coeurtendre Admin
Nombre de messages : 13252 Age : 67 Localisation : Trois-Rivières Réputation : 1 Date d'inscription : 16/02/2007
| Sujet: Clique ici pour la méditation des versets Bibliques page /109/Sujet mariage/ Mer 6 Sep - 13:16 | |
| - 23 mai 1984 TDC 109 - Ce que le Cantique des Cantiques nous apprend sur l'amour humain Ephésien 5,21-23Femmes et marisSoumettez-vous les uns aux autres à cause du respect que vous avez pour le Christ. Femmes, soyez soumises à vos maris, comme vous l'êtes au Seigneur. Car le mari est le chef de sa femme, comme le Christ est le chef de l'Église. Le Christ est en effet le Sauveur de l'Église qui est son corps. Les femmes doivent donc se soumettre en tout à leurs maris, tout comme l'Église se soumet au Christ. Maris, aimez vos femmes tout comme le Christ a aimé l'Église jusqu'à donner sa vie pour elle. Il a voulu ainsi rendre l'Église digne d'être à Dieu, après l'avoir purifiée par l'eau e et par la parole ; il a voulu se présenter à lui-même l'Église dans toute sa beauté, pure et sans défaut, sans tache ni ride ni aucune autre imperfection. Les maris doivent donc aimer leurs femmes comme ils aiment leur propre corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. En effet, personne n'a jamais haï son propre corps ; au contraire, on le nourrit et on en prend soin, comme le Christ le fait pour l'Église, son corps, dont nous faisons tous partie. Comme il est écrit : « C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère pour s'attacher à sa femme, et les deux deviendront un seul être .» Il y a une grande vérité cachée dans ce passage. Je dis, moi, qu'il se rapporte au Christ et à l'Église. Mais il s'applique aussi à vous : il faut que chaque mari aime sa femme comme lui-même, et que chaque femme respecte son mari. | Chapitre suivant |Matthieu 19, 3 - 9Quelques Pharisiens s'approchèrent de lui pour lui tendre un piège. Ils lui demandèrent : « Notre loi permet-elle à un homme de renvoyer sa femme pour n'importe quelle raison ? » Jésus répondit : « N'avez-vous pas lu ce que déclare l'Écriture ? «Au commencement, le Créateur les fit homme et femme », puis il dit : C'est pourquoi, l'homme quittera son père et sa mère pour s'attacher à sa femme, et les deux deviendront un seul être. Ainsi, ils ne sont plus deux mais un seul être. Que l'homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. » 7 Les Pharisiens lui demandèrent : « Pourquoi donc Moïse a-t-il commandé à l'homme de donner une attestation de divorce à sa femme quand il la renvoie ? » Jésus répondit : « Moïse vous a permis de renvoyer vos femmes parce que vous avez le coeur dur. Mais au commencement, il n'en était pas ainsi. Je vous le déclare : si un homme renvoie sa femme, alors qu'elle n'a pas été infidèle , et en épouse une autre, il commet un adultère. » Ephésien 5,31-32Comme il est écrit : « C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère pour s'attacher à sa femme, et les deux deviendront un seul être . » Il y a une grande vérité cachée dans ce passage. Je dis, moi, qu'il se rapporte au Christ et à l'Église.| contexte immédiat | Genèse 2, 23 - 25 En la voyant celui-ci s'écria :« Ah ! Cette fois, voici quelqu'un qui est plus que tout autre du même sang que moi !On la nommera compagne de l'homme,car c'est de son compagnon qu'elle fut tirée . »C'est pourquoi l'homme quittera père et mère pour s'attacher à sa femme, et ils deviendront tous deux un seul être .L'homme et sa femme étaient tous deux nus, mais sans éprouver aucune gêne l'un devant l'autre.| Voir l'ensemble du chapitre |Cantiques des Cantiques 1,8Les bergers Si tu ne le sais pas, la belle, suis donc les traces des moutons, et conduis tes chevrettes près des cabanes de bergers.| Chapitre précédent |Ephésiens 5,23 Car le mari est le chef de sa femme, comme le Christ est le chef de l'Église. Le Christ est en effet le Sauveur de l'Église qui est son corps. Les femmes doivent donc se soumettre en tout à leurs maris, tout comme l'Église se soumet au Christ.Maris, aimez vos femmes tout comme le Christ a aimé l'Église jusqu'à donner sa vie pour elle. Il a voulu ainsi rendre l'Église digne d'être à Dieu, après l'avoir purifiée par l'eau e et par la parole ;| Voir l'ensemble du chapitre |Cantiques des Cantiques,4.7Lui Que tu es belle,ma tendre amie,que tu es belle !Derrière ton voiletes yeux ont le charme des colombes.Tes cheveux évoquentun troupeau de chèvres dévalant du mont Galaad. Tes dents me font penserà un troupeau de brebis fraîchement tondues,qui remontent du point d'eau. Chacune a sa soeur jumelle,aucune ne manque à l'appel. Un ruban rouge : ce sont tes lèvres ; ta bouche est ravissante.Derrière ton voiletes pommettes ont la rougeurd'une tranche de grenade. Ton cou a l'aspectde la Tour-de-David,bâtie toute ronde.Mille boucliers y sont suspendus,les boucliers ronds de tous les héros.Tes deux seins sont comme deux cabris,comme les jumeaux d'une gazelle,qui broutent parmi les anémones. À la fraîcheur du soir, quand les ombres s'allongeront,je compte bien venir à ta montagne de myrrheet à ta colline d'encens .Tout en toi est beauté, ma tendre amie,et sans aucun défaut. Viens avec moi, ma promise,quitte les monts du Libanet viens avec moi ;descends des sommets de l'Amana,du Senir et de l'Hermon .Fuis ces repaires de lions,ces montagnes pour panthères. par un seul de tes regards tu me fais battre le coeur,petite soeur, ma promise, par un seul mouvement de ton cou gracieux. Comme ton amour me ravit,petite soeur, ma promise !Je le trouve plus enivrant que le vin,et ton huile parfumée m'enchanteplus que tous les baumes odorants. Ma promise, sur tes lèvresmon baiser recueille un suc de fleurs,et ta langue cacheun lait parfumé de miel.Les vêtements que tu portesont l'odeur des bois du Liban.Tu es mon jardin privé,petite soeur, ma promise,ma source personnelle,ma fontaine réservée. Tu as la fraîcheur d'un verger de paradisplanté de grenadiers aux fruits exquis. S'y croisent les parfumsdu henné et du nard, du nard et du safran, du laurier et de la cannelle avec ceux de tous les bois odorants ; et aussi les senteurs de myrrhe et d'aloès avec celles des baumes les plus fins.Le jardin a une source, une fontaine d'eau courante dévalant les pentes du Liban.| Chapitre précédent |
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