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 Autre recherche sans aucun "Tu", mais les titres sont intéressants

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coeurtendre
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MessageSujet: Autre recherche sans aucun "Tu", mais les titres sont intéressants   Autre recherche sans aucun "Tu", mais les titres sont intéressants Icon_minitimeMer 1 Mar - 23:06

Autre recherche sans aucun "Tu", mais les titres sont intéressants 206640364E57B95223FD03


Autre recherche sans aucun "Tu", Arrow  mais les titres sont intéressants

Ne risquez donc pas de vous trouver en guerre contre Dieu. 

En réponse, Pierre et les Apôtres déclarèrent : « Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes. Le Dieu de nos pères a ressuscité Jésus, que vous aviez exécuté en le suspendant au bois du supplice.  C’est lui que Dieu, par sa main droite, a élevé, en faisant de lui le Prince et le Sauveur, pour accorder à Israël la conversion et le pardon des péchés.  Quant à nous, nous sommes les témoins de tout cela, avec l’Esprit Saint, que Dieu a donné à ceux qui lui obéissent. »  Ceux qui les avaient entendus étaient exaspérés et projetaient de les supprimer.  Alors, dans le Conseil suprême, intervint un pharisien nommé Gamaliel, docteur de la Loi, qui était honoré par tout le peuple. Il ordonna de les faire sortir un instant,  puis il dit : « Vous, Israélites, prenez garde à ce que vous allez faire à ces gens-là.  Il y a un certain temps, se leva Theudas qui prétendait être quelqu’un, et à qui se rallièrent quatre cents hommes environ ; il a été supprimé, et tous ses partisans ont été mis en déroute et réduits à rien.  Après lui, à l’époque du recensement, se leva Judas le Galiléen qui a entraîné beaucoup de monde derrière lui. Il a péri lui aussi, et tous ses partisans ont été dispersés.  Eh bien, dans la circonstance présente, je vous le dis : ne vous occupez plus de ces gens-là, laissez-les. En effet, si leur résolution ou leur entreprise vient des hommes, elle tombera.  Mais si elle vient de Dieu, vous ne pourrez pas les faire tomber. Ne risquez donc pas de vous trouver en guerre contre Dieu. » Les membres du Conseil se laissèrent convaincre ;  ils rappelèrent alors les Apôtres et, après les avoir fait fouetter, ils leur interdirent de parler au nom de Jésus, puis ils les relâchèrent.  Quant à eux, quittant le Conseil suprême, ils repartaient tout joyeux d’avoir été jugés dignes de subir des humiliations pour le nom de Jésus.  Tous les jours, au Temple et dans leurs maisons, sans cesse, ils enseignaient et annonçaient la Bonne Nouvelle : le Christ, c’est Jésus.

Actes des Apôtres 5,29-42

Le Don de Dieu  c'est du Gratuit pour 
du Gratuit Il ne s'achète pas au prix de l'argent.

 Pierre lui dit : « Périsse ton argent, et toi avec, puisque tu as estimé pouvoir acheter le don de Dieu à prix d’argent !  Tu n’as aucune part, aucun droit, en ce domaine, car devant Dieu ton cœur manque de droiture.  Détourne-toi donc de ce mal que tu veux faire, et prie le Seigneur : il te pardonnera peut-être cette pensée que tu as dans le cœur. Car je le vois bien : tu es plein d’aigreur amère, tu es enchaîné dans l’injustice. »  Simon répondit : « Priez vous-mêmes pour moi le Seigneur, afin que rien ne m’arrive de ce que vous avez dit. »  Quant à Pierre et Jean, ayant rendu témoignage et proclamé la parole du Seigneur, ils retournèrent à Jérusalem en annonçant l’Évangile à un grand nombre de villages samaritains.  L’ange du Seigneur adressa la parole à Philippe en disant : « Mets-toi en marche en direction du sud, prends la route qui descend de Jérusalem à Gaza ; elle est déserte. »  Et Philippe se mit en marche. 

