coeurtendre
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 | Sujet: Chers amis pères Jésuites/y compris tous les internautes en général . . . /  Ven 26 Nov 2021 - 15:26 | |
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 1/ Chers amis pères Jésuites, j'ai eu le privilège de vivre 25 ans et plus avec des prêtres et des religieux comme laïc. Ce qui m'a surpris, c'est que je n'ai jamais demandé à aucune communauté religieuse de m'accueillir pour vivre avec eux. La demande se faisait toujours par un prêtre, un religieux ou une religieuse qui m'avait rencontré au moment où je donnais soit le témoignage de ma première rencontre avec Jésus-Christ, soit quand je donnais une conférence sur un sujet spirituel, toujours à partir de plusieurs faits vécus. Ce qui a piqué ma curiosité à venir sur votre page Facebook, c'est le don du père  Henri Boulad S.J., qui a vraiment un charisme particulier pour annoncer la Bonne Nouvelle de l'Évangile. Le deuxième, c'est le pape François S.J., qui a tellement cette passion d'être un pape de la nouvelle évangélisation, qu'à chaque fois que je l'écoute comme à chaque fois que je fais la méditation de ses homélies, il renvoie la mémoire de mon coeur à l'histoire du prophète Moïse quand il redescendit du Mont Sinaï.
2/ J'aime beaucoup lire et relire l'histoire de Moïse pour passer à l'étape de la méditation sous forme d'une oraison en floraison, où l'oraison nous donne une bonne raison de multiplier nos bonnes actions ensemencées par les Dons de l'Esprit-Saint, qui permet aux personnes que Dieu met sur notre chemin de vie, de nous identifier comme des disciples et apôtres de Jésus-Christ sans que nous soyons obligé de dire qui nous sommes. Pour être plus précis, je parle d'une oraison contemplative où l'on passe par la contemplation pour enrichir chacune de nos actions voulues et désirées par Dieu. Ce qui me passionne le plus dans l'histoire de Moïse, c'est la citation suivante : "Lorsque Moïse redescendit de la montagne du Sinaï, ayant en mains les deux tables des 10 commandements, il ne savait pas que son visage rayonnait de lumière depuis qu’il avait parlé avec le Seigneur. Aaron et tous les fils d’Israël virent arriver Moïse : son visage rayonnait. Comme ils n’osaient pas s’approcher, Moïse les appela. Aaron et tous les chefs de la communauté vinrent alors vers lui, et il leur adressa la parole."
3/ L'histoire du prophète Moïse m'a fait comprendre en peu de temps l'importance de monter sur la montagne pour que moi, sa petite créature, je puisse me retrouver seul à seul avec Dieu au coeur de la nature, pour laisser Dieu être Dieu dans mon coeur de pauvre afin de m'enrichir des dons de Son Esprit d'Amour. Notre vraie mission comme notre vraie passion, c'est de nous présenter à chaque jour devant le Christ dans un esprit de prière et de contemplation avant de passer à l'action. Dès que l'on s'éloigne trop de cette prière contemplative, notre vie devient trop active et nos actions répétitives deviennent une habitude qui nous éloigne du chemin des Béatitudes. Que ce soit le père Henri Boulad S.J., le pape François S.J., ou le père Cantalamessa Capucin, ce sont ces deux Jésuites qui ont attiré ma curiosité à venir m'enrichir sur votre page Facebook. Dans une de ses présentations, Wikipédia écrit : Le pape François annonce le 25 octobre 2020 sa création cardinalice ainsi que 12 autres prélats et prêtres, il est créé lors du consistoire du 28 novembre 2020. Exceptionnellement le cardinal Raniero Cantalamessa demande à ne pas recevoir l'ordination épiscopale comme il est d'usage pour tous les nouveaux cardinaux non-évêques depuis Jean-Paul II. Sa demande est acceptée par le pape François, le cardinal Cantalamessa en effet a souhaité rester frère capucin, il déclare le 28 novembre : "L'autre raison est le désir de mourir avec l'habit franciscain : chose qu'on m'aurait difficilement permise si j'avais été évêque".
