coeurtendre
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 | Sujet: Michel blogue/Sujet/l'Avortement/ Avec des internautes de notre forum, Facebook/Y compris sur le Web en général/  Mar 13 Sep - 21:29 | |
| Bonjour, chers(ères) amis(es) internautes. Entre moi et vous, parler de l'avortement, ou bien écrire sur le sujet de l'avortement évasivement sans l'avoir vécu, pour moi ce sont deux approches différentes. Pensons aussi aux  survivants(es) de l'avortement qui, eux, l'ont vécu, sans oublier les médecins qui l'ont pratiqué pendant plusieurs années ; mais une question qui devrait nous intéresser concernant ces médecins avorteurs, c'est : Pourquoi un médecin pro-choix qui a pratiqué l'avortement pendant plusieurs années, pourquoi est-il devenu pro-vie avec un immense regret d'avoir été pro-choix? Selon moi, les médecins pro-choix devenus pro-vie, qui ont pratiqué des milliers d’avortements, sont les meilleurs témoins pour s'exprimer sur le sujet de l'avortement, y compris ceux que l'on appelle les survivants de l'avortement. Personnellement, je ne suis pas un survivant de l'avortement, mais je suis un survivant de la maltraitance. Vous comprendrez pourquoi je suis hyper-sensible sur le sujet de l'avortement. Je sais d'expérience qu'il y a une triple différence entre parler de maltraitance sans l'avoir vécue, et en parler en l'ayant vécue. Vous comprendrez qu'une telle lecture des survivants(es) de l'avortement, et aussi des médecins pro-choix devenus pro-vie, cette lecture est l'une des meilleures façons de comprendre l'ignorance et les dangers que représentent les groupes pro-choix, qui eux, ont eu la liberté de naître. Avant de m'exprimer sur le sujet de l'avortement, j'ai écouté comme j'ai lu et relu les témoignages des 17 survivants de l'avortement : L'histoire de Gianna Jessen, Melissa Ohden, Dr. Imre Téglásy, Claire Culwell, Brandi Lozier, Josiah Presley, Sarah Brown, Morrison, Ana Rosa, Heidi Huffman, Lauren Pulliam, Baby Claire, Jim Kelly, Ximena Renaerts, Baby Hope, Shanice Osbourne, Brandi Lozier. Si je me guide sur ma longue expérience en relation d'aide sur le terrain de la vie, et non entre les 4 murs d'un bureau comme cela se vit dans notre pauvre monde de l'aujourd'hui, que ce soit les victimes de la maltraitance, les victimes de l'avortement qui en sont devenues les survivantes, ou encore les victimes d'inceste, les victimes de la pédophilie, les victimes de pervers narcissiques, ce n'est qu'après en avoir vécu la mauvaise expérience qu'il nous est possible de comprendre ceux et celles qui l'ont aussi vécue. Selon moi, il vaut mieux être à l'écoute de ceux qui en sont devenus les victimes, que de s'exprimer évasivement sur les sujets mentionnés ci-dessus. En lisant sur les sujets de l'avortement en général, le témoignage d'une jeune femme m'a plus surpris que tous les autres. Si vous avez le désir de lire son témoignage, clique sur la phrase suivante >>> "Elle riait en allant à son 9e avortement. Mais quand on lui montra son bébé..." C'est le témoignage d'Angie. Les deux citations que j'ai retenues de son témoignage sont les suivantes. 1/Cependant, après sa neuvième procédure, Angie fut curieuse et voulut voir de ses propres yeux le « morceau de tissu ». Elle demanda à l’employée de la clinique de lui montrer les restes de l’avortement et celle-ci respecta sa décision. À 13 semaines, son bébé était complètement formé. 2/La réaction d’Angie n’était pas celle qu’anticipait l’employée : « “Merci”, répondit-elle, sans perdre son fameux sourire. Cependant, lorsque son regard s’est tourné vers le récipient, elle haleta brusquement et demeura silencieuse pour la première fois depuis son arrivée à la clinique. Après quelques instants, son corps entier frissonna et la chair de poule se dressa sur ses bras. Lorsqu’elle tendit le bras pour toucher le bébé, j’ai tenté de retirer le plat hors de sa portée, mais elle agrippa mon poignet pour m’arrêter. Nous sommes restées silencieuses pendant quelques instants alors qu’elle fixait toujours le récipient. Je me suis reculée et Angie tomba à genoux, ses doigts toujours agrippés à mon poignet. Les filles de la salle de récupération commencèrent à nous observer, ce qui augmenta grandement mon inconfort. » Ayant réalisé son erreur, l’employée tenta