Or, un Éthiopien, un eunuque, haut fonctionnaire de Candace, la reine d’Éthiopie, et administrateur de tous ses trésors, était venu à Jérusalem pour adorer.  Il en revenait, assis sur son char, et lisait le prophète Isaïe.  L’Esprit dit à Philippe : « Approche, et rejoins ce char. »  Philippe se mit à courir, et il entendit l’homme qui lisait le prophète Isaïe ; alors il lui demanda : « Comprends-tu ce que tu lis ? »  L’autre lui répondit : « Et comment le pourrais-je s’il n’y a personne pour me guider ? » Il invita donc Philippe à monter et à s’asseoir à côté de lui. 

 Le passage de l’Écriture qu’il lisait était celui-ci : Comme une brebis, il fut conduit à l’abattoir ; comme un agneau muet devant le tondeur, il n’ouvre pas la bouche.  Dans son humiliation, il n’a pas obtenu justice. Sa descendance, qui en parlera ? Car sa vie est retranchée de la terre.  Prenant la parole, l’eunuque dit à Philippe : « Dis-moi, je te prie : de qui le prophète parle-t-il ? De lui-même, ou bien d’un autre ? »  Alors Philippe prit la parole et, à partir de ce passage de l’Écriture, il lui annonça la Bonne Nouvelle de Jésus.  Comme ils poursuivaient leur route, ils arrivèrent à un point d’eau, et l’eunuque dit : « Voici de l’eau : qu’est-ce qui empêche que je sois baptisé ? »  Il fit arrêter le char, ils descendirent dans l’eau tous les deux, et Philippe baptisa l’eunuque. Quand ils furent remontés de l’eau, l’Esprit du Seigneur emporta Philippe ; l’eunuque ne le voyait plus, mais il poursuivait sa route, tout joyeux.

Actes des Apôtres 8,20-39

« Saul, Saul, pourquoi me persécuter ? »

Il fut précipité à terre ; il entendit une voix qui lui disait : « Saul, Saul, pourquoi me persécuter ? »  Il demanda : « Qui es-tu, Seigneur ? » La voix répondit : « Je suis Jésus, celui que tu persécutes.  Relève-toi et entre dans la ville : on te dira ce que tu dois faire. »  Ses compagnons de route s’étaient arrêtés, muets de stupeur : ils entendaient la voix, mais ils ne voyaient personne.  Saul se releva de terre et, bien qu’il eût les yeux ouverts, il ne voyait rien. Ils le prirent par la main pour le faire entrer à Damas.  Pendant trois jours, il fut privé de la vue et il resta sans manger ni boire. 

 Or, il y avait à Damas un disciple nommé Ananie. Dans une vision, le Seigneur lui dit : « Ananie ! » Il répondit : « Me voici, Seigneur. »  Le Seigneur reprit : « Lève-toi, va dans la rue appelée rue Droite, chez Jude : tu demanderas un homme de Tarse nommé Saul. Il est en prière,  et il a eu cette vision : un homme, du nom d’Ananie, entrait et lui imposait les mains pour lui rendre la vue. »  Ananie répondit : « Seigneur, j’ai beaucoup entendu parler de cet homme, et de tout le mal qu’il a fait subir à tes fidèles à Jérusalem.  Il est ici, après avoir reçu de la part des grands prêtres le pouvoir d’enchaîner tous ceux qui invoquent ton nom. »  Mais le Seigneur lui dit : « Va ! car cet homme est l’instrument que j’ai choisi pour faire parvenir mon nom auprès des nations, des rois et des fils d’Israël.  Et moi, je lui montrerai tout ce qu’il lui faudra souffrir pour mon nom. » 

