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 Ancien Testament /Sujet/Tutoiement envers Dieu

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coeurtendre
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MessageSujet: Ancien Testament /Sujet/Tutoiement envers Dieu   Ancien Testament /Sujet/Tutoiement envers Dieu Icon_minitimeMer 1 Mar - 22:34

Ancien Testament /Sujet/Tutoiement envers Dieu 206640364E57B95223FD03


Tutoiement  dans l'Ancien Testament,le tu revient (137 fois

Ils entendirent la voix du Seigneur Dieu qui se promenait dans le jardin à la brise du jour. L’homme et sa femme allèrent se cacher aux regards du Seigneur Dieu parmi les arbres du jardin. Le Seigneur Dieu appela l’homme et lui dit : « Où es-tu donc ? » Il répondit : « J’ai entendu ta voix dans le jardin, j’ai pris peur parce que je suis nu, et je me suis caché. » Le Seigneur reprit : « Qui donc t’a dit que tu étais nu ? Aurais-tu mangé de l’arbre dont je t’avais interdit de manger ? » L’homme répondit : « La femme que tu m’as donnée, c’est elle qui m’a donné du fruit de l’arbre, et j’en ai mangé. »

Genèse 3,8-12

 Moïse dit encore au Seigneur : « Pardon, mon Seigneur, mais moi, je n’ai jamais été doué pour la parole, ni d’hier ni d’avant-hier, ni même depuis que tu parles à ton serviteur ; j’ai la bouche lourde et la langue pesante, moi ! »Exode  Moïse entendit pleurer le peuple, groupé par clans, chacun à l’entrée de sa tente. Le Seigneur s’enflamma d’une grande colère. Cela déplut à Moïse, et il dit au Seigneur : « Pourquoi traiter si mal ton serviteur ? Pourquoi n’ai-je pas trouvé grâce à tes yeux que tu m’aies imposé le fardeau de tout ce peuple ? Est-ce moi qui ai conçu tout ce peuple, est-ce moi qui l’ai enfanté, pour que tu me dises : “Comme on porte un nourrisson, porte ce peuple dans tes bras jusqu’au pays que j’ai juré de donner à tes pères” ? Où puis-je trouver de la viande pour en donner à tout ce peuple, quand ils viennent pleurer près de moi en disant : “Donne-nous de la viande à manger” ? Je ne puis, à moi seul, porter tout ce peuple : c’est trop lourd pour moi. Si c’est ainsi que tu me traites, tue-moi donc ; oui, tue-moi, si j’ai trouvé grâce à tes yeux. Que je ne voie pas mon malheur ! »

Nombres 11,10-15

Le Seigneur dit alors à Moïse : « Rassemble-moi soixante-dix hommes parmi les anciens d’Israël, connus par toi comme des anciens et des scribes du peuple. Tu les amèneras à la tente de la Rencontre, où ils se présenteront avec toi. Là, je descendrai pour te parler, et je prendrai une part de l’esprit qui est sur toi pour le mettre sur eux. Ainsi ils porteront avec toi le fardeau de ce peuple, et tu ne seras plus seul à le porter. Au peuple, tu diras : Sanctifiez-vous pour demain ! Et vous mangerez de la viande, car les oreilles du Seigneur ont entendu vos pleurs quand vous disiez : “Qui nous donnera de la viande à manger ? Comme nous étions bien en Égypte !” Eh bien ! Le Seigneur vous donnera de la viande, et vous en mangerez ! Vous n’en mangerez pas seulement un jour, deux jours, cinq jours, dix jours, vingt jours, mais tout un mois, jusqu’à ce qu’elle vous sorte par le nez, et que vous en ayez la nausée. Tout cela parce que vous avez rejeté le Seigneur qui est au milieu de vous et que vous avez pleuré devant lui en disant : “Pourquoi donc sommes-nous sortis d’Égypte ?” » Moïse répliqua : « Le peuple au milieu duquel je suis compte 600 000 hommes à pied, et toi, tu dis : “Je leur donnerai de la viande, et ils mangeront pendant tout un mois !” Égorgera-t-on pour eux du petit et du gros bétail ? Et cela leur suffirait-il ? Tous les poissons de la mer, si on pouvait les ramasser pour eux, cela leur suffirait-il ? »