4/ Michel partage : Quand on est conscient que cela fait 40 ans que le père Raniero Cantalamessa prêche aux Papes et qu'il refuse le gros titre de cardinal, c'est la preuve d'une simplicité évangélique qui prouve que sa passion est hyper-sensible pour l'annonce de la Bonne Nouvelle de l'Évangile, tout en restant un simple frère mineur Capucin. Ensuite, le fait qu'il est écrit dans l'article de Wikipédia que la demande du père Cantalamessa de ne pas recevoir l'ordination épiscopale a été acceptée par le pape François, est une preuve que la simplicité évangélique du pape François habitait son coeur de pasteur, comme si la simplicité de l'un entrait en contact avec la simplicité évangélique de l'autre. 5/ Cette richesse évangélique de la simplicité du père Cantalamessa comme de celle du pape François, y compris du père Boulad S.J., me rappelle l'histoire d'un pauvre curé de paroisse qui avait reçu le titre de Monseigneur, mais lui, il a été le contraire du père Cantalamessa et du pape François, il a fait la demande à ses paroissiens(nes), avant la célébration de la sainte messe, de ne plus l'appeler Mr le curé, mais il voulait absolument qu'on l'appelle  Monseigneur  ... Un titre qui identifie la profession d'une personne peut être très utile autant au civil que dans l'Église, mais tout dépend de la capacité de celui ou de celle qui le reçoit, y compris de sa passion pour sa profession qui doit l'emporter sur la beauté du titre.
6/ En écrivant ma réflexion, comment oublier cette femme qui avait le titre de présidente d'un organisme pour les pauvres? Elle choisissait des personnes très fragiles psychologiquement pour former son conseil d'administration, en exerçant un mauvais contrôle sur chacune d'elles. Si un membre du conseil ne pensait pas comme elle, elle le mettait à la porte du conseil d'administration. Elle exerçait un si mauvais contrôle sur toutes les personnes du conseil d'administration, qu'elle avait réussi à se faire nommer à vie Directrice de l'oeuvre de cette soupe populaire. Il a fallu que la paroisse passe par les médias et la justice pour faire le grand ménage dans cette oeuvre. Plusieurs mois avant sa destitution, pour attirer l'attention de l'évêque sur elle et non sur l'oeuvre des pauvres, elle invita l'évêque du diocèse à un grand banquet dans le sous-sol de l'église.
7/ Je ne sais pas si cette dernière avait lu le verset Biblique "les derniers seront les premiers" dans l'Évangile de Luc (19, 11-28), mais la pauvre femme s'est fait jouer un mauvais tour par elle-même. Elle avait préparé une table spéciale, où l'évêque serait assis avec les personnes les plus importantes des paroisses du diocèse. Mais elle, elle avait choisi la dernière place en allant s'asseoir au fond de la salle. Elle pensait qu'en ne faisant pas partie des invités(es) assis à la belle table d'honneur de l'évêque, celui-ci l'inviterait devant les personnes présentes au banquet, en lui disant : Madame, pourquoi êtes-vous si loin, allez, venez, venez Mme la présidente, venez vous asseoir près de moi. La pauvre dame, elle s'est fait jouer un tour par elle-même, car l'évêque ne l'a pas invitée. Elle a été choquée pendant plusieurs mois, et, comme on dit, elle était en beau maudit contre l'évêque. Elle a dit à des membres de son conseil d'administration : C'est moi qui suis la Présidente pis l'évêque ne m'a même pas invitée à la table d'honneur, alors que c'est moi qui lui ai préparé un banquet d'honneur, moi qui ai travaillé comme une maudite folle pour y préparer ce maudit banquet!