 Ananie partit donc et entra dans la maison. Il imposa les mains à Saul, en disant : « Saul, mon frère, celui qui m’a envoyé, c’est le Seigneur, c’est Jésus qui t’est apparu sur le chemin par lequel tu venais. Ainsi, tu vas retrouver la vue, et tu seras rempli d’Esprit Saint. » Aussitôt tombèrent de ses yeux comme des écailles, et il retrouva la vue. Il se leva, puis il fut baptisé.  Alors il prit de la nourriture et les forces lui revinrent. Il passa quelques jours à Damas avec les disciples  et, sans plus attendre, il proclamait Jésus dans les synagogues, affirmant que celui-ci est le Fils de Dieu.  Tous ceux qui écoutaient étaient stupéfaits et disaient : « N’est-ce pas lui qui, à Jérusalem, s’acharnait contre ceux qui invoquent ce nom-là, et n’est-il pas venu ici afin de les ramener enchaînés chez les grands prêtres ? »   Mais Saul, avec une force de plus en plus grande, réfutait les Juifs qui habitaient Damas, en démontrant que Jésus est le Christ.  Assez longtemps après, les Juifs tinrent conseil en vue de le supprimer.

Actes des Apôtres 9,4-23

Pierre mit tout le monde dehors ; 
il se mit à genoux et pria ; puis il se 
tourna vers le corps, et il dit : 
« Tabitha, lève-toi ! »

 Or, il arriva que Pierre, parcourant tout le pays, se rendit aussi chez les fidèles qui habitaient Lod.  Il y trouva un homme du nom d’Énéas, alité depuis huit ans parce qu’il était paralysé.  Pierre lui dit : « Énéas, Jésus Christ te guérit, lève-toi et fais ton lit toi-même. » Et aussitôt il se leva.  Alors tous les habitants de Lod et de la plaine de Sarone purent le voir, et ils se convertirent en se tournant vers le Seigneur.  Il y avait aussi à Jaffa une femme disciple du Seigneur, nommée Tabitha, ce qui se traduit : Dorcas (c’est-à-dire : Gazelle). Elle était riche des bonnes œuvres et des aumônes qu’elle faisait.  Or, il arriva en ces jours-là qu’elle tomba malade et qu’elle mourut. Après la toilette funèbre, on la déposa dans la chambre haute.  Comme Lod est près de Jaffa, les disciples, apprenant que Pierre s’y trouvait, lui envoyèrent deux hommes avec cet appel : « Viens chez nous sans tarder. »  Pierre se mit en route avec eux. À son arrivée on le fit monter à la chambre haute. Toutes les veuves en larmes s’approchèrent de lui ; elles lui montraient les tuniques et les manteaux confectionnés par Dorcas quand celle-ci était avec elles.  Pierre mit tout le monde dehors ; il se mit à genoux et pria ; puis il se tourna vers le corps, et il dit : « Tabitha, lève-toi ! » Elle ouvrit les yeux et, voyant Pierre, elle se redressa et s’assit.  Pierre, lui donnant la main, la fit lever. Puis il appela les fidèles et les veuves et la leur présenta vivante.

Actes des Apôtres 9,32-41

La rencontre entre Pierre et le centurion Corneille

 Comme Pierre réfléchissait encore à sa vision, l’Esprit lui dit : « Voilà trois hommes qui te cherchent.  Eh bien, debout, descends, et pars avec eux sans hésiter, car c’est moi qui les ai envoyés. »  Pierre descendit trouver les hommes et leur dit : « Me voici, je suis celui que vous cherchez. Pour quelle raison êtes-vous là ? »  Ils répondirent : « Le centurion Corneille, un homme juste, qui craint Dieu, et à qui toute la nation juive rend un bon témoignage, a été averti par un ange saint de te faire venir chez lui et d’écouter tes paroles. »  Il les fit entrer et leur donna l’hospitalité. Le lendemain, il se mit en route avec eux ; quelques frères de Jaffa l’accompagnèrent.  Le jour suivant, il entra à Césarée. Corneille les attendait, et avait rassemblé sa famille et ses amis les plus proches.  Comme Pierre arrivait, Corneille vint à sa rencontre et, tombant à ses pieds, il se prosterna. 26 Mais Pierre le releva en disant : « Lève-toi. Je ne suis qu’un homme, moi aussi. »  

