Ps: J'espère avoir la compréhension des personnes qui vont me lire ; il n'est pas facile d'aborder un sujet aussi important en quelques courtes citations car c'est un sujet trop sérieux. Merci de votre bonne compréhension.
Parfois je me demande si les médecins à 1.500 patients chacun, ne sont pas en train de nous aider à mourir au lieu de nous aider à bien vieillir en santé. Comme les médecins ont une surcharge de patients imposée par le pauvre ministre Docteur Barrette approuvé par le premier ministre Philippe Couillard, on peut comprendre que les médecins s’occupent tellement des dossiers qu'il ont peu de temps pour rencontrer et écouter le patient, surtout quand il s'agit de maladie chronique. Autrefois les médecins consultaient le dossier, ensuite ils regardaient leur patient, ils l'écoutaient et répondaient à ses questions quand il y en avait. Dès qu'un nouveau changement survenait et pouvait mettre la vie du patient en danger, celui-ci prenait rendez-vous avec un seul et même médecin. Aujourd'hui la médecine à haute vitesse fait que différents médecins, et beaucoup trop d'entre eux, regardent le dossier du patient devant le patient sans jamais regarder le patient, même si le patient pose une question, qui parfois reçoit une réponse évasive que ne correspond même pas à la question posée.
Comme si la plupart des médecins, surtout chez les hommes, pensaient ne plus avoir besoin d'interroger le patient ni répondre à ses questions pour mieux comprendre les nouveaux changements de son état de santé depuis sa dernière visite qui parfois se fait une à deux fois par an. Tout pour écrire que quand des médecins prennent des responsabilités à l'intérieur du gouvernement, leurs actions prouvent qu'ils n'ont pas compris en profondeur le vrai sens de leur profession comme médecins à l'écoute du patient ; ils font en effet un choix non-professionnel, celui de se contenter de prendre en charge le dossier du patient mais sans réel contact avec le patient. Personnellement je suis à Trois-Rivières depuis 8 ans et j'ai consulté proche 20 médecins en 8 ans.
Quand je dois me rendre dans un Centre Hospitalier à l’extérieur de Trois-Rivières on me demande : Quel est le nom de votre médecin à Trois-Rivières? Personnellement je réponds que j'en ai tellement eu que j'en suis rendu au 19ème et que je ne me souviens pas du 20ème car il est nouveau, je ne l'ai pas encore rencontré, je n'ai entendu son nom qu'une fois en prenant un rendez-vous par téléphone.
Selon moi depuis que les médecins ont pris place au sein du gouvernement ils accordent beaucoup plus de soin à l'appareil gouvernemental qu'à chacun de leurs patients. La place des médecins est auprès de leurs patients et dans les centres hospitaliers, pour protéger les structures hospitalières, le personnel, et prendre soin de leurs patients.
Depuis que des médecins occupent la fonction de ministre ou premier ministre, député, etc., au sein du gouvernement, c'est comme si plusieurs d'entre eux avaient perdu le discernement du vrai sens de leur profession de médecin, comme ça se vivait autrefois où le médecin prenait le temps de communiquer avec chaque patient, en plus de répondre à ses questions. Aujourd'hui trop de médecins pensent qu'ils n'ont plus besoin du patient pour le soigner, le dossier leur suffit. Comme si le patient devenait le dossier et que le dossier remplaçait le patient.
Selon moi un médecin c'est un médecin, comme un premier ministre c'est un premier ministre ; vouloir vivre deux professions en même temps c'est irréaliste, c'est un grand manque de professionnalisme, surtout concernant le médecin qui a une responsabilité plus délicate qu'un premier ministre car il y a une sacrée différence entre parler en public et prendre soin de chaque patient individuellement.
Il vaut mieux bien accomplir une seule profession et se donner dans le 100%, que d'avoir une double profession et donner du 50% dans chacune des professions, surtout quand cela concerne une profession où l'on vient en aide à des personnes qui portent de très grandes maladies chroniques, et qui selon la gravité de leur maladie se doivent à tout prix d'éviter des médecins qui se contentent de donner du 50% comme médecin et du 50% dans une autre profession.
Depuis que l'appareil gouvernemental est sous la direction des médecins, de plus en plus de problèmes surgissent dans les centres hospitaliers comme dans les résidences pour personnes âgées, en France comme au Canada, sans oublier le Québec, etc. Je suis certain que les médecins d'autrefois qui se donnaient à leur profession dans le 100%, seraient contre ces médecins qui veulent être partout à la fois, là où ils misent beaucoup plus sur la qualité de leur salaire que sur la qualité des soins. On peut comprendre pourquoi de plus en plus de personnes attendent le dernier moment pour consulter, de peur de se rendre à l'hôpital, comme ce fut mon cas il y a quelques semaines. Autrefois presque tous les médecins donnaient le meilleur d'eux-mêmes ; aujourd'hui tout est entremêlé : Ceux qui donnent du 100% d'eux-mêmes se font de plus en plus rares, et ils sont mêlés avec d'autres médecins qui ne donnent que du 50%, à un tel point qu'on a de la difficulté à faire la différence entre le(la) préposé(e ), l'infirmier(ère), et le médecin.
