Bonjour, pseudonyme ange petit, et bonjour à tous les
autres internautes. Au contraire de vous, pseudonyme ange
petit, je me présente : Mes prénom et nom sont Michel
Bernatchez. Je suis d'origine gaspésienne. Le fait d'avoir vécu la maltraitance
familiale pendant 15 ans 1/2, en plus de faire 7 foyers nourriciers,
ces expériences m'ont fait vivre le harcèlement dans mon milieu scolaire.
La raison en est très simple, car dans ces années-là quand un enfant était déplacé d'un foyer à l'autre pendant 7 ans, les élèves le traitaient
de malade mental sans connaître son vrai profil d'enfant maltraité.
C'est sûr que le fait d'avoir vécu le harcèlement dans mon milieu
scolaire pendant plusieurs années, y compris la maltraitance dans
mon milieu familial, qui a commencé à l'âge de 2 ans, je me dis être un
extra chanceux de ne pas avoir hérité d'un profil comme celui de pseudonyme (ange petit). Sans vous en rendre compte, votre profil exprime ce que vous
êtes dans votre milieu de vie. J'ai pris le temps de lire tous les commentaires, à plusieurs reprises, sur la page Facebook de soeur Albertine. Si je me guide sur l'ensemble des commentaires, ce sont vos commentaires à vous, pseudonyme ange petit, qui manquent le plus de respect envers les internautes, en particulier quand vous traitez Mme Charlotte Lemotheux du Plessis d'idiote, ce qui est injurieux.
Êtes-vous conscient que vous ne connaissez pas cette dame, que vous ne l'avez jamais rencontrée, et que vous la ridiculisez comme si vous étiez son voisin depuis plusieurs années? Vos réponses sont presque toujours des copies d'écran qui n'ont aucun rapport avec les commentaires des internautes. Sans vous en rendre compte, vous faites connaître à plusieurs internautes votre problème de cyberdépendance.
Et aussi sans vous en rendre compte, votre cyberdépendance s'exprime sous forme de harcèlement. Un harcèlement qui devient du cyberharcèlement. Les propos en cause peuvent être vos commentaires, comme celui-ci-dessus à Mme Charlotte, ou encore des vidéos, des montages d'images, des messages sur des forums, qui sont des copies d'écran qui ne correspondent à aucun sujet en lien avec les commentaires des internautes.
Qu'est-ce que vous avez fait comme travail sur le terrain de la vie avant votre retraite? Personnellement, malgré mes 15 ans 1/2 de maltraitance et de harcèlement qui ont détruit ma scolarité, ma vie a été le contraire de votre vie, surtout dans le monde du virtuel.
À l'âge de seulement 18 ans, je suis devenu responsable d'un foyer pour 9 personnes handicapées physiques et mentales. Pourtant je n'avais aucun diplôme. Dans les années qui ont suivi, j'ai fait de l'accompagnement auprès des enfants de la rue, et ce, pendant 15 ans, en travaillant en très bonne relation avec les centres hospitaliers et les travailleurs sociaux, y compris chaque famille. J'ai toujours refusé de travailler tout seul dans mon petit coin. Comme j'avais vécu la maltraitance pendant 15 ans 1/2, j'étais très sensible pour découvrir la souffrance des enfants et de leurs mamans qui vivaient avec des hommes pervers narcissiques.
Ensuite, dans les années 80, on m'a demandé de devenir président d'une soupe populaire où l'on servait 2 repas par jour pour un groupe de 30 à 50 personnes à chaque repas. J'ai pris deux mois avant de dire oui, et voici pourquoi. Comme je donnais des conférences sur des sujets sensibles comme la maltraitance, le suicide, le harcèlement, les fausses apparences, les personnes âgées, le pardon, la gêne, etc., j'ai eu l'occasion de me présenter à la soupe populaire à l'improviste, pendant 3 mois, afin de comprendre pourquoi les policiers devaient intervenir aussi souvent. Dans cette soupe populaire, il y avait plusieurs catégories parmi la clientèle. Par exemple des alcooliques, des personnes toxicomanes, des personnes qui souffraient de problèmes de dépendance affective, des personnes âgées, des pauvres de la rue, des étudiants(es),des migrants, des parents avec leurs enfants...