Tout en conversant avec lui, il entra et il trouva beaucoup de gens réunis.  Il leur dit : « Vous savez qu’un Juif n’est pas autorisé à fréquenter un étranger ni à entrer en contact avec lui. Mais à moi, Dieu a montré qu’il ne fallait déclarer interdit ou impur aucun être humain.  C’est pourquoi, quand vous m’avez envoyé chercher, je suis venu sans réticence. J’aimerais donc savoir pour quelle raison vous m’avez envoyé chercher. »  Corneille dit alors : « Il y a maintenant quatre jours, j’étais en train de prier chez moi à la neuvième heure, au milieu de l’après-midi, quand un homme au vêtement éclatant se tint devant moi, et me dit : “Corneille, ta prière a été exaucée, et Dieu s’est souvenu de tes aumônes. Envoie donc quelqu’un à Jaffa pour convoquer Simon surnommé Pierre ; il est logé chez un autre Simon qui travaille le cuir et dont la maison est au bord de la mer.”  Je t’ai donc aussitôt envoyé chercher, et toi, en venant, tu as bien agi. Maintenant donc, nous sommes tous là devant Dieu pour écouter tout ce que le Seigneur t’a chargé de nous dire. » 

 Alors Pierre prit la parole et dit : « En vérité, je le comprends, Dieu est impartial   il accueille, quelle que soit la nation, celui qui le craint et dont les œuvres sont justes.  Telle est la parole qu’il a envoyée aux fils d’Israël, en leur annonçant la bonne nouvelle de la paix par Jésus Christ, lui qui est le Seigneur de tous.  Vous savez ce qui s’est passé à travers tout le pays des Juifs, depuis les commencements en Galilée, après le baptême proclamé par Jean :  Jésus de Nazareth, Dieu lui a donné l’onction d’Esprit Saint et de puissance. Là où il passait, il faisait le bien et guérissait tous ceux qui étaient sous le pouvoir du diable, car Dieu était avec lui.  Et nous, nous sommes témoins de tout ce qu’il a fait dans le pays des Juifs et à Jérusalem. Celui qu’ils ont supprimé en le suspendant au bois du supplice,  Dieu l’a ressuscité le troisième jour. Il lui a donné de se manifester,  non pas à tout le peuple, mais à des témoins que Dieu avait choisis d’avance, à nous qui avons mangé et bu avec lui après sa résurrection d’entre les morts. 

 Dieu nous a chargés d’annoncer au peuple et de témoigner que lui-même l’a établi Juge des vivants et des morts.  C’est à Jésus que tous les prophètes rendent ce témoignage : Quiconque croit en lui reçoit par son nom le pardon de ses péchés. »  Pierre parlait encore quand l’Esprit Saint descendit sur tous ceux qui écoutaient la Parole.  Les croyants qui accompagnaient Pierre, et qui étaient juifs d’origine, furent stupéfaits de voir que, même sur les nations, le don de l’Esprit Saint avait été répandu.  En effet, on les entendait parler en langues et chanter la grandeur de Dieu. Pierre dit alors :  « Quelqu’un peut-il refuser l’eau du baptême à ces gens qui ont reçu l’Esprit Saint tout comme nous ? » Et il donna l’ordre de les baptiser au nom de Jésus Christ. Alors ils lui demandèrent de rester quelques jours avec eux.

Actes des Apôtres 10, 19-48

Au lever du jour, il y eut une belle 
agitation chez les soldats : qu’était
 donc devenu Pierre ?

