coeurtendre Admin
Nombre de messages : 13252 Age : 67 Localisation : Trois-Rivières Réputation : 1 Date d'inscription : 16/02/2007
| Sujet: Clique ici pour la méditation des versets Bibliques page /102/Sujet mariage/ Mer 6 Sep - 10:52 | |
| - 24 novembre 1982 TDC 102 - Le mariage-sacrement s'accomplit en perspective de l'espérance eschatologiqueEphésiens 5, 22- 33Femmes, soyez soumises à vos maris, comme vous l'êtes au Seigneur.Car le mari est le chef de sa femme, comme le Christ est le chef de l'Église. Le Christ est en effet le Sauveur de l'Église qui est son corps. Les femmes doivent donc se soumettre en tout à leurs maris, tout comme l'Église se soumet au Christ. Maris, aimez vos femmes tout comme le Christ a aimé l'Église jusqu'à donner sa vie pour elle. Il a voulu ainsi rendre l'Église digne d'être à Dieu, après l'avoir purifiée par l'eau e et par la parole ; il a voulu se présenter à lui-même l'Église dans toute sa beauté, pure et sans défaut, sans tache ni ride ni aucune autre imperfection. Les maris doivent donc aimer leurs femmes comme ils aiment leur propre corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. En effet, personne n'a jamais haï son propre corps ; au contraire, on le nourrit et on en prend soin, comme le Christ le fait pour l'Église, son corps, dont nous faisons tous partie. Comme il est écrit : « C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère pour s'attacher à sa femme, et les deux deviendront un seul être . » Il y a une grande vérité cachée dans ce passage. Je dis, moi, qu'il se rapporte au Christ et à l'Église. Mais il s'applique aussi à vous : il faut que chaque mari aime sa femme comme lui-même, et que chaque femme respecte son mari.| Voir l'ensemble du chapitre|1 Corinthiens 7Questions concernant le mariagePassons maintenant aux sujets dont vous m'avez parlé dans votre lettre. Il est bon pour un homme de ne pas se marier . Cependant, en raison de l'immoralité si répandue, il vaut mieux que chaque homme ait sa femme et que chaque femme ait son mari. Le mari doit remplir son devoir d'époux envers sa femme et la femme, de même, doit remplir son devoir d'épouse envers son mari. La femme ne peut pas faire ce qu'elle veut de son propre corps : son corps est à son mari ; de même, le mari ne peut pas faire ce qu'il veut de son propre corps : son corps est à sa femme. Ne vous refusez pas l'un à l'autre, à moins que, d'un commun accord, vous n'agissiez ainsi momentanément pour vous consacrer à la prière ; mais ensuite, reprenez une vie conjugale normale, sinon vous risqueriez de ne plus pouvoir vous maîtriser et de céder aux tentations de Satan. Ce que je vous dis là n'est pas un ordre, mais une concession. En réalité, je préférerais que tout le monde soit célibataire comme moi ; mais chacun a le don particulier que Dieu lui a accordé, l'un ce don-ci, l'autre ce don-là.Voici ce que je déclare aux célibataires et aux veuves : il serait bon pour vous que vous continuiez à vivre seuls, comme moi. Mais si vous ne pouvez pas vous maîtriser, mariez-vous : il vaut mieux se marier que de brûler de désir. À ceux qui sont mariés, je donne cet ordre (qui ne vient pas de moi, mais du Seigneur) : la femme ne doit pas se séparer de son mari, — au cas où elle en serait séparée, qu'elle ne se remarie pas, ou bien qu'elle se réconcilie avec son mari — et un mari ne doit pas renvoyer sa femme . Aux autres, voici ce que je dis (moi-même, et non le Seigneur) : si un mari chrétien a une femme non croyante et qu'elle soit d'accord de continuer à vivre avec lui, il ne doit pas la renvoyer ; de même, si une femme chrétienne a un mari non croyant et qu'il soit d'accord de continuer à vivre avec elle, elle ne doit pas le renvoyer. 