coeurtendre Admin
Nombre de messages : 13252 Age : 67 Localisation : Trois-Rivières Réputation : 1 Date d'inscription : 16/02/2007
| Sujet: Clique ici pour la méditation des versets Bibliques page /127/Sujet mariage/ Mer 6 Sep - 17:30 | |
| - 14 novembre 1984 TDC 127 - Au centre de la spiritualité conjugale il y a la chasteté Romains 5,5En paix avec DieuAinsi, nous avons été rendus justes devant Dieu à cause de notre foi et nous sommes maintenant en paix avec lui par notre Seigneur Jésus-Christ. Par Jésus nous avons pu, par la foi, avoir accès à la grâce de Dieu en laquelle nous demeurons fermement. Et ce qui nous réjouit c'est l'espoir e d'avoir part à la gloire de Dieu. Bien plus, nous nous réjouissons f même dans nos détresses, car nous savons que la détresse produit la patience, la patience produit la résistance à l'épreuve et la résistance l'espérance. Cette espérance ne nous déçoit pas, car Dieu a répandu son amour dans nos coeurs par le Saint-Esprit qu'il nous a donné. En effet, quand nous étions encore incapables de nous en sortir, le Christ est mort pour les pécheurs au moment fixé par Dieu. C'est difficilement qu'on accepterait de mourir pour un homme droit. Quelqu'un aurait peut-être le courage de mourir pour un homme de bien. Mais Dieu nous a prouvé à quel point il nous aime : le Christ est mort pour nous alors que nous étions encore pécheurs. Par son sacrifice, nous sommes maintenant rendus justes devant Dieu ; à plus forte raison serons-nous sauvés par lui de la colère de Dieu. Nous étions les ennemis de Dieu, mais il nous a réconciliés avec lui par la mort de son Fils. A plus forte raison, maintenant que nous sommes réconciliés avec lui, serons-nous sauvés par la vie de son Fils. Il y a plus encore : nous nous réjouissons devant Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ, grâce auquel nous sommes maintenant réconciliés avec Dieu.| péricope précédente | Galates 5,25Être dirigé par l'Esprit et non par les désirs humainsVoici donc ce que j'ai à vous dire : laissez le Saint-Esprit diriger votre vie et vous n'obéirez plus aux désirs de votre propre nature. Car notre propre nature a des désirs contraires à ceux de l'Esprit, et l'Esprit a des désirs contraires à ceux de notre propre nature : ils sont complètement opposés l'un à l'autre, de sorte que vous ne pouvez pas faire ce que vous voudriez .Mais si l'Esprit vous conduit, alors vous n'êtes plus soumis à la loi.On sait bien comment se manifeste l'activité de notre propre nature : dans l'immoralité, l'impureté et le vice, le culte des idoles et la magie. Les gens se haïssent les uns les autres, se querellent et sont jaloux, ils sont dominés par la colère et les rivalités. Ils se divisent en partis et en groupes opposés ; ils sont envieux, ils se livrent à l'ivrognerie et à des orgies, et commettent d'autres actions semblables. Je vous avertis maintenant comme je l'ai déjà fait : ceux qui agissent ainsi n'auront pas de place dans le Royaume de Dieu.Mais ce que l'Esprit Saint produit, c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bienveillance, la bonté, la fidélité, la douceur et la maîtrise de soi. La loi n'est certes pas contre de telles choses ! Ceux qui appartiennent à Jésus-Christ ont fait mourir sur la croix leur propre nature avec ses passions et ses désirs. L'Esprit nous a donné la vie ; laissons-le donc aussi diriger notre conduite. Ne soyons pas vaniteux, renonçons à nous défier ou à nous envier les uns les autres.| Chapitre suivante | Ephésiens 5,21 - 23Femmes et marisSoumettez-vous les uns aux autres à cause du respect que vous avez pour le Christ. Femmes, soyez soumises à vos maris, comme vous l'êtes au Seigneur. Car le mari est le chef de sa femme, comme le Christ est le chef de l'Église. Le Christ est en effet le Sauveur de l'Église qui est son corps. Les femmes doivent donc se soumettre en tout à leurs maris, tout comme l'Église se soumet au Christ. Maris, aimez vos femmes tout comme le Christ a aimé l'Église jusqu'à donner sa vie pour elle. Il a voulu ainsi rendre l'Église digne d'être à Dieu, après l'avoir purifiée par l'eau e et par la parole ; il a voulu se présenter à lui-même l'Église dans toute sa beauté, pure et sans défaut, sans tache ni ride ni aucune autre imperfection. Les maris doivent donc aimer leurs femmes comme ils aiment leur propre corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. En effet, personne n'a jamais haï son propre corps ; au contraire, on le nourrit et on en prend soin, comme le Christ le fait pour l'Église, son corps, dont nous faisons tous partie. Comme il est écrit : « C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère pour s'attacher à sa femme, et les deux deviendront un seul être .» Il y a une grande vérité cachée dans ce passage. Je dis, moi, qu'il se rapporte au Christ et à l'Église. Mais il s'applique aussi à vous : il faut que chaque mari aime sa femme comme lui-même, et que chaque femme respecte son mari. | Chapitre suivant |Jean 6,63Les paroles de la vie éternelleAprès avoir entendu Jésus, beaucoup de ses disciples dirent : « Là, il exagère ! Comment admettre un tel discours ? »Jésus s'aperçut que ses disciples le critiquaient à ce sujet. C'est pourquoi il leur dit : « Cela vous choque-t-il ? Qu'arrivera-t-il alors si vous voyez le Fils de l'homme monter là où il était auparavant ? C'est l'Esprit de