Le prêtre et la confession
Toutefois, dans sa miséricorde, il pardonne l'iniquité
et ne détruit pas; Il retient souvent sa colère
et ne se livre pas à toute sa fureur.
Ps 78,38-39
Le lendemain, il vit Jésus venant à lui,
et il dit : Voici l'Agneau de Dieu,
qui ôte le péché du monde.
Jean 1,29
Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a
point ouvert la bouche, Semblable à un
agneau qu'on mène à la boucherie, A
une brebis muette devant ceux qui la
tondent ; Il n'a point ouvert la bouche.
Isaïe 53,7
Ce jour-là, tu diras : Seigneur, je te
rends grâce : ta colère pesait sur moi,
mais tu reviens de ta fureur et tu me
consoles. Voici le Dieu qui me sauve :
j’ai confiance, je n’ai plus de crainte. Ma
force et mon chant, c’est le Seigneur ;
il est pour moi le salut. Exultant de joie,
vous puiserez les eaux aux sources
du salut.
Isaïe 12
Comme le Père, en effet, a la vie en
lui-même, ainsi a-t-il donné au Fils d’avoir,
lui aussi, la vie en lui-même ; et il lui a
donné pouvoir d’exercer le jugement,
parce qu’il est le Fils de l’homme.
Jean 5,27
Jésus monta en barque, refit la
traversée, et alla dans sa ville de
Capharnaüm.Et voici qu’on lui présenta un
paralysé, couché sur une civière. Voyant leur foi,
Jésus dit au paralysé : « Confiance, mon
enfant, tes péchés sont pardonnés.
Et voici que certains parmi les scribes se
disaient : « Celui-là blasphème. »
Mais Jésus, connaissant leurs pensées,
demanda : « Pourquoi avez-vous des pensées
mauvaises ?En effet, qu’est-ce qui est le
plus facile ? Dire : “Tes péchés sont
pardonnés”, ou bien dire : “Lève-toi et marche” ?
Eh bien ! pour que vous sachiez que le Fils
de l’homme a le pouvoir, sur la terre,
de pardonner les péchés… – Jésus
s’adressa alors au paralysé – lève-toi,
prends ta civière, et rentre dans ta
maison. » Il se leva et rentra dans sa
maison.
Matthieu 9,2-7
Arrivent des gens, portant sur une civière
un homme qui était paralysé ; ils cherchaient
à le faire entrer pour le placer devant Jésus.
Mais, ne voyant pas comment faire à
cause de la foule, ils montèrent sur le toit
et, en écartant les tuiles, ils le firent descendre
avec sa civière en plein milieu devant Jésus.
Voyant leur foi, il dit : « Homme, tes péchés
te sont pardonnés. »Les scribes et les pharisiens
se mirent à raisonner : « Qui est-il celui-là ?
Il dit des blasphèmes ! Qui donc peut pardonner
les péchés, sinon Dieu seul ? » Mais Jésus,
saisissant leurs pensées, leur répondit : «
Pourquoi ces pensées dans vos cœurs ?
Qu’est-ce qui est le plus facile ? Dire : “Tes
péchés te sont pardonnés”, ou dire : “Lève-toi
et marche” ? Eh bien ! Afin que vous sachiez
que le Fils de l’homme a autorité sur la terre pour
pardonner les péchés, – Jésus s’adressa à celui qui
était paralysé – je te le dis, lève-toi, prends ta
civière et retourne dans ta maison. » À
l’instant même, celui-ci se releva devant
eux, il prit ce qui lui servait de lit et s’en
alla dans sa maison en rendant gloire à Dieu.
Luc 5,18-25
Voilà pourquoi je te le dis : ses péchés, ses nombreux péchés, sont pardonnés,
puisqu’elle a montré beaucoup d’amour.