Nombres 11,18-22

 Et le Seigneur dit à Moïse : « Combien de temps encore ce peuple me méprisera-t-il ? Combien de temps refuseront-ils de croire en moi, de croire tous les signes que j’ai accomplis au milieu d’eux ? Je le frapperai de la peste et je le déposséderai. Et de toi je ferai une nation plus grande et plus puissante que lui ! » Moïse répondit au Seigneur : « Mais cela, les Égyptiens l’apprendront, car ce peuple, tu l’as fait sortir de chez eux par ta puissance, et ils le diront à l’habitant de Canaan ! Ils avaient appris que toi, Seigneur, tu es au milieu de ce peuple, que toi, Seigneur, tu te laisses voir les yeux dans les yeux, que ta nuée se tient au-dessus d’eux, que toi, tu marches devant eux, dans une colonne de nuée le jour, dans une colonne de feu la nuit.

Nombres 14,8-14

je dis : « Mon Dieu, j’ai trop de honte et de confusion pour lever mon visage vers toi, mon Dieu. Nos fautes sans nombre nous submergent, nos offenses se sont amoncelées jusqu’au ciel.

Esdras 9,6

 Je dis alors : « Ah ! Seigneur, Dieu du ciel, Dieu grand et redoutable qui garde l’alliance et la fidélité à ceux qui l’aiment et observent ses commandements, que ton oreille soit attentive, et tes yeux ouverts, pour écouter la prière de ton serviteur. Aujourd’hui, devant ta face je prie jour et nuit pour les fils d’Israël, tes serviteurs : je confesse les péchés des fils d’Israël, nos péchés contre toi ; moi-même et la maison de mon père, nous avons péché ! Nous avons vraiment mal agi envers toi ; nous n’avons pas observé les commandements, les décrets et les ordonnances que tu avais prescrits à Moïse, ton serviteur. Souviens-toi de la parole que Moïse ton serviteur a prononcée sur ton ordre : “Si vous êtes infidèles, moi, je vous disperserai parmi les peuples ;

Néhémie 1,5-8

C’est toi qui es le Seigneur, toi seul ! C’est toi qui as fait les cieux, les cieux des cieux et toutes les étoiles, la terre et tout ce qu’elle porte, les mers et tout ce qu’elles contiennent. C’est toi qui fais vivre tout cela, et les astres devant toi se prosternent. C’est toi le Seigneur Dieu, toi qui as choisi Abram, qui l’as fait sortir d’Our en Chaldée et lui as donné le nom d’Abraham. Tu as trouvé son cœur fidèle devant toi, et tu as fait avec lui une Alliance pour donner à sa descendance le pays des Cananéens, des Hittites, des Amorites, des Perizzites, des Jébuséens et des Guirgashites. Et tu as tenu parole, car tu es juste. Tu as vu la misère de nos pères en Égypte, tu as entendu leurs cris près de la mer des Roseaux.Tu as fait des signes et des prodiges contre Pharaon, contre tous ses serviteurs et tout le peuple de son pays, car tu connaissais leur arrogance envers nos pères. Tu t’es fait un nom qui est toujours le tien. Devant eux tu as ouvert la mer, ils sont passés à pied sec au milieu de la mer. Tu as repoussé leurs poursuivants dans les flots comme on jette une pierre dans les eaux impétueuses.
 