Dieu qui donne la vie ; l'homme seul n'aboutit à rien. Les paroles que je vous ai dites sont Esprit et vie. Mais quelques-uns parmi vous ne croient pas. » En effet, Jésus savait depuis le commencement qui étaient ceux qui ne croyaient pas et il savait qui allait le trahir. Il ajouta : « Voilà pourquoi je vous ai dit que personne ne peut venir à moi si le Père ne lui en a pas donné la possibilité. » Dès lors, beaucoup de ses disciples se retirèrent et cessèrent d'aller avec lui. Jésus demanda alors aux douze disciples : « Voulez-vous partir, vous aussi ? » Simon Pierre lui répondit : « Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles qui donnent la vie éternelle. Nous le croyons, nous le savons : tu es le Saint envoyé de Dieu . » Jésus leur répondit : « Ne vous ai-je pas choisis vous les douze ? Et pourtant l'un de vous est un diable ! » Il parlait de Judas, fils de Simon Iscariote. Car Judas, quoiqu'il fût un des douze disciples, allait le trahir .| péricope précédente | 2 Corinthiens 3,6 Serviteurs de la nouvelle alliance Cherchons-nous encore à nous recommander nous-mêmes ? Ou bien aurions-nous besoin, comme certains, de vous présenter des lettres de recommandation ou de vous en demander ? C'est vous-mêmes qui êtes notre lettre, écrite dans nos coeurs et que tout le monde peut connaître et lire. Oui, il est clair que vous êtes une lettre écrite par le Christ et transmise par nous. Elle est écritenon pas avec de l'encre, mais avec l'Esprit du Dieu vivant ; elle est gravée non pas sur des tablettes de pierre, mais dans des coeurs humains .Nous parlons ainsi en raison de la confiance que nous avons en Dieu par le Christ. En effet, nous ne saurions prétendre accomplir une telle tâche grâce à notre capacité personnelle. Ce que nous sommes capables de faire vient de Dieu ; c'est lui qui nous a rendus capables d'être serviteurs de la nouvelle alliance, qui ne dépend pas d'une loi écrite mais de l'Esprit Saint. La loi écrite mène à la mort, mais l'Esprit mène à la vie . La loi a été gravée lettre par lettre sur des tablettes de pierre et la gloire de Dieu a resplendi à ce moment-là. Le visage de Moïse brillait d'un tel éclat que les Israélites ne pouvaient pas fixer leurs regards sur lui , et pourtant cet éclat était passager. Si la loi, dont la fonction avait pour effet de mener à la mort, est apparue avec une telle gloire, combien plus glorieuse doit être la fonction exercée par l'Esprit ! La fonction qui entraînait la condamnation des hommes était glorieuse ; combien plus glorieuse est la fonction qui a pour effet de rendre les hommes justes devant Dieu ! Nous pouvons même dire que la gloire qui brilla dans le passé s'efface devant la gloire actuelle, tellement supérieure. En effet, si ce qui était passager a été glorieux, combien plus le sera ce qui demeure pour toujours !C'est parce que nous avons une telle espérance que nous sommes pleins d'assurance. Nous ne faisons pas comme Moïse qui se couvrait le visage d'un voile pour empêcher les Israélites d'en voir disparaître l'éclat passager . Mais leur intelligence s'était obscurcie ; et jusqu'à ce jour, elle estrecouverte du même voile quand ils lisent les livres de l'ancienne alliance . Ce voile ne disparaît qu'à la lumière du Christ. Aujourd'hui encore, chaque fois qu'ils lisent les livres de Moïse, un voile recouvre leur intelligence. Mais, comme il est écrit : « Lorsqu'on se tourne vers le Seigneur, le voile est enlevé . » Or, le mot Seigneur signifie ici l'Esprit ; et là où l'Esprit du Seigneur est présent, là est la liberté. Nous tous, le visage découvert, nous reflétons la gloire du Seigneur ; ainsi, nous sommes transformés pour être semblables au Seigneur et nous passons d'une gloire à une gloire plus grande encore. Voilà en effet ce que réalise le Seigneur, qui est l'Esprit.| péricope suivante |Éphésiens 5, 21Femmes et marisSoumettez-vous les uns aux autres à cause du respect que vous avez pour le Christ. Femmes, soyez soumises à vos maris, comme vous l'êtes au Seigneur. Car le mari est le chef de sa femme, comme le Christ est le chef de l'Église. Le Christ est en effet le Sauveur de l'Église qui est son corps. Les femmes doivent donc se soumettre en tout à leurs maris, tout comme l'Église se soumet au Christ. Maris, aimez vos femmes tout comme le Christ a aimé l'Église jusqu'à donner sa vie pour elle. Il a voulu ainsi rendre l'Église digne d'être à Dieu, après l'avoir purifiée par l'eau e et par la parole ; il a voulu se présenter à lui-même l'Église dans toute sa beauté, pure et sans défaut, sans tache ni ride ni aucune autre imperfection. Les maris doivent donc aimer leurs femmes comme ils aiment leur propre corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. En effet, personne n'a jamais haï son propre corps ; au contraire, on le nourrit et on en prend soin, comme le Christ le fait pour l'Église, son corps, dont nous faisons tous partie. Comme il est écrit : « C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère pour s'attacher à sa femme, et les deux deviendront un seul être . » Il y a une grande vérité cachée dans ce passage. Je dis, moi, qu'il se rapporte au Christ et à l'Église. Mais il s'applique aussi à vous : il faut que chaque mari aime sa femme comme lui-même, et que chaque femme respecte son mari. Chapitre suivant
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