8/ Depuis que j'ai vécu cette expérience avec cette pauvre dame, chaque fois que je lis l'Évangile de Saint-Luc sur les derniers qui seront les premiers, impossible d'oublier ce fait vécu qui restera greffé dans mon coeur de pauvre. Quand on m'a demandé de remplacer la présidente, voici la condition que j'ai présentée au curé de la paroisse, aux marguilliers, et aussi en présence des Chevaliers de Colomb. J'avais refusé de remplacer la dame à deux reprises, car je savais que cette oeuvre était dénuée de toute règlementation depuis 20 ans et que les policiers devaient intervenir très souvent à cause de la violence, la drogue et la consommation de boisson avant que les pauvres puissent venir prendre leur repas. Les consommateurs devenaient un danger pour ceux et celles qui ne consommaient pas, surtout qu'il y avait une garderie juste en-dessous de cette oeuvre. Comme personne ne voulait prendre la relève à cause de la dangerosité extrême, alors pour faire plaisir au curé qui voulait permettre aux pauvres d'avoir accès au sous-sol de l'église pour venir prendre leur deux repas, et comme il ne trouvait personne, je leur ai dit oui, que j'acceptais d'en prendre la responsabilité, mais à une seule condition, celle d'avoir un titre beaucoup plus long que celui de président.
9/ Vous comprendrez aisément que tout le monde dans la salle a plongé son regard dans le regard du curé, en se demandant : Quelle sorte de titre il veut, celui-là, pour l'amour de Dieu, il se prend pour qui, lui? Le curé, avec un regard qui voulait tout dire, me demanda : Michel, quel est le titre que tu voudrais avoir? Je lui ai répondu : Le titre de président n'a que 9 lettres, alors que le titre que je désire avoir, il a 12 lettres, surtout quand on le met au pluriel. Ma demande, elle est très simple, je voudrais simplement être (responsable), mais pas tout seul, je voudrais que chaque personne de la soupe populaire soit responsable avec moi et moi avec elle, y compris avec tous les autres membres du conseil d'administration. J'ai poursuivi en précisant que je voulais dire adieu au mot président et bienvenue à tous les responsables, en ajoutant : Nous travaillerons ensemble sur le même terrain de cette soupe populaire. Ceux qui y travailleront ne seront pas plus populaires que la soupe, nous serons simples parmi les simples.
10/ Pour vous aider à comprendre pourquoi aucune personne ne voulait prendre la relève de cet organisme, voici l'histoire de ma première soirée comme responsable. Le curé est venu me présenter comme le remplaçant de la présidente, accompagné de quelques marguilliers et en présence de quelques Chevaliers de Colomb. Après ma présentation, tout le monde est parti et je suis demeuré seul avec les bénévoles pour préparer le repas pour un groupe de 30 à 40 personnes qui venaient manger leurs deux repas par jour.
Une surprise incroyable m'attendait
11/ Comme j'étais nouveau en tant que responsable, j'étais loin, très loin de penser que je me ferais attaquer dès la première soirée de mon engagement comme simple responsable. Cette femme qui avait occupé le poste de présidente pendant 20 ans, sans règlement, était prête à employer tous les moyens pour reprendre sa place, en se servant des personnes qui vivaient une dépendance aux drogues comme à la boisson. La soirée où j'ai pris la relève comme responsable, la dame fit venir chez elle un homme, elle lui fit consommer drogue et boisson avant de lui donner une pelle à neige pour venir m'attaquer, lui faisant croire que moi, la personne qui la remplaçait, j'étais un pédophile. En agissant ainsi, cette pauvre femme n'était pas vraiment consciente que c'était une des meilleures façons qui permettrait aux marguilliers de découvrir sa vraie personnalité de femme perverse narcissique qui contrôle tout excepté sa perversité.
12/ L'homme entra avec sa pelle et frappa un peu partout après le comptoir, dans ma direction, et il finit par lancer sa pelle, toujours dans ma direction, sans m'atteindre. Ensuite il prit une ancienne assiette pleine de nourriture et me la lança en pleine figure. Il y eut une intervention des policiers qui vinrent chercher l'homme. Vous comprendrez que je n'ai jamais oublié ma première soirée comme responsable. Cette expérience restera inoubliable pour moi, car des femmes et des enfants pleuraient et même certains hommes quittaient les lieux.