Mais celui à qui on pardonne peu montre
peu d’amour. » Il dit alors à la femme :
« Tes péchés sont pardonnés. »Les convives
se mirent à dire en eux-mêmes : « Qui
est cet homme, qui va jusqu’à pardonner
les péchés ? »Jésus dit alors à la femme :
« Ta foi t’a sauvée. Va en paix ! »
Luc 7,47-49
Arrivent des gens qui lui amènent un paralysé,
porté par quatre hommes. Comme ils ne peuvent
l’approcher à cause de la foule, ils découvrent le toit
au-dessus de lui, ils font une ouverture, et descendent
le brancard sur lequel était couché le paralysé. Voyant
leur foi, Jésus dit au paralysé : « Mon enfant, tes péchés
sont pardonnés. » Or, il y avait quelques scribes, assis
là, qui raisonnaient en eux-mêmes : « Pourquoi celui-là
parle-t-il ainsi ? Il blasphème. Qui donc peut pardonner
les péchés, sinon Dieu seul ? » Percevant aussitôt dans
son esprit les raisonnements qu’ils se faisaient, Jésus leur
dit : « Pourquoi tenez-vous de tels raisonnements ? Qu’est-ce
qui est le plus facile ? Dire à ce paralysé : “Tes péchés sont
pardonnés”, ou bien lui dire : “Lève-toi, prends ton
brancard et marche” ? Eh bien ! Pour que vous sachiez que
le Fils de l’homme a autorité pour pardonner les péchés
sur la terre… – Jésus s’adressa au paralysé – je te le dis,
lève-toi, prends ton brancard, et rentre dans ta maison. »
Il se leva, prit aussitôt son brancard, et sortit devant
tout le monde. Tous étaient frappés de stupeur et rendaient
gloire à Dieu, en disant : « Nous n’avons jamais rien vu de
pareil. »
Mc 2,3-12
Car Dieu a envoyé son Fils dans le
monde, non pas pour juger le monde,
mais pour que, par lui, le monde soit
sauvé.Celui qui croit en lui échappe au
Jugement ; celui qui ne croit pas est
déjà jugé, du fait qu’il n’a pas cru
au nom du Fils unique de Dieu.
Jean 3,17-18
Jésus leur dit de nouveau : « La paix
soit avec vous ! De même que le Père
m’a envoyé, moi aussi, je vous envoie. »
Ayant ainsi parlé, il souffla sur eux et il
leur dit : « Recevez l’Esprit Saint.À qui
vous remettrez ses péchés, ils seront
remis ; à qui vous maintiendrez
ses péchés, ils seront maintenus. »
Jean 20,21-23
Amen, je vous le dis : tout ce que vous
aurez lié sur la terre sera lié dans le ciel,
et tout ce que vous aurez délié sur
la terre sera délié dans le ciel.
Matthieu 18, 18
Et moi, je te le déclare : Tu es Pierre, et
sur cette pierre je bâtirai mon Église ; et
la puissance de la Mort ne l’emportera pas sur
elle. Je te donnerai les clés du royaume des
Cieux : tout ce que tu auras lié sur la terre
sera lié dans les cieux, et tout ce que tu
auras délié sur la terre sera délié dans
les cieux. »
Matthieu 16,18-19
Jésus lui répondit : « Qui est ma
mère, et qui sont mes frères ? » Puis,
étendant la main vers ses disciples, il
dit : « Voici ma mère et mes frères. Car
celui qui fait la volonté de mon Père qui
est aux cieux, celui-là est pour moi
un frère, une sœur, une mère. »
Matthieu 12,48-50
Une foule était assise autour de lui ; et
on lui dit : « Voici que ta mère et tes
frères sont là dehors : ils te cherchent. »
Mais il leur répond : « Qui est ma
mère ? qui sont mes frères ? » Et parcourant
du regard ceux qui étaient assis en
cercle autour de lui, il dit : « Voici ma
mère et mes frères. Celui qui fait la volonté
de Dieu, celui-là est pour moi un frère,
une sœur, une mère. »
Marc 3,32-34
La mère et les frères de Jésus vinrent
le trouver, mais ils ne pouvaient pas
arriver jusqu’à lui à cause de la foule.
