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 79/La formation intellectuelle : l'intelligence de la foi/

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coeurtendre
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MessageSujet: 79/La formation intellectuelle : l'intelligence de la foi/   79/La formation intellectuelle : l'intelligence de la foi/ Icon_minitimeJeu 20 Juin - 23:55

Exclamation La formation intellectuelle : l'intelligence de la foi Exclamation

La formation intellectuelle, bien qu'ayant ses exigences spécifiques, est profondément liée à la formation humaine et spirituelle, au point d'en constituer une dimension nécessaire : elle se présente en fait comme une exigence de l'intelligence par laquelle l'homme « participe à la lumière de l'intelligence divine » et cherche à acquérir une sagesse qui, à son tour, porte à connaître Dieu et à adhérer à lui (156).

La formation intellectuelle des candidats au sacerdoce trouve sa justification spécifique dans la nature même du ministère ordonné, et le défi de la « nouvelle évangélisation » à laquelle le Seigneur appelle l'Église au seuil du troisième millénaire la rend plus urgente aujourd'hui. « Si tout chrétien - écrivent les Pères synodaux - doit être prêt à défendre la foi et à rendre compte de l'espérance qui vit en nous ( 1 P 3, 15), à plus forte raison les candidats au sacerdoce et les prêtres doivent-ils apprécier la valeur de la formation intellectuelle dans l'éducation et dans l'activité pastorales ; en effet, pour le salut de leurs frères et de leurs sœurs, ils doivent acquérir une plus profonde connaissance des mystères divins » (157). La situation actuelle est fortement marquée par l'indifférence religieuse ; elle l'est également par une défiance diffuse à l'égard de la capacité réelle de la raison de rejoindre la vérité objective et universelle ; elle l'est encore par les interrogations nouvelles suscitées par les découvertes scientifiques et technologiques. 

Tout cela justifie la forte exigence d'un excellent niveau de formation intellectuelle permettant aux prêtres d'annoncer, dans un tel contexte, l'immuable Évangile du Christ et de le rendre crédible face aux légitimes exigences de la raison humaine. En outre, le phénomène du pluralisme est aujourd'hui considérablement accentué non seulement dans la société humaine, mais aussi dans la communauté ecclésiale. Cela demande une aptitude particulière au discernement critique. Cette situation fait apparaître clairement la nécessité d'une formation intellectuelle plus sérieuse que jamais.

Cette motivation « pastorale » de la formation intellectuelle confirme ce qui a été dit plus haut au sujet de l'unité du processus éducatif, compris dans ses différentes dimensions. L'obligation de l'étude, qui occupe une partie notable de la vie du candidat au sacerdoce, n'est pas un élément extérieur et secondaire du développement humain, chrétien et spirituel de sa vocation. En réalité, par l'étude, surtout de la théologie, le futur prêtre adhère à la Parole de Dieu, grandit dans la vie spirituelle et se dispose à accomplir le ministère pastoral. Tel est le but à la fois un et multiple de l'étude de la théologie, indiqué par le Concile (158) et repris dans l'Instrumentum laboris du Synode : « Pour la rendre pastoralement plus efficace, la formation intellectuelle sera intégrée dans un parcours spirituel marqué par l'expérience personnelle de Dieu, de façon à dépasser une science purement notionnelle et à parvenir à cette intelligence du cœur qui sait "voir" d'abord et qui est en mesure ensuite de communiquer le mystère de Dieu aux frères » (159).

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L'étude de la philosophie, qui conduit à une compréhension et à une interprétation plus profondes de la personne, de sa liberté, de ses relations avec le monde et avec Dieu, est un élément essentiel de la formation intellectuelle. Elle se révèle d'une grande urgence, d'abord en raison du lien qui existe entre les problèmes philosophiques et les mystères du salut, étudiés en théologie, à la lumière de la foi (160), mais aussi en raison de la situation culturelle, aujourd'hui si diffuse, où prévaut le subjectivisme comme mesure et critère de la vérité. Seule une saine philosophie peut alors aider les candidats au sacerdoce à développer une conscience réfléchie du rapport constitutif qui existe entre l'esprit humain et la vérité, vérité qui se révèle pleinement à nous en Jésus Christ. On ne doit pas minimiser l'importance de la philosophie, sous prétexte de garantir cette « certitude de vérité » qui, seule, peut être à la base du don total de la personne à Jésus et à l'Église. Il n'est pas difficile de comprendre que certaines questions très concrètes, comme l'identité du prêtre et son engagement apostolique et missionnaire, sont profondément liées à la question, nullement abstraite, de la vérité. Si l'on n'est pas certain de la vérité, comment peut-on mettre en jeu sa vie entière, et avoir la force d'interpeller sérieusement celle des autres ?

