nombreux prédicateurs de la vérité, parmi lesquels plusieurs étaient guidés, non par l'amour de la vérité elle-même, mais par le désir des avantages terrestres. C'est d'eux que l'Apôtre disait: Que plusieurs qui annoncent l'Évangile, ne le font pas avec pureté (Ph 1,17), faisant de la piété un trafic (1Tm 6,5). Ils ne prêchaient pas un autre Évangile comme les hérétiques, ils prêchaient l'Évangile de Paul, mais dans un autre esprit que celui de cet Apôtre. C'est pourquoi ils sont très justement appelés des mercenaires.

 Arrow Ils dispensent le même pain de la parole et dans la même maison, toutefois ils ne dont point appelés au céleste héritage, mais ils travaillent pour une récompense temporelle. C'est d'eux qu'il est dit . «En vérité, je vous le dis, ils ont reçu leur récompense (Mt 6,2).» 


Il s'écrie donc: «Je me lèverai,» car il était étendu dans un état de prostration; «et j'irai,» II était en effet bien éloigné; «vers mon père,» il était devenu le serviteur de celui à qui appartenaient les pourceaux. 

Arrow Les autres paroles indiquent la disposition d'un âme qui se prépare à la pénitence par l'aveu de ses péchés, mais qui ne la fait pas encore. Il ne s'ouvre pas encore à son père, mais il promet de s'ouvrir à lui, quand il le reverra. «Comprenez donc maintenant ce que signifie venir vers son père:» c'est être établi dans l'Église par la foi, et pouvoir y trouver, dans la confession de ses fan Vites, l'accomplissement du devoir et la récompense qui en est le fruit. Qu'est-ce donc qu'il se propose de dire à son père? 

Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre vous, et je ne suis plus digne d'être appelé votre fils: traitez-moi comme l'un de vos mercenaires. - J'ai péché contre le ciel,» ce mot a-t-il la même signification que j'ai péché contre vous?» Alors il faudrait entendre par le «ciel» la souveraine majesté du Père: c'est en ce sens que le Psalmiste a dit: «Il s'élance des hauteurs du ciel (Ps 18,7),» c'est-à-dire du sein du Père lui-même. Ou plutôt «j'ai péché contre le ciel» ne veut-il pas dire: en présence des âmes saintes, qui sont le trône de Dieu; «et contre vous:» jusque dans le sanctuaire intime de la conscience?

«Et se levant, il vint vers son père. Et lorsqu'il était encore bien loin:» avant qu'il eût de Dieu une véritable idée, mais néanmoins dans le moment où il le cherchait déjà de bonne foi, «son père le vit.» L'expression est donc juste, quand on dit de Dieu qu'il ne voit pas les impies et les superbes, qu'il ne les a pas en quelque sorte devant les yeux: car être devant les yeux, ne s'entend d'ordinaire que des personnes aimées. «Et il fut touché de compassion: et courant à lui, il se jeta à son cou.» Le père n'a pas quitté son Fils unique, par qui il a fait cette course lointaine et s'est abaissé jusqu'à nous; car Dieu était dans le Christ se réconciliant le monde (2Co 5,19);» et le Seigneur l'a déclaré lui-même: «Mon «Père, qui demeure en moi, fait lui-même les oeuvres que je fais (Jn 14,10).» Or, que signifie «se jeter à son cou,» si ce n'est incliner et abaisser son bras pour l'étreindre? «Et à qui le bras du Seigneur a-t-il été révélé (Is 53,1)?» Ce bras n'est autre assurément que Notre-Seigneur Jésus-Christ. «Et il le baisa.» Être consolé par la parole de la grâce divine, qui fait naître l'espérance du pardon des péchés, c'est obtenir du père, au retour de longs égarements, le baiser de charité. Alors commence pour celui qui est établi dans l'Église la confession de ses péchés. 

Le prodigue ne dit pas tout ce qu'il s'était promis de dire; il va seulement jusqu'à ces paroles: «Je ne suis pas digne d'être appelé votre fils.» Car Dieu veut opérer par la grâce ce dont il se reconnaît indigne à cause de ses fautes. Il n'ajoute pas ce qu'il s'était proposé d'abord dans sa première résolution: «Traitez-moi comme l'un de vos mercenaires.» Quand il était privé de pain, il allait jusqu'à souhaiter la condition de mercenaire; mais après que son père l'a embrassé, il n'a plus pour elle qu'un noble et généreux dédain.