Il y a quelques semaines j'ai été hospitalisé d'urgence et j'ai trouvé que le préposé au plancher que l'on appelait le concierge, avait été plus accueillant que le médecin qui est entré dans ma chambre sans se présenter, sans me regarder, mais en regardant mon dossier en me parlant, tout en lisant mon dossier en même temps, sans oublier qu'il parlait sur la haute vitesse comme s'il y avait le feu dans l’hôpital.
Le préposé au plancher lui, est entré dans ma chambre en me disant bonjour et en me regardant droit dans les yeux avec le sourire. Je me suis mis à rire aux éclats ; il me demanda pourquoi je riais ainsi.
Je lui répondis que quand mon médecin et plusieurs préposés auprès des patients, et parfois des infirmières, étaient entrés dans ma chambre pour prendre soin de moi, ils regardaient le plancher sans me regarder comme patient, alors que lui le préposé pour le plancher entre dans ma chambre et me regarde comme patient en souriant, en me disant bonjour avant de laver le plancher. Il partit à rire en me remerciant des bonnes qualités à son égard, en me disant : "Comme ça fait du bien que quelqu'un nous en fasse la remarque.
"Le monde à l'envers. Je crois que le gouvernement mise trop sur la performance des hautes technologies médicales les plus modernes, les plus spécialisées, sans se rendre compte qu'en exerçant des coupures dans certains services essentiels, surtout dans le personnel, il est en train de déshumaniser les centres hospitaliers et les centres d'hébergement pour personnes âgées où l'on constate beaucoup de négligence, d'abus, de vols, de manques de respect dans la communication verbale, sans oublier la maltraitance. Ne soyons pas surpris si un jour on remplace une partie du personnel manquant par un surplus de caméras, de systèmes d'alarme après les lits, comme ce fut le cas durant mon hospitalisation où j'étais plus protégé qu'un criminel dans une prison.
À peine je me soulevais dans mon lit qu'en peu de temps une infirmière ou une préposée venait voir, et pourtant je suis une personne qui n'aurait jamais débarqué de son lit sans actionner la sonnerie proche du lit.
Citation à retenir : A quand le personnel robotisé pour surveiller les patients ou leur donner leur cabaret à l'heure du repas, sans oublier de leur donner un médicament?
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s’abstenir, car le but de l'approche est de faire la vraie lumière sur les grands dysfonctionnements
dans les centres hospitaliers et les résidences pour personnes âgées.
Comme les Comités des plaintes et plusieurs membres du personnel des centres hospitaliers et des résidences pour personnes âgées ferment les yeux sur la gravité de trop de plaintes formulées par ceux qui les subissent en leur faisant parvenir une lettre d'une page où il est écrit : par les responsables des comités des plaintes qui protègent beaucoup plus les personnels infirmiers, les préposés(es), ainsi que certains médecins, même à Trois-Rivières.
Selon mon expérience personnelle, je me souviens qu'il n'y a pas si longtemps une infirmière avait présenté des excuses pour le comportement du médecin qui avait fait un lien entre mon problème d'asthme sévère et la santé mentale, en me disant devant l'infirmière que mon problème n'était pas mes poumons mais dans ma tête, en pointant sa tempe avec ses doigts. Plus tard, lors d'une autre rencontre avec un vrai spécialiste d'un Centre Hospitalier de Montréal, celui-ci m'assura qu'il n'y avait aucun lien entre mon asthme et la santé mentale et mes allergies à la cortisone qui provoquaient des enflures sur toutes les parties de mon corps sans exception. Pour en revenir au médecin fautif qui accompagnait les étudiants(es) universitaires, je lui avais montré les photos preuves des enflures mais il les regarda sans trop y porter attention.
Ma pneumologue au contraire, y porta beaucoup d'attention tout en reconnaissant ses limites, en me disant qu'elle ne pouvait pas donner d'explication à cette forme d'allergie que me causait la cortisone.
Comme les rencontres était filmées par caméra, je crois que le médecin a dû revoir la vidéo et s'apercevoir que l'infirmière en stage avait présenté des excuses à moi-même et à mon épouse à cause de ses propos inappropriés ; c'était le médecin qui accompagnait cette femme étudiante qui avait un respect extraordinaire dans son approche, surtout si l'on compare avec ce médecin qui ne me regardait jamais quand il me parlait froidement, ne respectant pas le code d'éthique du conseil d'administration du centre hospitalier de Trois-Rivières.
Le lendemain de cette malheureuse rencontre j'ai rappelé au Centre Hospitalier Universitaire et la secrétaire m'a dit que cette dame ne travaillait plus à l’hôpital. J'ai demandé à parler au médecin qui l'avait accompagnée mais il y a eu refus de me dire ses nom et prénom. Je suis retourné au Centre Hospitalier Universitaire et je l'ai revu, il y travaillait encore, mais il faudrait que je puisse être accompagné d'un témoin pour le rencontrer car je n'ai aucunement confiance pour le rencontrer seul.
Pour la dame j'ai trouvé cela très dommage, cette jeune femme avait une approche très professionnelle avec les patients. Je suis convaincu qu'elle fut mise à la porte parce que le médecin fautif a dû être très mécontent qu'elle présente des excuses auprès de nous, juste après son départ quand il a visionné la vidéo de notre rencontre, car chaque rencontre est filmée pour être revue par des étudiants grâce au superviseur, au cas où il y aurait des erreurs dans leur approche avec les patients.