La philosophie aide beaucoup le candidat à enrichir sa formation intellectuelle du « culte de la vérité », c'est-à-dire d'une sorte de vénération amoureuse de la vérité qui conduit à reconnaître que la vérité elle-même n'est pas créée ni mesurée par l'homme, mais qu'elle est donnée à l'homme par la Vérité suprême, par Dieu ; que la raison humaine peut, bien que d'une façon limitée et non sans difficulté parfois, atteindre la vérité objective et universelle, celle même qui concerne Dieu et le sens radical de l'existence ; enfin, que la foi elle-même ne peut pas faire abstraction de la raison ni dispenser de l'effort de « penser » ses contenus, comme en témoignait le grand esprit qu'est saint Augustin : « J'ai désiré sonder avec l'intelligence ce en quoi j'ai mis ma foi, et j'ai discuté beaucoup et j'ai beaucoup peiné » (161).

Pour une compréhension plus profonde de l'homme et des phénomènes sociaux, en vue d'un exercice aussi « incarné » que possible du ministère pastoral, les sciences de l'homme, comme on les appelle, sont d'une utilité certaine ; ce sont la sociologie, la psychologie, la pédagogie, les sciences de l'économie et de la politique, la science des communications sociales. Dans le cadre précis des sciences positives ou descriptives, ces sciences de l'homme aident le futur prêtre à prolonger l'action du Christ qui s'est fait contemporain des hommes de son temps : « Le Christ, disait Paul VI, s'est fait contemporain de certains hommes et s'est exprimé dans leur langage. Lui être fidèle, c'est faire en sorte qu'il continue à être notre contemporain » (162).

53. La formation intellectuelle du futur prêtre se fonde et se développe surtout dans l'étude de la sacra doctrina, la théologie. La valeur et l'authenticité de la formation théologique dépendent du respect scrupuleux de la nature propre de la théologie, que les Pères synodaux ont ainsi résumée : « La vraie théologie provient de la foi et entend conduire à la foi » (163). C'est cela que l'Église, et spécialement son Magistère, ont constamment proposé. C'est cette ligne qu'ont suivie les grands théologiens qui ont enrichi la pensée de l'Église au long des siècles. Saint Thomas est on ne peut plus explicite quand il affirme que la foi est comme l'habitus de la théologie, c'est-à-dire son principe d'opération permanent (164), et que « toute la théologie est ordonnée à nourrir la foi » (165).

Le théologien est donc avant tout un croyant, un homme de foi. Mais c'est un croyant qui s'interroge sur sa propre foi, qui s'interroge afin d'arriver à une compréhension plus profonde de sa foi. Les deux aspects, la foi et la réflexion méthodique, sont connexes et s'interpénètrent : c'est justement leur intime coordination, leur interpénétration, qui caractérise la vraie nature de la théologie, et, par suite, ses contenus, ses modalités et l'esprit selon lesquels la doctrine sacrée sera élaborée et étudiée.

Or la foi, point de départ et d'arrivée de la théologie, crée une relation personnelle du croyant avec Jésus Christ dans l'Église. Et c'est pourquoi la théologie possède, elle aussi, des connotations intrinsèques, christologiques et ecclésiales que le candidat au sacerdoce doit faire siennes consciemment, à cause des implications non seulement pour sa vie personnelle, mais aussi pour son ministère pastoral. Si la foi est accueil de la Parole de Dieu, elle s'achève dans un « oui » radical du croyant à Jésus Christ, Parole plénière et définitive de Dieu au monde (He 1, 1-4). Il doit donc en être de même de la réflexion théologique, qui trouve son centre dans l'adhésion à Jésus Christ, Sagesse de Dieu :       cette réflexion doit se considérer comme une participation à la « pensée » du Christ      
(1 Co 2, 16) sous l'aspect humain d'une science (scientia fidei). En même temps, la foi introduit le croyant dans l'Église et le rend participant de la vie de l'Église comme communauté de foi. En conséquence, la théologie possède une dimension ecclésiale, parce qu'elle est une réflexion sur la foi de l'Église, et cela de la part d'un théologien qui est membre de l'Église (166).

Ces perspectives christologiques et ecclésiales, qui sont connaturelles à la théologie, aident à développer chez les candidats au sacerdoce, en même temps que la rigueur scientifique, un grand et vif amour envers Jésus Christ et son Église. Cet amour qui nourrit leur vie spirituelle, les oriente aussi vers le généreux accomplissement de leur ministère. C'est précisément ce que voulait le Concile Vatican II, quand il demandait la réorganisation des études ecclésiastiques, en répartissant mieux les différentes disciplines philosophiques et théologiques « pour les faire contribuer de concert à ouvrir de plus en plus l'esprit des séminaristes au mystère du Christ, qui, concernant l'histoire entière du genre humain, ne cesse d'agir dans l'Église et d'opérer surtout par le ministère sacerdotal » (167).