La première robe symbolise la dignité perdue par Adam; les serviteurs qui l'apportent sont les prédicateurs du pardon. L'anneau placé au doigt de la main, gage du Saint-Esprit, figure bien la participation à la grâce. Les chaussures aux pieds marquent la préparation à la prédication de l'Évangile par le détachement des biens de la terre. Le veau gras, c'est le Seigneur lui-même, mais rassasié d'opprobres selon la chair. L'ordre est donné d'amener le veau gras: qu'est-ce à dire, sinon qu'il faut annoncer le Seigneur, et en l'annonçant, le faire entrer dans les entrailles du fils exténué par la faim? L'ordre est donné aussi d'immoler la victime; de répandre le souvenir de la mort du Sauveur: or, il est immolé réellement pour chacun de nous, lorsque nous croyons que pour nous il est mort . «Et réjouissons-nous,» ajoute le texte sacré; ceci a trait aux motifs d'allégresse qui vont être allégués: «Parce que mon fils que voici était mort, et il est ressuscité; il était perdu, et il est retrouvé.» Et maintenant ce festin et cette fête se célèbrent dans tout l'univers, où l'Eglise est répandue et disséminée. Car ce veau gras figure le corps et le sang du Seigneur qui s'offre au Père céleste et nourrit toute sa famille.

Le fils aîné, qui n'est pas parti pour une région lointaine, mais qui n'est pas néanmoins dans la maison, c'est le peuple d'Israël selon la chair. Il est aux champs, c'est-à-dire, qu'au sein même de l'héritage et des richesses de la Loi et des Prophètes, il se livre de préférence aux oeuvres de la terre et à toutes sortes d'observations judaïques. Il s'est trouvé parmi eux un grand nombre d'hommes animés de ces sentiments, et souvent encore on en rencontre de semblables. Revenant des champs, il s'approche de la maison . en d'autres termes, occupé sans amour d'un travail tout terrestre, il considère d'après les saintes Écritures la liberté faite à l'Église. Il entend la musique et la danse, c'est-à-dire, les hommes remplis de l'Esprit-Saint, qui annoncent l'Évangile d'une commune voix, suivant la recommandation de l'Apôtre: «Je vous a conjure, mes frères, leur dit-il, par le nom de a Jésus-Christ Notre-Seigneur, de faire en sorte a que vous n'ayez qu'un même langage (1Co 1,10).» 

Il entend aussi les concerts de louanges qui s'élèvent vers Dieu, comme d'un seul coeur et d'une seule âme. Il appelle un des serviteurs et lui demande ce qui se passe, en d'autres termes il ouvre un des livres des Prophètes, et le compulsant, il l'interroge en quelque solde pour savoir ce que signifient les fêtes qu'on célèbre dans cette Église, en dehors de laquelle il se trouve placé. Le serviteur de son père, le prophète lui répond: «Votre frère est revenu, et votre père a tué le veau gras, parce qu'il l'a recouvré en santé.» Votre frère était, en effet aux extrémités de la terre. Mais ce qui augmente l'allégresse de ceux qui chantent au Seigneur un cantique nouveau, c'est que ses louanges viennent des extrémités du monde (Is 42,10); et pour célébrer le retour de celui qui était absent, on a mis à mort l'homme de douleur et sachant l'infirmité (Is 53,3); et ceux auxquels il n'avait point été annoncé, l'ont vu; et ceux qui n'ont point entendu parler de lui, l'ont contemplé (Is 53,15).

Et maintenant encore Israël s'indigne et refuse d'entrer. Lors donc que la plénitude des nations sera entrée, son Père sortira au moment opportun, afin que tout Israël soit sauvé; ce peuple est tombé en partie dans l'aveuglement, que figure l'absence du fils aîné à la campagne, jusqu'à ce que la plénitude du plus jeune revienne de son long égarement au milieu de l'idolâtrie des nations, pour manger le veau gras dans la maison paternelle (Rm 11,25). Car, un jour, la vocation des Juifs au salut, qui vient de l'Évangile, sera manifestée. Or, c'est ce que signifie la démarche du père pour appeler son fils aîné.

La réponse de ce dernier, fait naître deux questions: Comment peut-on dire du peuple Juif qu'il n'a jamais transgressé les ordres de Dieu? Et qu'est-ce à dire qu'il n'a jamais reçu de chevreau, pour se réjouir avec ses amis? En ce qui concerne le premier point, on devine facilement qu'il n'est pas question de tous les commandements, mais seulement de celui qui est le plus nécessaire, je veux parler, de celui qui défend d'adorer aucun autre Dieu que le souverain Créateur de toutes choses (Ex 20,3): on comprend d'ailleurs que ce fils ne personnifie pas tous les Israëlites indistinctement, mais ceux d'entre eux qui n'ont jamais quitté le culte du vrai Dieu pour celui des idoles. En effet, quoique ce fils, en quelque sorte placé aux 'champs, désirât les choses terrestres, cependant c'est du Dieu unique qu'il, attendait ces biens, qui lui étaient communs avec les animaux. Aussi la synagogue est-elle bien personnifiée dans ce psaume d'Asaph: «Je suis devant vous comme une bête; mais néanmoins je suis toujours vous (Ps 72,23).» C'est ce que corrobore également le témoignage du père lui-même, formulé en ces termes: «Vous êtes toujours avec moi.» Il ne reproche pas à son fils une sorte de mensonge, mais faisant l'éloge de sa persévérance à demeurer avec lui, il l'invite par là même à prendre une part plus grande et plus parfaite à la joie.