 Elle reconnut la voix de Pierre et, dans sa joie, au lieu d’ouvrir la porte, elle rentra en courant annoncer que Pierre était là, devant le portail.  On lui dit : « Tu délires ! » Mais elle soutenait qu’il en était bien ainsi. Et eux disaient : « C’est son ange. »  Cependant Pierre continuait à frapper ; ayant ouvert, ils le virent et furent dans la stupéfaction.  D’un geste de la main, il leur demanda le silence et leur raconta comment le Seigneur l’avait fait sortir de la prison. Il leur dit alors : « Annoncez-le à Jacques et aux frères. » Puis il sortit et s’en alla vers un autre lieu.  Au lever du jour, il y eut une belle agitation chez les soldats : qu’était donc devenu Pierre ?

 Hérode le fit rechercher, sans réussir à le trouver. Ayant fait comparaître les gardes, il donna l’ordre de les emmener au supplice. Puis, de Judée, il descendit à Césarée, où il séjourna.  Hérode était en conflit aigu avec les habitants de Tyr et de Sidon. S’étant mis d’accord, ceux-ci vinrent se présenter devant lui. Après avoir gagné à leur cause Blastos, le chambellan du roi, ils sollicitaient une solution pacifique, car leur contrée dépendait du domaine royal pour son approvisionnement.  Au jour fixé, Hérode, ayant revêtu les habits royaux et siégeant à la tribune, se mit à les haranguer.  Le peuple l’acclamait à grands cris : « C’est la voix d’un dieu, et non d’un homme ! » Mais soudain, l’ange du Seigneur le frappa, parce qu’il n’avait pas rendu gloire à Dieu. Rongé par les vers, il expira.  La parole de Dieu était féconde et se multipliait.  Barnabé et Saul, une fois leur service accompli en faveur de Jérusalem, s’en retournèrent à Antioche, en prenant avec eux Jean surnommé Marc.

Actes des Apôtres 12, 14-25

 Tu es mon fils ; moi, aujourd’hui, je t’ai engendré.

 Au moment d’achever sa course, Jean disait : “Ce que vous pensez que je suis, je ne le suis pas. Mais le voici qui vient après moi, et je ne suis pas digne de retirer les sandales de ses pieds.”  Vous, frères, les fils de la lignée d’Abraham et ceux parmi vous qui craignent Dieu, c’est à nous que la parole du salut a été envoyée. 27 En effet, les habitants de Jérusalem et leurs chefs ont méconnu Jésus, ainsi que les paroles des prophètes qu’on lit chaque sabbat ; or, en le jugeant, ils les ont accomplies.  Sans avoir trouvé en lui aucun motif de condamnation à mort, ils ont demandé à Pilate qu’il soit supprimé.  Et, après avoir accompli tout ce qui était écrit de lui, ils l’ont descendu du bois de la croix et mis au tombeau.   Mais Dieu l’a ressuscité d’entre les morts.  Il est apparu pendant bien des jours à ceux qui étaient montés avec lui de Galilée à Jérusalem, et qui sont maintenant ses témoins devant le peuple.  Et nous, nous vous annonçons cette Bonne Nouvelle : la promesse faite à nos pères,  Dieu l’a pleinement accomplie pour nous, leurs enfants, en ressuscitant Jésus, comme il est écrit au psaume deux : Tu es mon fils ; moi, aujourd’hui, je t’ai engendré.

Actes des Apôtres 13, 25-33

Mais celui que Dieu a ressuscité n’a pas vu la corruption.

 Mais celui que Dieu a ressuscité n’a pas vu la corruption.  Sachez-le donc, frères, grâce à Jésus, le pardon des péchés vous est annoncé ; alors que, par la loi de Moïse, vous ne pouvez pas être délivrés de vos péchés ni devenir justes,  par Jésus, tout homme qui croit devient juste.  Prenez donc garde de ne pas être atteints par ce qui a été dit dans les Prophètes :  Vous, les arrogants, regardez, soyez dans la stupeur, disparaissez, car je fais une œuvre en votre temps, une œuvre à laquelle vous ne croiriez pas si on vous la racontait. »  À leur sortie de la synagogue, les gens les invitaient à leur parler encore de tout cela le prochain sabbat.  Une fois l’assemblée dispersée, beaucoup de Juifs et de convertis qui adorent le Dieu unique les suivirent. 