Néhémie 9,7-12

Tu les guidais le jour par une colonne de nuée, la nuit par une colonne de feu pour éclairer le chemin qu’ils devaient prendre. Tu es descendu sur le mont Sinaï et, des cieux, tu leur as parlé ; tu leur as donné des ordonnances justes, des lois sûres, de bons décrets et commandements ; tu leur as fait connaître le sabbat, que tu as consacré, tu leur as prescrit des commandements, des décrets et une Loi par ton serviteur Moïse. Quand ils ont eu faim, tu leur as donné le pain venu du ciel ; quand ils ont eu soif, tu as fait jaillir l’eau du rocher. Tu leur as dit d’aller prendre possession du pays que tu avais fait serment de leur donner. Mais eux aussi, nos pères, furent arrogants, ils ont raidi leur nuque, ils n’ont pas obéi à tes commandements, ils ont refusé d’obéir, ils n’ont pas gardé le souvenir des merveilles que tu avais faites pour eux ; ils ont raidi leur nuque, ils se sont révoltés et se sont donné un chef afin de retourner à leur esclavage. Mais tu es le Dieu qui pardonne, tendre et miséricordieux, lent à la colère et plein d’amour : tu ne les as pas abandonnés ! Ils se sont même fabriqué un veau en métal fondu, et ils ont déclaré : “Voici ton Dieu, qui t’a fait monter d’Égypte !” Et malgré tous leurs grands blasphèmes, même alors, dans ton immense tendresse, tu ne les as pas abandonnés dans le désert ; la colonne de nuée ne se retira pas loin d’eux, elle les guidait sur le chemin pendant le jour, et la colonne de feu pendant la nuit les éclairait sur le chemin qu’ils devaient prendre.

Néhémie 9,13-19

 Tu leur as donné ton esprit bienfaisant pour les instruire, tu n’as pas refusé la manne à leur bouche et tu leur as donné l’eau pour leur soif. Pendant quarante ans, dans le désert, tu as pris soin d’eux et ils ne manquèrent de rien ; leurs vêtements ne s’usèrent pas et leurs pieds n’enflèrent pas. Tu leur as livré des royaumes et des peuples, que tu as répartis à leurs frontières : ils ont pris possession du pays de Séhone, roi de Heshbone, et du pays d’Og, roi du Bashane. Tu as multiplié leurs fils comme les étoiles du ciel et tu les as introduits dans le pays où tu avais dit à leurs pères d’entrer pour en prendre possession. Les fils y sont entrés, ils ont pris possession du pays, et tu as abaissé devant eux ses habitants, les Cananéens ; tu les as livrés entre leurs mains, eux, leurs rois et les peuples du pays, pour qu’ils les traitent à leur gré. Ils s’emparèrent de villes fortifiées et d’une terre fertile ; ils prirent possession de maisons remplies de tous les biens, de citernes déjà creusées, de vignes, d’oliviers, d’arbres fruitiers à profusion : ils mangèrent, ils se rassasièrent, ils engraissèrent, et, par ta grande bonté, ils furent dans les délices

Néhémie 9,20-24


 Mais voici qu’ils ont été rebelles, ils se sont révoltés contre toi, ils ont rejeté ta Loi derrière leur dos ; ils ont tué les prophètes qui les adjuraient de revenir à toi ; ils ont été coupables de grands blasphèmes. Alors tu les as livrés aux mains de leurs adversaires qui les opprimaient. Au temps de leur oppression, ils criaient vers toi, et toi, du ciel, tu les entendais : dans ton immense tendresse tu leur donnais des sauveurs qui les sauvaient de la main de leurs adversaires. Mais, dès qu’ils avaient un répit, ils recommençaient à faire le mal devant toi, et tu les abandonnais aux mains de leurs ennemis qui les dominaient. Eux, de nouveau, criaient vers toi, et toi, du ciel, tu les entendais. Que de fois, dans ta tendresse, tu les as délivrés ! Tu les adjurais de revenir à ta Loi : mais eux se montraient arrogants, ils n’obéissaient pas à tes commandements. 