Quel est maintenant ce chevreau, qu'il n'a jamais eu pour faire un festin? Il est certain d'abord que le chevreau est ordinairement le symbole du pécheur. Mais loin de moi de reconnaître ici l'Antéchrist. Car je ne vois pas comment on pourrait appliquer jusqu'au bout cette interprétation. Il serait trop absurde que le fils, à qui il est donné d'entendre ces paroles: «Vous êtes toujours avec moi,» eût exprimé à son père le désir de croire à l'Antéchrist. Il n'est pas non plus permis de voir dans ce fils la personnification de ceux d'entre les Juifs qui croiront à l'Antéchrist. Dans l'hypothèse où ce chevreau serait la figure de l'Antéchrist, comment ce fils pourrait-il en manger puis qu'il ne mettrait pas en lui sa foi? Ou bien, si manger du chevreau ne signifie rien autre chose que la joie causée par la perte de l'Antéchrist, comment le fils, que le père accueille si bien, dit-il que cette joie ne lui a pas été accordée, tandis que tous les enfants de Dieu applaudiront à la condamnation de son adversaire? 

A mon sens (et ce que je vais dire, dans une matière aussi obscure, ne doit pas empêcher un examen plus attentif,) il se plaint donc de ce que le Seigneur lui-même lui a été refusé pour son festin, attendu que le Seigneur est un pécheur à ses yeux. Ce peuple considérant le Sauveur comme un chevreau, - 339 - en d'autres termes, voyant en lui un violateur du sabbat et un profanateur de la Loi, n'a pas mérité de prendre part à ses joies: ainsi: «Vous ne m'avez jamais donné un chevreau pour en manger avec mes amis,» reviendrait à dire celui qui était à fies yeux un chevreau, vous ne me l'avez jamais donné pour me réjouir, et vous ne me l'avez point accordé, précisément parce que je le considérais comme un chevreau, «Avec mes amis,» s'entend des chefs en union avec le peuple, ou du peuple de Jérusalem assemblé avec les autres peuples de Juda. Quant aux femmes perdues, avec lesquelles le plus jeune fils est accusé d'avoir dissipé son patrimoine, elles désignent très bien les passions honteuses, qui ont fait abandonner l'alliance unique et légitime du vrai Dieu, pour rechercher dans les superstitions païennes l'union adultère avec la foule des démons.

D'où vient ensuite que le père, après avoir dit: «Vous êtes toujours avec moi,» - paroles expliquées, - continue en ces termes: «Et tout ce qui est à moi est à vous?» Gardez-vous d'abord de croire que ces mois: «Tout ce; qui est à moi est à vous,» signifient que le frère n'y a point de part, comme vous vous demanderiez avec anxiété, pour un héritage de ce monde, comment l'aîné pourrait avoir tout, dans le cas où le plus jeune aurait sa part. Les enfants parfaits, d'une pureté très grande et déjà dignes du ciel, possèdent tout, de façon que chaque chose est ù tous, et que tout est à chacun. Car la charité ignore les angoisses inséparables de la cupidité. Mais comment ce fils possède-t-il tout? 

Est-ce que Dieu, dira quelqu'un, met au-dessous de lui et les Anges, et les Vertus sublimes, et les puissances, et tous les esprits célestes, exécuteurs de ses volontés? Si l'on entend possesseur, dans le sens de maître, il est évident que Dieu ne lui a pas donné tout. Car ceux dont il est dit: «Ils seront comme les Anges de Dieu (Mt 22,30),» ne seront point les maîtres, mais plutôt les cohéritiers des Anges. Que si la possession s'entend dans le sens, d'ailleurs légitime, attaché à cette phrase: les âmes en possession de la vérité; je ne vois pas pour quel motif nous ne pourrions pas admettre ici le mot tout, dans son sens vrai, propre et absolu. En effet, quand nous disons des âmes qu'elles sont en possession de la vérité, notre intention n'est pas d'affirmer qu'elles en sont les maîtresses. Enfin, s'il nous est interdit d'entendre la possession en ce sens, mettons encore cela de côté. Car le père ne dit pas: Je vous donnerai tout en possession; ou Vous possédez, vous possèderez tous mes biens; mais: «Tout ce qui est à moi est à vous.» Tout cela cependant n'est pas à lui comme à Dieu. 


En effet ce qui est dans notre bourse peut servir pour la nourriture ou le vêtement de notre famille, ou pour tout autre usage analogue. Et certes, comme il était en droit de l'appeler son père, je ne vois pas ce qu'il n'aurait pu appeler sien, dans ce qui appartenait à ce père, puisque c'était à lui des à titres différents. Car quand nous aurons obtenu l'éternelle félicité, les choses élevées au dessus de nous seront à nous pour les voir; nous vivrons avec ce qui sera près de nous, et ce qui sera au dessous nous appartiendra aussi pour le dominer. Que le frère aîné prenne donc part à la joie dans une sécurité parfaite, parce que son frère était mort, «et qu'il est ressuscité; il était perdu, et il est retrouvé.»
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