Si j'avais agi envers toutes les catégories de personnes qui fréquentaient
cette soupe populaire, comme le pseudonyme ange petit agit envers les internautes sur la page Facebook de soeur Albertine, personne ne m'aurait offert de devenir président de cette soupe populaire. Dans les trois mois où j'ai donné des conférences dans les écoles sur les sujets mentionnés ci-dessus, au lieu d'aller prendre mes repas au restaurant après mes conférences, j'allais prendre mes repas à la soupe populaire, afin de connaître le pourquoi de ses dysfonctionnements, surtout le pourquoi des multiples interventions policières.
Après ces trois mois, j'ai appris, en côtoyant plusieurs citoyens, que les policiers devaient intervenir plusieurs fois par mois à cause de la violence, la boisson et la drogue. L'organisme existait depuis 20 ans sans aucun règlement. J'ai refusé par trois fois la demande du conseil d'administration qui me proposait de devenir président. Mais le jour où les responsables du conseil d'administration sont venus me voir en me disant : Si vous n'acceptez pas notre offre, 50 à 70 personnes vont être privées de repas dans les jours à venir.
Alors je leur ai dit : Je vais accepter, mais à une seule condition, je vais
exprimer publiquement en quoi consiste la condition, et ce sera au public de prendre la décision s'il accepte ou n'accepte pas ma proposition. Certains d'entre eux auraient bien aimé connaître ma proposition, mais je leur ai fait savoir que ma proposition était une proposition qui devait se prendre dans un esprit communautaire, et non individuellement.
Les marguilliers de la paroisse et les chevaliers de Colomb étaient présents,
ainsi que plusieurs paroissiens(nes). Ma proposition a fait réagir Mr et Mme
tout-le-monde ; dès qu'ils ont entendu ma proposition, plusieurs d'entres eux se sont regardés avec un regard tout figé. Voici ma proposition : J'accepte de prendre en charge la soupe populaire, avec le condition suivante : Je ne veux pas devenir président de cette soupe populaire. Je n'aime pas du tout le mot président, j'y suis allergique. Le mot président est un mot trop court pour moi, je voudrais vous faire la proposition d'un mot beaucoup plus long que le mot président.
En m'exprimant ainsi, la plupart des personnes avaient un regard très interrogateur, en se scrutant les unes les autres. Un responsable leva la main et me demanda : Mais, Monsieur, dites-moi, nous aimerions savoir quel est ce mot que vous voulez avoir, qui selon vous serait meilleur que le mot président? L'homme poursuivit en me disant : Votre proposition nous interroge, Mr Bernatchez. Je lui répondis : Voici ma proposition, je voudrais remplacer le mot président par le mot responsable, mais attention, responsable dans un esprit communautaire ; pas tout seul! Dès que l'assemblée a entendu ma proposition, tout le monde s'est levé en applaudissant et en criant : bravo, bravo, Mr Bernatchez!
Mais en tant que responsable, une mauvaise surprise m'attendait dès la première soirée de mon engagement comme responsable. L'ex-présidente n'acceptait pas de perdre sa place comme présidente. Elle a alors fourni de l'alcool et de la drogue à un client qui avait des problèmes de consommation, et ensuite, après qu'il a eu consommé boisson et drogue, elle lui a donné une pelle à neige en lui disant : Le nouveau président est un pédophile, va l'attaquer pour que je puisse reprendre ma place comme présidente de ma soupe populaire. Quand l'homme entra avec sa pelle, il frappa partout après les murs, les tables, en se dirigeant vers moi tout en fracassant le comptoir où il y avait des assiettes pleines de nourriture. Quelqu'un appela au poste de police et trois policiers sont venus faire sortir l'homme. Avant que ceux-ci arrivent sur place, l'homme a eu le temps de prendre une assiette pleine de nourriture pour me la lancer en plein visage ; heureusement, j'ai pu amortir le choc de la main, en déviant la trajectoire de l'assiette, et la nourriture a adouci ce choc sur mon visage. Il y avait beaucoup de panique dans la salle de la souple populaire. Des hommes, des femmes et des enfants pleuraient, et certains se sont sauvés par crainte d'être blessés.