Néhémie 9,26-29

Ainsi ont-ils péché contre tes ordonnances, où l’homme qui les observe trouve la vie. Ils ont présenté une épaule rebelle, ils ont raidi leur nuque et n’ont pas obéi. De longues années, tu les as supportés ; par ton esprit, tu les adjurais par la voix de tes prophètes, mais ils n’ont pas prêté l’oreille. Alors tu les as livrés aux mains des peuples des autres pays. Dans ton immense miséricorde, tu ne les as pas exterminés, tu ne les as pas abandonnés, car tu es un Dieu tendre et miséricordieux. Et maintenant, ô notre Dieu, toi le Dieu grand, puissant et redoutable, qui gardes l’alliance et la fidélité, que ne soit pas tenue pour peu de chose devant toi toute l’affliction qui nous a atteints, nous, nos rois, nos princes, nos prêtres, nos prophètes, nos pères et tout ton peuple, depuis le temps des rois d’Assour jusqu’à ce jour. Toi, tu es juste en tout ce qui nous est advenu, car tu as agi avec vérité, tandis que nous, nous avons commis le mal.

Néhémie 9,30-33

 Oui, vive le Seigneur, qui m'a gardée dans le chemin où j'ai marché, car mon visage n'a séduit cet homme que pour sa perte : il n'a pas commis avec moi le péché qui m'aurait souillée et déshonorée. " Tout le peuple était transporté ; il s'inclina et se prosterna devant Dieu. Tous s'écrièrent, unanimes : " Tu es béni, toi notre Dieu, toi qui, en ce jour, as réduit à néant les ennemis de ton peuple."
Judith 13,17

« Je n’ai pas d’autre secours que toi, Seigneur »
En ces jours-là, la reine Esther, dans l’angoisse mortelle qui l’étreignait, chercha refuge auprès du Seigneur. Se prosternant à terre avec ses servantes du matin jusqu’au soir, elle disait : « Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob, tu es béni. Viens à mon secours car je suis seule, et je n’ai pas d’autre défenseur que toi, Seigneur. Car je vais jouer avec le danger. Dans les livres de mes ancêtres, Seigneur, j’ai appris que ceux qui te plaisent, tu les libères pour toujours, Seigneur. Et maintenant, aide-moi, car je suis solitaire et je n’ai que toi, Seigneur mon Dieu. Maintenant, viens me secourir car je suis orpheline, et mets sur mes lèvres un langage harmonieux quand je serai en présence de ce lion ; fais que je trouve grâce devant lui, et change son cœur : qu’il se mette à détester celui qui nous combat, qu’il le détruise avec tous ses partisans. Et nous, libère-nous de la main de nos ennemis ; rends-nous la joie après la détresse et le bien-être après la souffrance. »

Esther (4, 17)

 Job s’adressa au Seigneur et dit : « Je sais que tu peux tout et que nul projet pour toi n’est impossible. “Quel est celui qui déforme tes plans sans rien y connaître ?” De fait, j’ai parlé, sans les comprendre, de merveilles hors de ma portée, dont je ne savais rien. Daigne écouter, et moi, je parlerai ; je vais t’interroger, et tu m’instruiras. C’est par ouï-dire que je te connaissais, mais maintenant mes yeux t’ont vu. C’est pourquoi je me rétracte et me repens sur la poussière et sur la cendre. » Or, après avoir adressé ces discours à Job, le Seigneur dit à Élifaz de Témane : « Ma colère s’est enflammée contre toi et contre tes deux amis, parce que vous n’avez pas parlé de moi avec justesse comme l’a fait mon serviteur Job. Maintenant, prenez sept taureaux et sept béliers, allez trouver mon serviteur Job. Offrez un holocauste en votre faveur, et Job mon serviteur intercédera pour vous. Uniquement par égard pour lui, je ne vous infligerai pas l’infamie méritée pour n’avoir pas parlé de moi avec justesse, comme l’a fait mon serviteur Job. » Élifaz de Témane, Bildad de Shouah et Sofar de Naama s’en allèrent et firent comme le Seigneur leur avait dit, et le Seigneur eut égard à l’intervention de Job. Le Seigneur rétablit la condition de Job tandis qu’il intercédait pour son prochain, et le Seigneur porta au double tous les biens de Job.