13/ Dans les jours qui ont suivi, l'ancienne responsable poursuivait son oeuvre de harcèlement. Comme j'étais nouveau, je ne connaissais aucune personne dans cette ville. L'ex-responsable a convaincu un homme homosexuel de m'écrire une lettre d'amour pour me la faire parvenir directement au presbytère. En recevant la lettre surprise, je l'ai remise au curé, qui a réussi à savoir qui était son auteur, pour le rencontrer. L'homme, dans sa rencontre avec le curé et moi, m'a confirmé, devant nous et la secrétaire, que c'était l'ex-responsable, en échange de nourriture et de boisson, qui lui avait proposé de m'écrire en espérant une réponse, pour lui permettre de prouver qu'en plus d'avoir une orientation comme gay, j'étais pédophile. Cette femme avait reçu le beau titre de présidente, mais elle avait le comportement d'une femme contrôleuse qui voulait attirer l'attention sur sa personne, ni plus ni moins.
14/ Pour que mon approche soit bien comprise, je voudrais démontrer que connaître le titre de la profession de chaque personne autant au civil que dans l'institution de Notre Église, ce n'est pas suffisant. Cette femme ex-présidente était amie avec un prêtre qui faisait partie des Pèlerins de Saint-Michel (ou Bérets-blancs). Un prêtre qui n'était pas trop apprécié par les paroissiens et encore moins par ses confrères, ni par les communautés de religieuses. C'est une des raisons pour laquelle le curé a eu la gentillesse de l'accueillir comme vicaire au presbytère en pensant lui venir en aide, mais à quel prix  En 4 ans je n'ai jamais vu cet homme en prière à l'église. Mais il était présent le matin, le midi, le soir au souper, et aux nouvelles de 22 heures presque chaque jour comme chaque soir. Dans mes premiers mois au presbytère, il voulait devenir mon accompagnateur spirituel alors que lui-même n'avait pas de vie spirituelle ; à partir du moment où j'ai refusé, il s'est rangé du côté de la dame qui lui proposait de trouver un moyen de me faire mettre à la porte du presbytère. C'est ce qui lui aurait permis de reprendre sa place comme présidente. Pour mieux comprendre le comportement de ce prêtre qui portait un col romain, clique sur prêtre en rouge, ci-dessus. Je vivais comme je travaillais en présence de deux prêtres qui portaient un col romain, mais la différence entre les deux était comme le jour et la nuit. Le curé était aumônier des Chevaliers de Colomb. Ensuite c'était un homme de prière, nous avions du plaisir à faire de l'accompagnement auprès des pauvres dans un esprit communautaire, de même qu'il était possible de développer un sujet spirituel ensemble devant un groupe. Concernant l'attitude maladive du vicaire, comme j'ai travaillé de longues années auprès des personnes qui avaient besoin d'un accompagnement parce qu'elles avaient des problèmes de santé mentale, alors j'ai vite compris que cet homme avait un grand besoin d'être accompagné, parce qu'il était dans l'incapacité d'intervenir comme accompagnateur même s'il était vicaire.
15/ J'ai en effet vite compris que le pauvre prêtre aurait dû vivre dans un groupe avec d'autres prêtres, pour être accompagné spirituellement et mentalement. Le jour où il a posé un geste criminel, le curé lui a demandé de se trouver un autre endroit car tout le personnel du presbytère avait peur de vivre la même expérience que celle qu'il a voulu me faire vivre, alors que c'est une autre personne qui est tombée dans son piège. Dans les mois qui ont suivi son déménagement dans une congrégation de prêtres, on lui a interdit de célébrer la messe en public. Personnellement, j'en ai vite compris les raisons.
16/ Entre moi et vous, soyons sérieux, ce n'est pas seulement par un titre que l'on découvre les vraies richesses d'une personnalité, mais c'est surtout par le contenu de l'enveloppe corporelle, où il est possible de découvrir la richesse ou la pauvreté du coeur qui bat tout au long de notre parcours de vie quand on se fait pauvre et petit devant Dieu. Ne l'oublions jamais, l'enveloppe corporelle peut paraître belle et riche de l'extérieur et être vide au-dedans. Quand Dieu n'est pas présent dans notre enveloppe, elle a un gros zéro comme valeur, même si celle-ci a toute sa beauté extérieure mais en étant vide au-dedans. Comme il est possible de nous retrouver devant une personne qui dégage une pauvreté de l'extérieur mais en étant riche de l'intérieur. Oui, moi je vous le redis, soyons prudent et vigilant avant de porter un jugement sur l'apparence d'une personne, quel que soit son titre au civil ou sa vocation dans l'Église. La meilleure façon d'éviter les faux pas qui conduisent aux faux jugements, c'est de travailler ensemble en équipe avec l'Église de Jésus-Christ, en nous rassemblant dans le choeur de chacune de nos églises dans un esprit de prière et d'oraison.