Paul et Barnabé, parlant avec eux, les encourageaient à rester attachés à la grâce de Dieu.  Le sabbat suivant, presque toute la ville se rassembla pour entendre la parole du Seigneur.  Quand les Juifs virent les foules, ils s’enflammèrent de jalousie ; ils contredisaient les paroles de Paul et l’injuriaient.  Paul et Barnabé leur déclarèrent avec assurance : « C’est à vous d’abord qu’il était nécessaire d’adresser la parole de Dieu. Puisque vous la rejetez et que vous-mêmes ne vous jugez pas dignes de la vie éternelle, eh bien ! nous nous tournons vers les nations païennes.  C’est le commandement que le Seigneur nous a donné : J’ai fait de toi la lumière des nations pour que, grâce à toi, le salut parvienne jusqu’aux extrémités de la terre. »  En entendant cela, les païens étaient dans la joie et rendaient gloire à la parole du Seigneur ; tous ceux qui étaient destinés à la vie éternelle devinrent croyants.  Ainsi la parole du Seigneur se répandait dans toute la région.

Actes des Apôtres 13, 37,49

 « Que dois-je faire pour être sauvé, mes seigneurs ? »

 Ayant réclamé de la lumière, le geôlier se précipita et, tout tremblant, se jeta aux pieds de Paul et de Silas.  Puis il les emmena dehors et leur demanda : « Que dois-je faire pour être sauvé, mes seigneurs ? »  Ils lui répondirent : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et toute ta maison. »  Ils lui annoncèrent la parole du Seigneur, ainsi qu’à tous ceux qui vivaient dans sa maison.  À l’heure même, en pleine nuit, le geôlier les emmena pour laver leurs plaies. Aussitôt, il reçut le baptême avec tous les siens. 34 Puis il fit monter chez lui Paul et Silas, il fit préparer la table et, avec toute sa maison, il laissa déborder sa joie de croire en Dieu.  Quand il fit jour, les magistrats envoyèrent leurs gardes dire au geôlier : « Relâche ces gens ! » 36 Le geôlier rapporta ces paroles à Paul : « Les magistrats ont envoyé dire de vous relâcher. Sortez donc maintenant et partez en paix. »  Mais Paul dit aux gardes : « Ils nous ont fait flageller en public sans jugement, alors que nous sommes citoyens romains, ils nous ont jetés en prison ; et maintenant, c’est à la dérobée qu’ils nous expulsent ! Il n’en est pas question : qu’ils viennent eux-mêmes nous faire sortir ! »  Les gardes rapportèrent ces paroles aux magistrats. Ceux-ci furent pris de peur en apprenant que c’étaient des Romains.  Ils vinrent donc les apaiser ; ils les firent sortir en leur demandant de quitter la ville.  Une fois sortis de la prison, Paul et Silas entrèrent chez Lydie ; ils virent les frères et les réconfortèrent, puis ils partirent.

Actes des Apôtres 16, 29,40

« Nous n’avons même pas entendu dire qu’il y a un Esprit Saint. »