Job,1-10

 Seigneur, tu es mon Dieu, je t’exalte, je rends grâce à ton nom, car tu as accompli projets et merveilles, sûrs et stables depuis longtemps. Tu as changé la ville en tas de pierres, la cité fortifiée, en champ de ruines ; la citadelle des étrangers n’est plus une ville, jamais elle ne sera rebâtie : voilà pourquoi un peuple fort reconnaît ta gloire, les cités des nations tyranniques te craignent.Tu es devenu forteresse pour le faible, forteresse pour le malheureux en sa détresse, un abri contre l’orage, une ombre contre la chaleur : le souffle des tyrans n’est que pluie d’orage sur un mur.

Isaie 25,1-4

Ézékias se tourna vers le mur et fit cette prière au Seigneur : « Ah ! Seigneur, souviens-toi ! J’ai marché en ta présence, dans la loyauté et d’un cœur sans partage, et j’ai fait ce qui est bien à tes yeux. » Puis le roi Ézékias fondit en larmes. La parole du Seigneur fut adressée à Isaïe : « Va dire à Ézékias : Ainsi parle le Seigneur, Dieu de David ton ancêtre : J’ai entendu ta prière, j’ai vu tes larmes. Je vais ajouter quinze années à ta vie.

Isaie 38,3-5

 Tu es trop juste, Seigneur, pour que je te fasse un procès ; pourtant, je parlerai contre toi de jugement : Pourquoi le chemin des méchants est-il prospère ? Pourquoi sont-ils paisibles, tous les traîtres ? Tu les plantes, et ils s’enracinent ; ils vont bien, et ils portent du fruit. Tu es près de leur bouche et loin de leur cœur ! Mais toi, Seigneur, tu me connais, tu me vois, tu scrutes mon cœur : il est avec toi. Traîne-les à l’abattoir comme des moutons, réserve-les pour le jour du massacre ! Combien de temps encore la terre sera-t-elle en deuil, et toute l’herbe des champs, desséchée ? Les bêtes et les oiseaux ont disparu à cause de la malice de ses habitants qui disaient : « Dieu ne voit pas notre avenir. » Si la course avec des coureurs te fatigue, comment rivaliseras-tu avec des chevaux ? S’il te faut un pays en paix pour être confiant, comment feras-tu dans les maquis du Jourdain ?

Jérémie,12,1-5

 Seigneur, Souverain de l’univers, Dieu d’Israël, une âme angoissée, un esprit découragé crie vers toi. Écoute, Seigneur, et prends pitié, car nous avons péché contre toi. Toi, en effet, tu demeures à jamais ; nous, nous sommes à jamais perdus. Seigneur, Souverain de l’univers, Dieu d’Israël, écoute donc la prière des morts d’Israël, des fils de ceux qui ont péché contre toi, qui n’ont pas écouté la voix du Seigneur leur Dieu, de sorte que les malheurs se sont attachés à nous. Ne te souviens pas des injustices de nos pères, mais souviens-toi, en cette heure, de ta main et de ton nom. Car tu es le Seigneur notre Dieu, et nous voulons te louer, Seigneur. Oui, c’est pour cela que tu as mis ta crainte en notre cœur, pour que nous invoquions ton nom. Nous voulons te louer en notre exil, puisque nous avons détourné de notre cœur toute l’injustice de nos pères qui ont péché contre toi. Nous voici aujourd’hui dans cet exil, où tu nous as dispersés, pour y être objet d’outrage et de malédiction, et pour notre amendement, après toutes les fautes de nos pères, qui s’étaient éloignés du Seigneur notre Dieu. Écoute, Israël, les commandements de vie, prête l’oreille pour acquérir la connaissance. Pourquoi donc, Israël, pourquoi es-tu exilé chez tes ennemis, vieillissant sur une terre étrangère,11 souillé par le contact des cadavres, inscrit parmi les habitants du séjour des morts ?  Parce que tu as abandonné la Source de la Sagesse ! Si tu avais suivi les chemins de Dieu, tu vivrais dans la paix pour toujours.