17/ Je vais mettre un article du journal en date du 30 août 1995, qui est venu improviser une rencontre à partir du moment où j'avais proposé aux marguilliers de la paroisse de mettre 4 caméras pour la sécurité des bénévoles, des programmes extra-subventionnés par le gouvernement. Avec l'attaque que j'avais subie, je voulais rendre sécuritaire le lieu où les personnes venaient prendre leur repas dans le sous-sol de l'église, y compris la garderie d'enfants qui était au-dessus de nous. Le journal est venu sans nous prévenir car l'ex-présidente s'était plainte que les caméras brimaient la liberté des personnes qui venaient manger. En lisant l'article du journal , vous allez vous rendre compte que c'était le contraire des dires de cette femme assoiffée d'avoir le mauvais contrôle pour attirer l'attention sur son moi sans foi, vide de Dieu, où j'ai failli y laisser ma peau, comme on peut le voir dans la photo ci-dessous. Si on se guide sur l'article du journal et les lettres du vicaire , la différence est comme le jour et la nuit.
18/ Un jour, une dame se présente dans le sous-sol de l'église avec une robe transparente qui permettait de voir qu'elle portait des sous-vêtements, et un string qui laissait voir les fesses ; ça donnait l'impression qu'elle était nue en-dessous de sa robe. J'ai reçu un appel d'un membre du personnel qui travaillait sur un programme extra, me demandant de venir rencontrer le couple. Son compagnon m'a demandé de me rencontrer seul dans mon bureau, en me disant que c'était très important. Je me suis dit intérieurement : Je vais en profiter pour lui demander d'expliquer à sa compagne qu'il faut qu'elle retourne chez elle pour mettre une tenue qui corresponde aux règlements de la soupe populaire qui s'affichaient sur un tableau électronique.
19/ Mais à ma très grande surprise, au moment où j'entre dans mon bureau, l'homme me saute dessus à coups de poing et je tombe sur le dos sur le plancher de ciment ; le bruit a été entendu par la secrétaire du presbytère, qui a appelé les policiers. Ils ont conduit l'homme au poste de police et ils ont fait sortir sa compagne du sous-sol de l'église. Moi, je me suis retrouvé à l'hôpital avec des blessures dans la bouche, le poignet et 4 doigts de cassés. Dans les jours qui ont suivi, parmi les personnes qui venaient manger, nous avons reçu le témoignage de certaines d'entre elles, qui nous ont expliqué que c'était l'ex-présidente qui avait demandé à la jeune femme et à son compagnon de venir m'attaquer dans mon bureau, où il n'y avait pas de caméra. Son but était de me blesser juste assez pour que la soupe populaire se retrouve sans responsable, afin de lui permettre de reprendre sa place. Mais le lendemain j'étais de retour à mon travail comme responsable, et j'ai convoqué moi-même le personnel pour nous réunir tous, afin de partager sur la situation de cet homme violent. Il n'y a eu aucune poursuite de ma part, mais l'homme en question a fait 6 mois de prison parce que les policiers ont été témoins des faits quand il sont arrivés sur les lieux, en plus des témoignages de plusieurs personnes présentes dans la salle. Le titre en rouge, au-dessus du paragraphe, contient des photos qui expliquent visuellement le résultat de mon travail auprès de quelques personnes que j'ai accompagnées dans les années passées. Comme on dit, une photo vaut mille mots et plus. Mais attention, mille photos sans aucun mot, cela peut n'avoir aucune valeur, parce que chaque photo a son histoire. Voici un exemple, en cliquant sur : Exemple: En cliquant sur l''explication de la photo du lien en rouge, il y a quelques photos, et chaque photo a sa propre histoire/
Citation à retenir: “Les titres ne servent de rien pour
la postérité : le nom d’un homme qui a fait de grandes
choses impose plus de respect que toutes les épithètes.” | |
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