 Il leur demanda : « Lorsque vous êtes devenus croyants, avez-vous reçu l’Esprit Saint ? » Ils lui répondirent : « Nous n’avons même pas entendu dire qu’il y a un Esprit Saint. » Paul reprit : « Quel baptême avez-vous donc reçu ? » Ils répondirent : « Celui de Jean le Baptiste. » Paul dit alors : « Jean donnait un baptême de conversion : il disait au peuple de croire en celui qui devait venir après lui, c’est-à-dire en Jésus. »  Après l’avoir entendu, ils se firent baptiser au nom du Seigneur Jésus.  Et quand Paul leur eut imposé les mains, l’Esprit Saint vint sur eux, et ils se mirent à parler en langues mystérieuses et à prophétiser.  Ils étaient une douzaine d’hommes au total.  Paul se rendit à la synagogue où, pendant trois mois, il prit la parole avec assurance ; il discutait et usait d’arguments persuasifs à propos du royaume de Dieu. Certains s’endurcissaient et refusaient de croire ; devant la multitude, ils dénigraient le Chemin du Seigneur Jésus.  C’est pourquoi Paul se sépara d’eux. Il prit les disciples à part et s’entretenait chaque jour avec eux dans l’école de Tyrannos. 10 Cela dura deux ans, si bien que tous les habitants de la province d’Asie, Juifs et Grecs, entendirent la parole du Seigneur.  Par les mains de Paul, Dieu faisait des miracles peu ordinaires,  à tel point que l’on prenait des linges ou des mouchoirs qui avaient touché sa peau, pour les appliquer sur les malades ; alors les maladies les quittaient et les esprits mauvais sortaient.  Certains exorcistes juifs itinérants entreprirent de prononcer le nom du Seigneur Jésus sur ceux qui étaient possédés par les esprits mauvais, en disant : « Je vous exorcise par ce Jésus que Paul proclame. »  Les sept fils d’un certain Scéva, un grand prêtre juif, agissaient ainsi.  Mais l’esprit mauvais leur répondit : « Jésus, je le connais ; Paul, je sais qui c’est ; mais vous, qui êtes-vous ? » 

 Et, bondissant sur eux, l’homme en qui était l’esprit mauvais les maîtrisa tous avec une telle violence, qu’ils s’enfuirent de la maison, tout nus et couverts de blessures.  Cela fut connu par tous les Juifs et les Grecs habitant Éphèse ; la crainte s’empara de tous, et l’on exaltait le nom du Seigneur Jésus.  Beaucoup de ceux qui étaient devenus croyants venaient confesser publiquement les pratiques auxquelles ils s’étaient livrés.  Bon nombre de ceux qui avaient pratiqué les sciences occultes rassemblaient leurs livres et les brûlaient devant tout le monde ; on en évalua le prix : cela faisait cinquante mille pièces d’argent.  Ainsi, par la force du Seigneur, la Parole était féconde et gagnait en vigueur.

Actes des Apôtres 19, 2-20

 Je n’ai convoité ni l’argent ni l’or ni le vêtement de personne.

 Et maintenant, je vous confie à Dieu et à la parole de sa grâce, lui qui a le pouvoir de construire l’édifice et de donner à chacun l’héritage en compagnie de tous ceux qui ont été sanctifiés.  Je n’ai convoité ni l’argent ni l’or ni le vêtement de personne.  Vous le savez bien vous-mêmes : les mains que voici ont pourvu à mes besoins et à ceux de mes compagnons.  En toutes choses, je vous ai montré qu’en se donnant ainsi de la peine, il faut secourir les faibles et se souvenir des paroles du Seigneur Jésus, car lui-même a dit : Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir. »  Quand Paul eut ainsi parlé, il s’agenouilla et pria avec eux tous.  Tous se mirent à pleurer abondamment ; ils se jetaient au cou de Paul et l’embrassaient  ce qui les affligeait le plus, c’est la parole qu’il avait dite : « Vous ne verrez plus mon visage ». Puis on l’accompagna jusqu’au bateau.

Actes des Apôtres 20,32-38

« Que faites-vous là à pleurer et à me briser le cœur ?