On le lui fit savoir : « Ta mère et tes frères
sont là dehors, qui veulent te voir. »
Il leur répondit : « Ma mère et mes frères
sont ceux qui écoutent la parole de
Dieu et la mettent en pratique. »
Luc 8,19-21
Et Dieu, qui scrute les cœurs, connaît
les intentions de l’Esprit puisque c’est
selon Dieu que l’Esprit intercède pour
les fidèles. Nous le savons, quand les
hommes aiment Dieu, lui-même fait
tout contribuer à leur bien, puisqu'ils sont
appelés selon le dessein de son amour.
Ceux que, d’avance, il connaissait,
il les a aussi destinés d’avance à être
configurés à l’image de son Fils, pour
que ce Fils soit le premier-né
d’une multitude de frères.
Romains 8,27-29
Il lui fallait donc se rendre en tout
semblable à ses frères, pour devenir
un grand prêtre miséricordieux et digne
de foi pour les relations avec Dieu,
afin d’enlever les péchés du peuple.
Hébreux 2,17
En Jésus, le Fils de Dieu, nous avons le grand prêtre
par excellence, celui qui a traversé les cieux ; tenons
donc ferme l’affirmation de notre foi. En effet, nous
n’avons pas un grand prêtre incapable de compatir à
nos faiblesses, mais un grand prêtre éprouvé en toutes
choses, à notre ressemblance, excepté le péché.
Avançons-nous donc avec assurance vers le Trône de
la grâce, pour obtenir miséricorde et recevoir, en temps
voulu, la grâce de son secours.
Hébreux 4,14-16
Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits,
car, je vous le dis, leurs anges dans les cieux
voient sans cesse la face de mon Père qui est
aux cieux.Quel est votre avis ? Si un homme
possède cent brebis et que l’une d’entre elles
s’égare, ne va-t-il pas laisser les quatre-vingt-
dix-neuf autres dans la montagne pour partir
à la recherche de la brebis égarée ? Et, s’il
arrive à la retrouver, amen, je vous le dis : il
se réjouit pour elle plus que pour les quatre-
vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées.
Ainsi, votre Père qui est aux cieux ne veut pas
qu’un seul de ces petits soit perdu. Si ton frère
a commis un péché contre toi, va lui faire des
reproches seul à seul. S’il t’écoute, tu as gagné
ton frère. S’il ne t’écoute pas, prends en plus
avec toi une ou deux personnes afin que toute
l’affaire soit réglée sur la parole de deux ou trois
témoins. S’il refuse de les écouter, dis-le à
l’assemblée de l’Église ; s’il refuse encore d’écouter
l’Église, considère-le comme un païen et un
publicain. Amen, je vous le dis : tout ce que
vous aurez lié sur la terre sera lié dans le ciel,
et tout ce que vous aurez délié sur la terre sera
délié dans le ciel.
Matthieu 18,10-18
Demeurez en moi, comme moi en vous.
De même que le sarment ne peut pas
porter de fruit par lui-même s’il ne
demeure pas sur la vigne, de même vous
non plus, si vous ne demeurez pas en moi.
Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments.
Celui qui demeure en moi et en qui je demeure,
celui-là porte beaucoup de fruit, car, en dehors
de moi, vous ne pouvez rien faire. Si quelqu’un
ne demeure pas en moi, il est, comme le sarment,
jeté dehors, et il se dessèche. Les sarments secs,
on les ramasse, on les jette au feu, et ils brûlent.