Pseudonyme ange petit, vivre la cyberdépendance devant un écran avec une souris et un clavier, c'est très différent de travailler sur le terrain des grandes souffrances de la vie, ce qui a été mon travail une grande partie de ma vie. Dans les années qui ont suivi, j'ai accompagné des personnes âgées qui étaient exploitées financièrement et psychologiquement, mais comme je l'ai mentionné ci-dessus, je n'ai pas agi tout seul. Toute ma vie, mon travail s'est fait dans un esprit communautaire, avec des organismes communautaires, des médecins et des Clsc, y compris avec les enfants et les parents de chaque famille que j'accompagnais. Si je me guide sur les multiples expériences des mes engagements, quand on prend soin d'une personne qui vit dans une situation d'exploitation financière ou toute autre forme d'exploitation, on permet aux membres de leur famille comme aux services communautaires de venir rendre visite aux personnes sans nous prévenir.
Mais si on se guide sur votre approche dans le monde du virtuel, vous êtes assis devant un écran et que faites-vous? Sur votre page, on retrouve seulement une à deux phrases, qui sont les mêmes, et quelques photos qui interrogent. Pseudonyme a écrit, sur sa page Facebook : "La crédulité s'engraisse sur le désarroi comme la mouche verte sur la charogne." Sans vous en rendre compte, vous faites savoir aux internautes que vous vivez un sérieux problème de cyberdépendance en utilisant internet d'une façon non constructive mais beaucoup plus d'une façon maladive. Si je me guide sur mon analyse, au contraire de vous Mme Charlotte se présente sous son vrai visage, et elle s'exprime simplement et respectueusement.
Si on fait le déroulement de sa page Facebook, on s'aperçoit qu'elle s'intéresse aux personnes atteintes de trisomie 21, y compris aux personnes âgées. Toujours en déroulant, on s'aperçoit que Mme Charlotte s'intéresse à La fondation Jérôme-Lejeune, appelée fondation Lejeune, une fondation qui indique poursuivre les travaux du généticien Jérôme Lejeune dans la recherche sur la trisomie 21. Et vous, pseudonyme ange petit, vous traitez cette dame d'idiote!
Qu'une personne soit croyante ou incroyante, ni vous ni moi ni personne d'autre n'avons le droit de traiter une personne d'idiot ou d'idiote, assis devant notre écran avec notre petite souris que l'on utilise avec un gros manque de jugement, où cette forme de navigation Web devient une cyberdépendance maladive. Vous remarquerez que je ne traite pas du tout de religion avec vous parce que je respecte votre incroyance. Je vous encourage à réfléchir concernant votre cyberdépendance, où vous faites beaucoup plus de mal que de bien sans même vous en rendre compte. Je m'invite comme je vous invite, ainsi que tous les autres internautes, à nous respecter les uns les autres quelles que soient nos différences. Je vous ai fait ma présentation avec beaucoup de respect. Même en restant anonyme sous forme du pseudonyme ange petit, j'attends votre présentation, si vous avez la capacité de vous présenter. Pourquoi avez-vous fait l'option d'acheter un ordinateur? Est-ce que vous êtes conscient que le fait de traiter Mme Charlotte d'idiote, une dame que vous ne connaissez pas du tout, que votre affirmation est un manque de respect qui prouve à 100% que vous avez un problème de cyberdépendance? Maintenant je vais à l'étape problématique de votre cyberdépendance avec des photos qui n'ont rien à voir avec les internautes qui ont réagi sur la page Facebook de soeur Albertine.
Je vais mettre ci-dessous les copies d'écran qui correspondent à votre sérieux problème de cyberdépendance, où chaque copie d'écran ne correspond pas du tout aux commentaires de ceux qui ont réagi sur la page Facebook de soeur Albertine sur le sujet de la vidéo qui a pour titre (C'est quoi la Trinité?)