14 En effet, le mari non croyant est proche de Dieu à cause de son union avec sa femme ; de même, la femme non croyante est proche de Dieu à cause de son union avec son mari chrétien. Autrement, vos enfants seraient considérés comme impurs, alors que, en réalité, ils sont proches de Dieu. Cependant, si celui qui n'est pas croyant veut se séparer de son conjoint chrétien, qu'on le laisse agir ainsi. Dans un tel cas le conjoint chrétien, que ce soit l'époux ou l'épouse, est libre, car Dieu vous a appelés à vivre en paix. Comment pourrais-tu être sûre, toi, femme chrétienne, que tu sauveras ton mari ? Ou comment pourrais-tu être sûr, toi, mari chrétien, que tu sauveras ta femme ? | Chapitre suivant |Siracide 23,17Les désordres sexuels : (à) l'homme débauché Plusieurs sortes de gens accumulent les fautes,mais certains attirent plus particulièrement la colère divine : leur passion brûle comme un feuet ne s'éteindra pas avant d'être épuisée.Celui qui livre son corps à la débauchene cessera pas avant de s'y consumer. Pour le débauché, toute femme est bonne à prendre,il ne se lasse pas avant d'en être mort . Il y a aussi l'homme infidèle à sa femme ; il se dit : « Qui pourra me voir ?la nuit s'étend autour de moi, les murs me cachent,je passe inaperçu. Pourquoi donc m'inquiéter ?Si j'agis mal, Celui qui est là-hautne s'en préoccupera pas ! » Ce que cet homme craint, c'est qu'un autre le voie.Il ne sait pas que les yeux du Seigneur sont dix mille fois plus perçants que le soleilet qu'ils observent tout ce que font les humains,pénétrant jusqu'aux endroits les plus cachés a . Le Seigneur connaissait toutes chosesavant même de les avoir créées ;il les connaît encore quand elles ont disparu. Le coupable sera prisau moment où il ne s'y attend pas et recevra sa punition sur la place publique .Romains 8,4-5La vie avec l'Esprit de DieuMaintenant donc, il n'y a plus de condamnation pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ. 2 Car la loi de l'Esprit Saint, qui donne la vie par Jésus-Christ, t'a libéré de la loi du péché et de la mort. Dieu a accompli ce qui était impossible pour la loi de Moïse, parce que la faiblesse humaine la rendait impuissante : pour enlever le péché, il l'a condamné dans la nature humaine en envoyant son propre Fils vivre dans une condition semblable à celle de l'homme pécheur. Dieu a accompli cela pour que les exigences de la loi soient réalisées en nous qui vivons non plus selon notre propre nature, mais selon l'Esprit Saint. En effet, ceux qui vivent selon leur propre nature se préoccupent de ses désirs ; mais ceux qui vivent selon l'Esprit Saint se préoccupent des désirs de l'Esprit. Se préoccuper des désirs de sa propre nature mène à la mort ; mais se préoccuper des désirs de l'Esprit Saint mène à la vie et à la paix. Ceux qui sont dominés par les préoccupations de leur propre nature sont ennemis de Dieu ; ils ne se soumettent pas à la loi de Dieu, ils ne le peuvent même pas. Ceux qui dépendent de leur propre nature ne peuvent pas plaire à Dieu. Mais vous, vous ne vivez pas selon votre propre nature ; vous vivez selon l'Esprit Saint, puisque p l'Esprit de Dieu habite en vous. Celui qui n'a pas l'Esprit du Christ ne lui appartient pas. Si le Christ est en vous, votre corps reste tout de même destiné à la mort à cause du péché, mais l'Esprit est vie en vous q parce que vous avez été rendus justes devant Dieu. Si l'Esprit de celui qui a ramené Jésus d'entre les morts habite en vous, alors Dieu qui a ramené le Christ d'entre les morts donnera aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous. Ainsi donc, frères, nous avons des obligations, mais non envers notre propre nature pour vivre selon ses désirs. Car si vous vivez selon votre propre nature, vous allez mourir. Mais si, par l'Esprit Saint, vous faites mourir le comportement de votre être égoïste, vous vivrez. Tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont enfants de Dieu. Car l'Esprit que vous avez reçu n'est pas un esprit qui vous rende esclaves et vous remplisse encore de peur ; mais c'est l'Esprit Saint qui fait de vous des enfants de Dieu et qui nous permet de crier à Dieu : « Abba, ô mon Père ! » L'Esprit de Dieu atteste lui-même à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Nous sommes ses enfants, donc nous aurons aussi part aux biens que Dieu a promis à son peuple, nous y aurons part avec le Christ ; car si nous souffrons avec lui, nous serons aussi avec lui dans sa gloire . | Chapitre précédent | Chapitre suivant |Galates 5,16-18Voici donc ce que j'ai à vous dire : laissez le Saint-Esprit diriger votre vie et vous n'obéirez plus aux désirs de votre propre nature. Car notre propre nature a des désirs contraires à ceux de l'Esprit, et l'Esprit a des désirs contraires à ceux de notre propre nature : ils sont complètement opposés l'un à l'autre, de sorte que vous ne pouvez pas faire ce que vous voudriez. Mais si l'Esprit vous conduit, alors vous n'êtes plus soumis à la loi.| contexte immédiat | Genèse 4,1De son union avec Adam, son mari, Ève devint enceinte. Elle mit au monde Caïn et dit alors : « J'ai fait un homme grâce au Seigneur . » Elle donna aussi le jour au frère de Caïn, Abel.Abel fut berger, et Caïn cultivateAu bout d'un certain temps, Caïn apporta des produits de la terre en offrande pour le Seigneur. Abel, de son côté, apporta en sacrifice des agneaux premiers-nés de son troupeau, dont il offrit au Seigneur les meilleurs morceaux. Le Seigneur accueillit favorablement Abel et son offrande , mais non pas Caïn et son offrande. Caïn en éprouva un profond dépit ; il faisait triste mine. Le Seigneur lui dit : « A quoi bon te fâcher et faire si triste mine ? Si tu réagis comme il faut, tu reprendras le dessus ; sinon, le péché est comme un monstre tapi à ta porte. Il désire te dominer, mais c'est à toi d'en être le maître. »| contexte immédiat |La création entière attend avec impatience le moment où Dieu révélera ses enfants. Car la création est tombée sous le pouvoir de forces qui ne mènent à rien, non parce qu'elle l'a voulu elle-même, mais parce que Dieu l'y a mise t . Il y a toutefois une espérance : c'est que la création elle-même sera libérée un jour du pouvoir destructeur qui la tient en esclavage et qu'elle aura part à la glorieuse liberté des enfants de Dieu. Nous savons, en effet, que maintenant encore la création entière gémit et souffre comme une femme qui accouche. Mais pas seulement la création : nous qui avons déjà l'Esprit Saint comme première part des dons de Dieu, nous gémissons aussi intérieurement en attendant que Dieu fasse de nous ses enfants et nous accorde une délivrance totale .| contexte immédiat |1 Jean 2,16En effet, voici ce qui appartient au monde : la volonté de satisfaire ses propres désirs ou de posséder ce que l'on voit, ainsi que l'orgueil fondé sur les biens terrestres. Eh bien, tout cela vient non pas du Père, mais du monde.| Voir l'ensemble du chapitre |Matthieu 22, 23 - 32Voir aussi Mc 12,18-27 Lc 20,27-40Le même jour, quelques Sadducéens vinrent auprès de Jésus. — Ce sont eux qui affirment qu'il n'y a pas de résurrection . — Ils l'interrogèrent de la façon suivante : « Maître, voici ce que Moïse a déclaré : «Si un homme meurt sans avoir eu d'enfants, son frère doit épouser la veuve pour donner des descendants à celui qui est mort .» Or, il y avait parmi nous sept frères. Le premier se maria, mourut sans avoir eu d'enfants et laissa ainsi sa veuve à son frère. Il en fut de même pour le deuxième frère, puis pour le troisième et pour tous les sept. Après eux tous, la femme mourut aussi. Au jour où les morts se relèveront, duquel des sept sera-t-elle donc la femme ? Car ils l'ont tous eue comme épouse ! » Jésus leur répondit : « Vous