Baruch 3,1-13

 Alors, dans une vision nocturne, le mystère fut révélé à Daniel. Et Daniel bénit le Dieu du ciel. Daniel prit la parole et dit : « Béni soit le nom de Dieu depuis toujours et à jamais. À lui la sagesse et la force ! Lui qui fait changer les âges et les temps, il renverse des rois, il en établit d’autres ; aux sages il donne la sagesse, et l’intelligence à ceux qui savent discerner. Lui qui révèle profondeurs et secrets, il connaît ce qui est dans les ténèbres, et la lumière demeure auprès de lui. À toi, Dieu de mes pères, mon action de grâce et ma louange, car tu m’as donné la sagesse et la force, et maintenant tu m’as fait connaître ce que nous t’avons demandé, puisque tu nous as fait connaître ce qui concerne le roi. »

Daniel 2,19-23
Puis, d’une seule voix, les trois jeunes gens se mirent à louer, à glorifier et à bénir Dieu en disant : « Béni sois-tu, Seigneur, Dieu de nos pères : à toi, louange et gloire éternellement ! Béni soit le nom très saint de ta gloire : à toi, louange et gloire éternellement ! Béni sois-tu dans ton saint temple de gloire : à toi, louange et gloire éternellement ! Béni sois-tu sur le trône de ton règne : à toi, louange et gloire éternellement ! Béni sois-tu, toi qui sondes les abîmes : à toi, louange et gloire éternellement ! Toi qui sièges au-dessus des Kéroubim : à toi, louange et gloire éternellement ! Béni sois-tu au firmament, dans le ciel, à toi, louange et gloire éternellement !  Toutes les œuvres du Seigneur, bénissez-le : à toi, louange et gloire éternellement ! »

Daniel 3,51-57

Daniel dit alors : « Tu t’es souvenu de moi, mon Dieu ; tu n’abandonnes pas ceux qui t’aiment. » Il se leva et mangea. L’ange de Dieu ramena aussitôt Habacuc à l’endroit d’où il venait. Le septième jour, le roi vint pleurer Daniel. Il arriva à la fosse et regarda. Voici que Daniel s’y trouvait, assis. Alors le roi s’écria d’une voix forte : « Tu es grand, Seigneur, Dieu de Daniel ! Il n’est pas d’autre Dieu que toi ! » Puis il fit sortir Daniel de la fosse et y jeta ceux qui avaient voulu causer sa perte : ils furent aussitôt dévorés devant lui.

Daniel 3.38-42

 Le Seigneur donna l’ordre à un grand poisson d’engloutir Jonas. Jonas demeura dans les entrailles du poisson trois jours et trois nuits. Depuis les entrailles du poisson, il pria le Seigneur son Dieu. Il disait : Dans ma détresse, je crie vers le Seigneur, et lui me répond ; du ventre des enfers j’appelle : tu écoutes ma voix. Tu m’as jeté au plus profond du cœur des mers, et le flot m’a cerné ; tes ondes et tes vagues ensemble ont passé sur moi. Et je dis : me voici rejeté de devant tes yeux ; pourrai-je revoir encore ton temple saint ? Les eaux m’ont assailli jusqu’à l’âme, l’abîme m’a cerné ; les algues m’enveloppent la tête, à la racine des montagnes. Je descendis aux pays dont les verrous m’enfermaient pour toujours ; mais tu retires ma vie de la fosse, Seigneur mon Dieu. Quand mon âme en moi défaillait, je me souvins du Seigneur ; et ma prière parvint jusqu’à toi dans ton temple saint. Les servants de vaines idoles perdront leur faveur. Mais moi, au son de l’action de grâce, je t’offrirai des sacrifices ; j’accomplirai les vœux que j’ai faits : au Seigneur appartient le salut. Alors le Seigneur parla au poisson, et celui-ci rejeta Jonas sur la terre ferme.