à plusieurs reprises de reprendre le plat contenant les parties sanglantes du corps, mais Angie ne voulait pas se détacher des restants de son enfant. L’employée continue : « Angie restait figée au sol. “C’est un bébé”, disait-elle d'une voix à peine audible. “C’était mon bébé”. Le ton de sa voix augmentait alors qu’un torrent de mots s’échappait de sa bouche. Les paroles qu’elle prononçait mettaient les gens très mal à l’aise. “Qu’est-ce que j’ai fait? Qu’est-ce que j’ai fait?” répétait-elle encore et encore. Elle se mit à pleurer et certaines filles commencèrent à sangloter avec elle. D’autres couvraient leur visage avec leur bras ou enfonçaient leur tête dans le bras des fauteuils inclinables. » Voilà, chers(ères), je vous encourage à lire le témoignage d'Angie, y compris le témoignage des 17 noms et prénoms des survivants de l'avortement ci-dessus. En lisant les 17 témoignages des survivants et celui d'Angie, je me demandais quelle serait la réaction du pauvre premier ministre Justin Trudeau et celle de Joe Biden. Si les deux hommes avaient la possibilité d'écouter le témoignage des 17 survivants de l'avortement, quelle serait leur réaction sur le plan visuel en écoutant les témoignages des survivants(es)? J'aurais un plaisir fou qu'il y ait la possibilité d'avoir une caméra en direction du visage de Justin Trudeau et de celui de Joe Biden au même moment où ils écouteraient les 17 témoignages des survivants de l'avortement. Si j'écris ainsi, c'est que j'ai été plusieurs années conférencier dans les écoles, y compris dans plusieurs groupes et associations. Quand j'abordais le sujet de la maltraitance des enfants et des femmes battues, juste à voir les larmes qui coulaient sur le visage de certains étudiants, ça me permettait de découvrir quel étudiant avait besoin d'une écoute attentive. Dans une école privée de jeunes filles, 7 étudiantes m'avaient écrit en privé en me confiant qu'elles pensaient souvent au suicide. Voilà, chers(ères) amis(es) internautes, encore une fois je vous encourage à lire comme à écouter les témoignages des survivants(es) de l'avortement. Si vous avez une ou des questions, je vais vous répondre avec tout le plaisir de mon coeur. Je remercie Campagne Québec Vie de me permettre de prendre la parole sur leur page Facebook, avec toutes mes félicitations pour votre engagement à vouloir protéger la beauté de chaque vie. Remarque importante: Si vous avez vécu des traumatismes relatifs à l'un des sujets sensibles mentionnés ci-dessus, je vous encourage de tout coeur à lire ou à écouter les témoignages en groupe, et non seul devant votre écran. Voici pourquoi je vous conseille avec autant de prudence et de sensibilité : Après avoir vécu ma longue expérience de 15 ans 1/2 de maltraitance, un jour je passe devant un cinéma qui affichait le titre Aurore l'enfant martyre. Je connaissais la définition des mots enfant battu et maltraitance, mais je me demandais ce que voulaient dire les mots enfant martyre? Je suis allé regarder le film du début jusqu'à la fin, mais je l'ai écouté beaucoup plus que regardé parce que cela me rappelait ma vie de maltraitance. Ce n'est que la troisième fois, en faisant l'achat du DVD, que j'ai réussi à écouter et regarder du début jusqu'à la fin. Les deux dernières histoires tragiques qui m'ont marqué en profondeur, ce sont La petite martyre de Gramby et la maison de l'horreur . Selon moi, tant que l'institution de la santé publique ne se libèrera pas de son cancer de la bureaucratie, il y aura de plus en plus de maltraitance, autant chez les femmes que chez les enfants, y compris les personnes handicapées et les personnes âgées.
Citation, sujet avortement/À retenir :
Quelle différence y a-t-il entre l'avortement et un Hitler qui tuait des humains dans les chambres à gaz, un Donald Trump raciste et dictateur, et le gouvernement Justin Trudeau qui utilise aussi la dictature en imposant à ses futurs candidats de s’engager à voter pro-choix,(mais cela ne fait pas l’unanimité chez ses députés)? Si le désir de Justin Trudeau était sérieusement de vouloir protéger les femmes, il en profiterait pour expliquer aux femmes qu'elles doivent reproduire cette même protection auprès de leurs enfants à naître. | |
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