Luc 15,4-6
Les pharisiens et les scribes de leur parti
récriminaient en disant à ses disciples :
« Pourquoi mangez-vous et buvez-vous avec
les publicains et les pécheurs ? » Jésus leur
répondit : « Ce ne sont pas les gens en bonne
santé qui ont besoin du médecin, mais les
malades. Je ne suis pas venu appeler des justes
mais des pécheurs, pour qu’ils se convertissent. »
Ils lui dirent alors : « Les disciples de Jean le Baptiste
jeûnent souvent et font des prières ; de même ceux
des pharisiens. Au contraire, les tiens mangent et
boivent ! » Jésus leur dit : « Pouvez-vous faire jeûner
les invités de la noce, pendant que l’Époux est avec
eux ? Mais des jours viendront où l’Époux leur
sera enlevé ; alors, en ces jours-là, ils jeûneront. »
Luc 5,30-35
Car beaucoup sont appelés, mais peu sont élus. » Alors les pharisiens allèrent tenir conseil pour prendre Jésus au piège en le faisant parler. Ils lui envoient leurs disciples, accompagnés des partisans d’Hérode : « Maître, lui disent-ils, nous le savons : tu es toujours vrai et tu enseignes le chemin de Dieu en vérité ; tu ne te laisses influencer par personne, car ce n’est pas selon l’apparence que tu considères les gens. Alors, donne-nous ton avis : Est-il permis, oui ou non, de payer l’impôt à César, l’empereur ? » Connaissant leur perversité, Jésus dit : « Hypocrites ! pourquoi voulez-vous me mettre à l’épreuve ? Montrez-moi la monnaie de l’impôt. » Ils lui présentèrent une pièce d’un denier. Il leur dit : « Cette effigie et cette inscription, de qui sont-elles ? » Ils répondirent : « De César. » Alors il leur dit : « Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. » À ces mots, ils furent tout étonnés. Ils le laissèrent et s’en allèrent.
Matthieu 22,14-22
Dieu l’a ressuscité le troisième jour. Il
lui a donné de se manifester, non pas à
tout le peuple, mais à des témoins que
Dieu avait choisis d’avance, à nous qui
avons mangé et bu avec lui après sa
résurrection d’entre les morts.
Actes des Apôtres 10,27-48
Dieu nous a chargés d’annoncer au
peuple et de témoigner que lui-même
l’a établi Juge des vivants et des morts.
C’est à Jésus que tous les prophètes
rendent ce témoignage : Quiconque croit
en lui reçoit par son nom le pardon de ses
péchés. »
Actes des Apôtres 10,40-43
De nouveau, Jésus leur parla : « Moi, je suis la lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, il aura la lumière de la vie. » Les pharisiens lui dirent alors : « Tu te rends témoignage à toi-même, ce n’est donc pas un vrai témoignage » Jésus leur répondit : « Oui, moi, je me rends témoignage à moi-même, et pourtant mon témoignage est vrai, car je sais d’où je suis venu, et où je vais ; mais vous, vous ne savez ni d’où je viens, ni où je vais. Vous, vous jugez de façon purement humaine. Moi, je ne juge personne. Et, s’il m’arrive de juger, mon jugement est vrai parce que je ne suis pas seul : j’ai avec moi le Père, qui m’a envoyé. Or, il est écrit dans votre Loi que, s’il y a deux témoins, c’est un vrai témoignage. Moi, je suis à moi-même mon propre témoin, et le Père, qui m’a envoyé, témoigne aussi pour moi. » Les pharisiens lui disaient : « Où est-il, ton père ? » Jésus répondit : « Vous ne connaissez ni moi ni mon Père ; si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. »
Jean 8,12-19
Les scribes et les pharisiens lui amènent une femme qu’on avait surprise en situation d’adultère. Ils la mettent au milieu, et disent à Jésus : « Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. Or, dans la Loi, Moïse nous a ordonné de lapider ces femmes-là. Et toi, que dis-tu ? » Ils parlaient ainsi pour le mettre à l’épreuve, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus s’était baissé et, du doigt, il écrivait sur la terre. Comme on persistait à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Celui d’entre vous qui est sans péché, qu’il soit le premier à lui jeter une pierre. » Il se baissa de nouveau et il écrivait sur la terre. Eux, après avoir entendu cela, s’en allaient un par un, en commençant par les plus âgés. Jésus resta seul avec la femme toujours là au milieu. Il se redressa et lui demanda : « Femme, où sont-ils donc ? Personne ne t’a condamnée ? » Elle répondit : « Personne, Seigneur. » Et Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas. Va, et désormais ne pèche plus. »
Jean 8,3-11