Jonas 2,1-11

 Jonas trouva la chose très mauvaise et se mit en colère. Il fit cette prière au Seigneur : « Ah ! Seigneur, je l’avais bien dit lorsque j’étais encore dans mon pays ! C’est pour cela que je m’étais d’abord enfui à Tarsis. Je savais bien que tu es un Dieu tendre et miséricordieux, lent à la colère et plein d’amour, renonçant au châtiment. Eh bien, Seigneur, prends ma vie ; mieux vaut pour moi mourir que vivre. » Le Seigneur lui dit : « As-tu vraiment raison de te mettre en colère ? » Jonas sortit de Ninive et s’assit à l’est de la ville. Là, il fit une hutte et s’assit dessous, à l’ombre, pour voir ce qui allait arriver dans la ville. Le Seigneur Dieu donna l’ordre à un arbuste, un ricin, de pousser au-dessus de Jonas pour donner de l’ombre à sa tête et le délivrer ainsi de sa mauvaise humeur. Jonas se réjouit d’une grande joie à cause du ricin. Mais le lendemain, à l’aube, Dieu donna l’ordre à un ver de piquer le ricin, et celui-ci se dessécha. Au lever du soleil, Dieu donna l’ordre au vent d’est de brûler ; Jonas fut frappé d’insolation. Se sentant défaillir, il demanda la mort et ajouta : « Mieux vaut pour moi mourir que vivre. » Dieu dit à Jonas : « As-tu vraiment raison de te mettre en colère au sujet de ce ricin ? » Il répondit : « Oui, j’ai bien raison de me mettre en colère jusqu’à souhaiter la mort. » Le Seigneur répliqua : « Toi, tu as pitié de ce ricin, qui ne t’a coûté aucun travail et que tu n’as pas fait grandir, qui a poussé en une nuit, et en une nuit a disparu. Et moi, comment n’aurais-je pas pitié de Ninive, la grande ville, où, sans compter une foule d’animaux, il y a plus de cent vingt mille êtres humains qui ne distinguent pas encore leur droite de leur gauche ? »

Jonas 4,1-11

 La proclamation de ce que le prophète Habacuc a vu.
 Combien de temps, Seigneur, vais-je appeler, sans que tu entendes ? Crier vers toi : « Violence ! », sans que tu sauves ? Pourquoi me fais-tu voir le mal et regarder la misère ? Devant moi, pillage et violence ; dispute et discorde se déchaînent. C’est pourquoi la loi est sans force et le droit n’apparaît plus jamais ! Quand le méchant cerne le juste, alors le droit apparaît faussé. Voyez chez les nations, et regardez ! Soyez dans la stupeur et la stupéfaction ! Car je ferai en votre temps une œuvre que vous ne croiriez pas, si on la racontait. Oui, voici que je suscite les Chaldéens, la nation impétueuse et farouche, qui parcourt les étendues de la terre pour s’emparer des demeures d’autrui. Elle est terrible et redoutable ; c’est elle qui se donne son droit et sa grandeur. Ses chevaux sont plus rapides que des léopards, plus vifs que les loups du soir. Ses cavaliers bondissent, ils arrivent de loin, ses cavaliers, ils volent, comme un aigle qui fond sur sa proie. Tous, ils arrivent pour la violence, leurs faces tendues vers l’avant, tous ensemble ; ils ramassent les captifs comme du sable. Cette nation se moque des rois, les princes sont pour elle un jouet : elle se joue de toutes les forteresses, par un remblai de terre, elle les prend.Puis le vent tourne, elle s’en va, la criminelle ! Sa force est son dieu. Seigneur, depuis les temps anciens, n’es-tu pas mon Dieu, mon Saint, toi qui es immortel ? Seigneur, tu as établi les Chaldéens pour exécuter le jugement ; tu en as fait un roc pour exercer le châtiment. Tes yeux sont trop purs pour voir le mal, tu ne peux supporter la vue de l’oppression. Alors, pourquoi regardes-tu ces perfides, pourquoi restes-tu silencieux quand le méchant engloutit l’homme juste ? Tu traites les hommes comme les poissons de la mer, et comme les reptiles que personne ne domine. Le Chaldéen les pêche tous avec son hameçon, les prend avec son filet, et les recueille dans ses nasses, ce qui le comble de joie et d’allégresse ! Alors il offre des sacrifices à son filet, il fait fumer de l’encens devant ses nasses, car il leur doit une prise abondante et une nourriture copieuse. N’arrêtera-t-il pas de vider son filet, de massacrer sans pitié des nations ?

Habacuc 1,1-17

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