La formation intellectuelle théologique et la vie spirituelle, en particulier la vie de prière, s'unissent et se renforcent mutuellement, sans rien ôter ni au sérieux de la recherche ni à la saveur spirituelle de la prière. Saint Bonaventure nous prévient : « Que personne ne croie que suffisent la lecture sans l'onction, la spéculation sans la dévotion, la recherche sans l'admiration, l'observation sans la jubilation, l'activité sans la piété, la science sans la charité, l'intelligence sans l'humilité, l'étude sans la grâce divine, la connaissance de soi sans la sagesse infuse de Dieu » (168).

 La formation théologique est une œuvre complexe et laborieuse. Elle doit aider le candidat au sacerdoce à posséder une conception des vérités révélées par Dieu en Jésus Christ, et de l'expérience de foi de l'Église, qui soit complète et unifiée. De là découle une double exigence : connaître « toutes » les vérités chrétiennes, sans opérer de choix arbitraires, et les connaître d'une manière méthodique. Cela exige que l'on aide l'étudiant à opérer une synthèse qui soit le fruit des apports des différentes disciplines théologiques, dont la spécificité n'acquiert de valeur authentique que dans leur profonde coordination.

Dans sa réflexion sur la foi, la théologie va dans deux directions. La première est celle de l'« étude de la Parole de Dieu » : la parole écrite dans le Livre sacré, célébrée et vécue dans la tradition vivante de l'Église, authentiquement interprétée par le Magistère de l'Église. Cela demande l'étude de la Sainte Écriture, « qui doit être comme l'âme de toute la théologie » (169), l'étude des Pères de l'Église, de la liturgie, de l'histoire de l'Église et des déclarations du Magistère. La seconde direction est celle de l'homme interlocuteur de Dieu : l'homme appelé à « croire », à « vivre », à « communiquer » aux autres la foi, et l'« ethos » chrétien. Cela entraîne donc l'étude de la dogmatique, de la théologie morale, de la théologie spirituelle, du droit canonique et de la théologie pastorale.

La référence à l'homme croyant conduit la théologie à être particulièrement attentive d'une part à l'instance fondamentale et permanente du rapport foi-religion, et d'autre part à certaines exigences davantage liées à la situation sociale et culturelle de notre époque. Dans la première orientation, se situe la théologie fondamentale, qui a pour objet le fait de la révélation chrétienne et de sa transmission dans l'Église. Dans la seconde orientation, se placent des disciplines qui ont connu et connaissent un développement plus intense, comme réponses à des problèmes aujourd'hui fortement perçus. C'est le cas de l'étude de la doctrine sociale de l'Église qui « entre dans le domaine... de la théologie et particulièrement de la théologie morale » (170) et qui est à ranger parmi les « éléments essentiels » de la « nouvelle évangélisation », dont elle constitue un instrument (171). Il en est ainsi de l'étude de la missiologie, de l'œcuménisme, du judaïsme, de l'islam, et des autres religions non chrétiennes.

La formation théologique actuelle doit prêter attention à certains problèmes qui soulèvent souvent des difficultés, créent des tensions et entretiennent des confusions dans la vie de l'Église. Que l'on pense au rapport entre les déclarations du Magistère et les discussions théologiques, qui ne se présente pas toujours de manière souhaitable, c'est-à-dire en esprit de collaboration : « Tout en ayant des charismes et des fonctions différentes, le Magistère vivant de l'Église et la théologie ont en définitive un même but : garder le peuple de Dieu dans la vérité qui libère et en faire ainsi la "lumière des nations". Ce service de la communauté ecclésiale met en relations réciproques le théologien et le Magistère. Ce dernier enseigne authentiquement la doctrine des apôtres et, tirant profit du travail théologique, réfute les objections et les déformations de la foi, proposant en outre, avec l'autorité reçue de Jésus Christ, des approfondissements, des explicitations et des applications nouvelles de la doctrine révélée. 

La théologie au contraire acquiert, par la réflexion, une intelligence toujours plus profonde de la Parole de Dieu, contenue dans l'Écriture et fidèlement transmise par la Tradition vivante de l'Église, sous la conduite du Magistère ; elle cherche à éclairer l'enseignement de la Révélation face aux instances de la raison, et lui donne enfin une forme organique et systématique » (172). Quand, cependant, pour toute une série de motifs, cette collaboration diminue, il ne faut pas se laisser égarer par des équivoques et des confusions ; il faut savoir faire soigneusement la distinction entre « la doctrine commune de l'Église et les opinions des théologiens ainsi que les tendances qui passent (les "modes") » (173). Il n'y a pas de magistère « parallèle », parce que l'unique Magistère est celui de Pierre et des apôtres, du Pape et des évêques (174).
Un autre problème, qui se rencontre surtout là où la formation intellectuelle des séminaristes est confiée à des instituts académiques, concerne le rapport entre la rigueur scientifique de la théologie et sa destination pastorale, et donc la nature pastorale de la théologie. Il s'agit en réalité de deux caractéristiques de la théologie et de son enseignement qui, non seulement ne s'opposent pas, mais concourent, même sous des profils différents, à une plus complète « intelligence de la foi ». 

