L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que
le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a
envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres,
annoncer aux captifs leur libération, et aux
aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre
en liberté les opprimés, annoncer une année
favorable accordée par le Seigneur. Jésus
referma le livre, le rendit au servant et s’assit.
Tous, dans la synagogue, avaient les yeux
fixés sur lui.
( Luc 4, 18-20) Nous sommes donc les ambassadeurs du Christ, et par nous c’est Dieu lui-même qui
lance un appel : nous le demandons au nom
du Christ, laissez-vous réconcilier avec Dieu.
(2 Corinthiens 5, 20)...car, pour la femme, le mari est la tête,
tout comme, pour l’Église, le Christ est
la tête, lui qui est le Sauveur de son corps.
(Éphésiens 5, 23) Jésus, qui avait entendu, leur déclara :
« Ce ne sont pas les gens bien portants
qui ont besoin du médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler
des justes, mais des pécheurs. »
(Marc 2, 17)Alors il se mit à leur dire : « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que
vous venez d’entendre. »
(Luc 4, 21)...qui est son corps, et l’Église, c’est l’accomplissement total du Christ,
lui que Dieu comble totalement
de sa plénitude.
(Éphésiens 1, 23) Approchez-vous de lui : il est la pierre vivante rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu.
Vous aussi, comme pierres vivantes, entrez dans la
construction de la demeure spirituelle, pour devenir le
sacerdoce saint et présenter des sacrifices spirituels,
agréables à Dieu, par Jésus Christ. En effet, il y a ceci
dans l’Écriture : Je vais poser en Sion une pierre angulaire,
une pierre choisie, précieuse ; celui qui met en elle sa foi
ne saurait connaître la honte. Ainsi donc, honneur à vous
les croyants, mais, pour ceux qui refusent de croire, il est
écrit : La pierre qu’ont rejetée les bâtisseurs est devenue
la pierre d’angle, une pierre d’achoppement, un rocher sur
lequel on trébuche. Ils achoppent, ceux qui refusent d’obéir
à la Parole, et c’est bien ce qui devait leur arriver. Mais vous,
vous êtes une descendance choisie, un sacerdoce royal, une
nation sainte, un peuple destiné au salut, pour que vous
annonciez les merveilles de celui qui vous a appelés des
ténèbres à son admirable lumière. Autrefois vous n’étiez pas
un peuple, mais maintenant vous êtes le peuple de Dieu ;
vous n’aviez pas obtenu miséricorde, mais maintenant
vous avez obtenu miséricorde.
(1 Pierre 2, 4-10)