vous trompez parce que vous ne connaissez ni les Écritures, ni la puissance de Dieu. En effet, quand les morts se relèveront, les hommes et les femmes ne se marieront pas, mais ils vivront comme les anges dans le ciel. Pour ce qui est de se relever d'entre les morts, n'avez-vous jamais lu ce que Dieu vous a déclaré ? Il a dit : «Je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob a .» Dieu, ajouta Jésus, est le Dieu des vivants, et non des morts. »| Voir l'ensemble du chapitre |Marc 12,18 -27(Voir aussi Matt 22.23-33 ; Luc 20.27-40)Quelques Sadducéens vinrent auprès de Jésus. — Ce sont eux qui disent qu'il n'y a pas de résurrection r . — Ils l'interrogèrent de la façon suivante : « Maître, Moïse nous a donné ce commandement écrit : «Si un homme, qui a un frère, meurt et laisse une femme sans enfants, il faut que son frère épouse la veuve pour donner des descendants à celui qui est mort s .» Or, il y avait une fois sept frères. Le premier se maria et mourut sans laisser d'enfants. Le deuxième épousa la veuve, et il mourut sans laisser d'enfants. La même chose arriva au troisième frère, et à tous les sept, qui épousèrent successivement la femme et moururent sans laisser d'enfants. Après eux tous, la femme mourut aussi. Au jour de la résurrection, quand les morts se relèveront, de qui sera-t-elle donc la femme ? Car tous les sept l'ont eue comme épouse ! » Jésus leur répondit : « Vous vous trompez, et savez-vous pourquoi ? Parce que vous ne connaissez ni les Écritures, ni la puissance de Dieu. En effet, quand ils se relèveront d'entre les morts, les hommes et les femmes ne se marieront pas, mais ils vivront comme les anges dans le ciel. Pour ce qui est des morts qui reviennent à la vie, n'avez-vous jamais lu dans le livre de Moïse le passage qui parle du buisson en flammes ? On y lit que Dieu dit à Moïse : «Je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob .» Dieu, ajouta Jésus, est le Dieu des vivants, et non des morts. Ainsi, vous êtes complètement dans l'erreur. »| Voir l'ensemble du chapitre |Luc 20,34-39Jésus leur répondit : « Les hommes et les femmes de ce monde-ci se marient ; mais les hommes et les femmes qui sont jugés dignes de se relever d'entre les morts et de vivre dans le monde à venir ne se marient pas. Ils ne peuvent plus mourir, ils sont pareils aux anges. Ils sont fils de Dieu, car ils ont passé de la mort à la vie. Moïse indique clairement que les morts reviendront à la vie. Dans le passage qui parle du buisson en flammes, il appelle le Seigneur «le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob l .» Dieu, ajouta Jésus, est le Dieu des vivants, et non des morts, car tous sont vivants pour lui. » Quelques maîtres de la loi prirent alors la parole et dirent : « Tu as bien parlé, Maître. »| Voir l'essemble du chapitre |Jésus leur répondit : « Les hommes et les femmes de ce monde-ci se marient ; 35 mais les hommes et les femmes qui sont jugés dignes de se relever d'entre les morts et de vivre dans le monde à venir ne se marient pas. 36 Ils ne peuvent plus mourir, ils sont pareils aux anges. Ils sont fils de Dieu, car ils ont passé de la mort à la vie.| Voir l'ensemble du chapitre |Le monde est en train de passer, ainsi que tout ce que l'on y trouve à désirer ; mais celui qui fait la volonté de Dieu vit pour toujours.| Voir l'ensemble du chapitre |En effet, quand les morts se relèveront, les hommes et les femmes ne se marieront pas, mais ils vivront comme les anges dans le ciel. Voir aussi Mc 12,25, Lc 20,36| Voir l'ensemble du chapitre |Moïse indique clairement que les morts reviendront à la vie. Dans le passage qui parle du buisson en flammes, il appelle le Seigneur «le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob .»| Voir l'ensemble du chapitre |
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