coeurtendre
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 | Sujet: Page de retour/Sujet/ Présentation 4 sujets sur l'Avortement/  Sam 16 Juil - 20:05 | |
| Chers(ères) amis(es) internautes de tous les pays du monde, non, je ne suis pas un survivant de l'avortement, mais un survivant de la maltraitance. Quand je parle de la maltraitance physique et psychologique que j'ai subie, il y a trois sortes de maltraitance. /1/La maltraitance dans mon milieu familial, celle que j'ai vécue dans 7 foyers nourriciers, y compris celle du harcèlement vécu dans le milieu scolaire. Quand les étudiants apprenaient qui nous vivions dans un foyer nourricier, très souvent nous étions concidérés comme des enfants atteints de maladies mentales. Ensuite le fait d'avoir fréquenté 7 foyers entre mes 3 ans et mes 9 ans, cela pouvait faire croire que nous étions des enfants difficiles à garder, alors que plusieurs familles nous gardaient uniquement pour l'argent. Dans plusieurs familles, on ne mangeait pas au même moment que les enfants de la famille qui nous gardait, et plus encore, on ne mangeait pas la même nourriture que leurs enfants. Quand le couple qui nous gardait savait à quelle date le travailleur social viendrait faire sa visite, nous avions droit à un traitement spécial pour nous convaincre de dire au travailleur social que nous étions bien traités. Exemple, la nourriture devenait la même que mangeaient leurs enfants, en plus des gâteries qu'ils nous donnaient durant la journée et le soir. Dans notre esprit d'enfant, nous pensions que le couple était devenu plus responsable envers nous. Mais très malheureusement, après la visite du travailleur social, le traitement redevenait ce qu'il était avant la visite de celui-ci. Selon ma longue expérience en relation d'aide sur le terrain de la vie, que nous soyons des survivants de la maltraitance ou des survivants de l'avortement, la vie nous a permis de franchir plusieurs étapes de multiples combats difficiles ; ils ont fait de nous des survivants n'ayant qu'un seul et unique désir, celui de sauver des vies en leur évitant de vivre les multiples souffrances que la vie nous a imposées à nous. Chose certaine, si je me guide sur mon expérience concernant la maltraitance, je sais que si un enfant se retrouve avec 4 membres de cassés entre l'âge de 2 ans et 3 ans, il ne faudrait pas être surpris que cet enfant devienne l'enfant du silence jusqu'à son départ de son milieu familial, comme je l'ai vécu. Quand j'ai commencé à entendre parler en quoi consistait l'avortement, les premiers mots qui me sont venus à l'esprit sont les mots souffrance, maltraitance, mort, survie, naître ou disparaître. Il n'y a pas si longtemps, un bon matin je me suis levé, j'avais rêvé que je répétais seulement deux mots : mort et avortement. Comme je suis un grand passionné pour les jeux de mots, je me suis demandé quelles étaient les Anagrammes qui habitaient le mot Avortement. Pour comprendre, clique sur le mot  Anagrammes . Une drôle de coïncidence, car dans les jours qui ont suivi mon rêve, les médias parlaient tellement du sujet de l'avortement, que j'en avais le vertige. Je me suis vite apercu que plusieurs journalistes parlaient du sujet de l'avortement avec beaucoup d'ignorance, en lien avec la pauvreté de leur incompétence journalistique centrée sur leur idéologie. Si on prend le temps de réfléchir avant de vouloir tout dire ou tout écrire, la meilleure façon de parler de l'avortement c'est de parcourir le Web 1/ en lisant les histoires des femmes qui se sont fait avorter, 2/ en lisant les histoires dramatiques des survivants(es) de l'avortement, 3/ en lisant aussi les témoignages des hommes et des femmes médecins avorteurs(ses), qui, du jour au lendemain, sont devenus des pro-vie. Bien sûr, ma question comme la vôtre est : Pourquoi devenir pro-vie après avoir provoqué l'avortement de milliers d'enfants? Pour répondre à votre question, j'ai passé proche trois semaines à faire une longue recherche sur les 4 sujets mentionnés ci dessus. Je vous invite à parcourir ma recherche à l'aide de pages de retour pour vous faciliter la lecture sur les quatre sujets ci dessous. Personnellement, depuis 2008 je fais des recherches sur des sujets sensibles mal compris, mal expliqués par plusieurs internautes qui ne prennent pas le temps de bien se nourrir avant de réagir en passant par le merveilleux chemin de l'écriture. Que ce soit sur les sujets de la pédophilie, l'inceste, le suicide, les enfants et les femmes battus, l'avortement, la maltraitance, les survivants de l'avortement, soyons prudent et vigilant, nous devons prendre beaucoup de temps pour lire les témoignages ou écouter des vidéos de personnes qui témoignent de ce qu'elles ont vécu en lien avec chaque sujet sensible mentionné ci-dessus. Sinon on risque de maltraiter le sujet au lieu de le traiter avec compétence. Dans ma longue recherche de trois semaines, c'est l'histoire d'Angie qui m'a le plus interpellé. Angie n’a fait preuve d’aucun signe de culpabilité ou de détresse quand elle a franchi les portes de l’établissement pour son neuvième avortement, mais une surprise attendait Angie et le personnel de la clinique d'avortement. On raconte dans son histoire qu'Angie fut curieuse et voulut voir de ses propres yeux le « morceau de tissu ». Elle demanda à l’employée de la clinique de lui montrer les restes de l’avortement, et celle-ci respecta sa décision. À 13 semaines, son bébé était complètement formé. Afin de vous permettre de comprendre la raison pour laquelle cette femme n'a eu aucune réaction lors de ses 8 avortements et a réagi au neuvième pour toutes les fois où elle n'avait pas réagi, clique sur le nom d'Angie et tu comprendras pourquoi des milliers de femmes n'ont pas réagi. Remarque importante :
le n°1, ce sont les mêmes liens que dans 2, 3, 4. J'ai décidé d'en faire une croix contenant le mot avortement, afin d'en faire une présentation pendant le temps du Carême, pour attirer l'attention des internautes sur la lourdeur de cette croix qui représente les multiples souffrances provoquées par l'avortement, et pour prier afin que l'avortement devienne un souvenir du passé et que chaque vie du moment présent soit accueillie avec respect.  Quand un coeur bat, c'est un signe vivant qu'il y a une vie qui va naître 
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