En fait, le caractère pastoral de la théologie ne signifie pas que la théologie est moins doctrinale ou privée de son caractère scientifique ; elle signifie au contraire que la théologie habilite les futurs prêtres à annoncer le message évangélique en tenant compte des facteurs culturels de leur temps et à comprendre l'action pastorale selon une authentique vision théologique. Ainsi, d'un côté, une étude respectueuse du caractère rigoureusement scientifique de chacune des disciplines théologiques contribuera à la formation plus complète et plus profonde du pasteur d'âmes, comme maître de la foi ; d'un autre côté, chez le futur prêtre, une sensibilité qui correspond à l'orientation pastorale rendra vraiment formatrice pour lui l'étude sérieuse et scientifique de la théologie.

L'exigence, aujourd'hui fortement ressentie, de l'évangélisation des cultures et de l'inculturation du message de la foi soulève encore un autre problème. C'est une question éminemment pastorale qui doit être traitée largement et avec beaucoup d'attention au cours de la formation des candidats au sacerdoce : « Dans les circonstances actuelles, en différentes régions du monde, la religion chrétienne est considérée comme quelque chose d'étranger aux cultures soit anciennes soit modernes ; il est donc d'une grande importance que, dans toute la formation intellectuelle et humaine, on considère comme nécessaire et essentielle la dimension de l'inculturation » (175). Cela exige au préalable une théologie authentique, inspirée des principes catholiques concernant l'inculturation. Ces principes sont liés au mystère de l'Incarnation du Verbe de Dieu et à l'anthropologie chrétienne ; ils éclairent le sens authentique de l'inculturation. 

Celle-ci, face aux cultures les plus diverses et parfois opposées présentes dans les différentes parties du monde, veut être un acte d'obéissance au commandement du Christ de prêcher l'Évangile à toutes les nations et jusqu'aux confins de la terre. Cette obéissance ne signifie ni syncrétisme, ni simple adaptation de l'annonce évangélique, mais le fait que l'Évangile pénètre vitalement dans les cultures, s'incarne en elles, dépassant leurs éléments culturels incompatibles avec la foi et la vie chrétiennes et élevant leurs valeurs jusqu'au mystère du salut qui provient du Christ (176). Le problème de l'inculturation peut avoir un intérêt spécial quand les candidats au sacerdoce proviennent eux-mêmes de cultures autochtones : ils auront alors besoin de parcours de formation adaptés, soit pour éviter le risque d'être moins exigeants et de se contenter d'une éducation plus faible en valeurs humaines, chrétiennes et sacerdotales, soit pour mettre en valeur les éléments bons et authentiques de leurs cultures et de leurs traditions (177).

56. En suivant l'enseignement et les orientations du Concile Vatican II et les normes pratiques de la Ratio fundamentalis institutionis sacerdotalis, un vaste « aggiornamento » de l'enseignement des disciplines philosophiques et surtout théologiques a été accompli dans les séminaires. Si cet « aggiornamento » appelle encore dans certains cas des retouches et des développements, il a contribué dans l'ensemble à améliorer toujours plus l'éducation donnée dans le cadre de la formation intellectuelle. À ce sujet, « les Pères synodaux ont de nouveau affirmé fréquemment et avec clarté la nécessité et même l'urgence que soit appliqué dans les séminaires et les maisons de formation le programme fondamental des études, qu'il s'agisse du programme universel ou de celui des divers pays ou Conférences épiscopales » (178).

Il est nécessaire de combattre fermement la tendance à abaisser le niveau et le sérieux des études, tendance qui se manifeste dans certains secteurs de l'Église et qui est due en partie à l'insuffisance et aux lacunes de la formation intellectuelle de base reçue par les étudiants qui commencent le cycle philosophique et théologique. C'est la situation contemporaine elle-même qui exige que les maîtres soient toujours davantage à la hauteur de la complexité des temps et soient en mesure d'affronter avec compétence, clarté et profondeur d'argumentation les questions sur le sens posées par les hommes d'aujourd'hui, questions auxquelles seul l'Évangile de Jésus Christ apporte la réponse pleine et définitive.

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