 Ayant trouvé les disciples, nous sommes restés sept jours avec eux ; ceux-ci, poussés par l’Esprit, disaient à Paul de ne pas monter à Jérusalem.  Mais quand notre séjour a été achevé, nous sommes partis et nous avons repris la route, accompagnés jusqu’en dehors de la ville par tous, y compris les femmes et les enfants. À genoux sur le rivage, nous avons prié ;  après nous être dit adieu les uns aux autres, nous avons embarqué à nouveau sur le bateau, tandis qu’ils retournaient chez eux.  Quant à nous, achevant notre traversée, de Tyr nous sommes arrivés à Ptolémaïs ; ayant salué les frères, nous avons passé une journée chez eux.  Partis le lendemain, nous sommes allés à Césarée, nous sommes entrés dans la maison de Philippe, l’évangélisateur, qui était l’un des Sept, et nous sommes restés chez lui.  Il avait quatre filles non mariées, qui prophétisaient.  Comme nous restions là plusieurs jours, un prophète nommé Agabos descendit de Judée.  Il vint vers nous, enleva la ceinture de Paul, se ligota les pieds et les mains, et déclara : « Voici ce que dit l’Esprit Saint : L’homme à qui appartient cette ceinture, les Juifs le ligoteront de la sorte à Jérusalem et le livreront aux mains des nations. »  Quand nous avons entendu cela, nous et les frères qui habitaient là, nous l’exhortions à ne pas monter à Jérusalem.  Alors Paul répondit : « Que faites-vous là à pleurer et à me briser le cœur ? Moi je suis prêt, non seulement à me laisser ligoter, mais encore à mourir à Jérusalem pour le nom du Seigneur Jésus. »

Actes des Apôtres 21,4-13

 “Qui es-tu, Seigneur ? – Je suis Jésus 
  le Nazaréen, celui que tu persécutes.”

 « Je suis Juif, né à Tarse en Cilicie, mais élevé ici dans cette ville, où, à l’école de Gamaliel, j’ai reçu une éducation strictement conforme à la Loi de nos pères ; j’avais pour Dieu une ardeur jalouse, comme vous tous aujourd’hui.  J’ai persécuté à mort ceux qui suivent le Chemin du Seigneur Jésus ; j’arrêtais hommes et femmes, et les jetais en prison ; le grand prêtre et tout le collège des Anciens peuvent en témoigner. Ces derniers m’avaient donné des lettres pour nos frères de Damas où je me rendais : je devais ramener à Jérusalem, ceux de là-bas, enchaînés, pour qu’ils subissent leur châtiment.  Donc, comme j’étais en route et que j’approchais de Damas, soudain vers midi, une grande lumière venant du ciel m’enveloppa de sa clarté.  Je tombai sur le sol, et j’entendis une voix me dire : “Saul, Saul, pourquoi me persécuter ?”  Et moi je répondis : “Qui es-tu, Seigneur ? – Je suis Jésus le Nazaréen, celui que tu persécutes.”  Ceux qui étaient avec moi virent la lumière, mais n’entendirent pas la voix de celui qui me parlait.  Alors je dis : “Que dois-je faire, Seigneur ?” Le Seigneur me répondit : “Relève-toi, va jusqu’à Damas ; et là on te dira tout ce qu’il t’est prescrit de faire.”  Comme je n’y voyais plus rien, à cause de l’éclat de cette lumière, je me rendis à Damas, conduit par la main de mes compagnons. 

 Or, Ananie, un homme religieux selon la Loi, à qui tous les Juifs résidant là rendaient un bon témoignage, vint se placer près de moi et me dit : “Saul, mon frère, retrouve la vue.” Et moi, au même instant, je retrouvai la vue, et je le vis.  Il me dit encore : “Le Dieu de nos pères t’a destiné à connaître sa volonté, à voir celui qui est le Juste et à entendre la voix qui sort de sa bouche.  Car tu seras pour lui, devant tous les hommes, le témoin de ce que tu as vu et entendu.  Et maintenant, pourquoi tarder ? Lève-toi et reçois le baptême, sois lavé de tes péchés en invoquant son nom.”  Revenu à Jérusalem, j’étais en prière dans le Temple quand je tombai en extase.  Je vis le Seigneur qui me disait : “Hâte-toi, sors vite de Jérusalem, car ils n’accueilleront pas ton témoignage à mon sujet.”  Et moi je répondis : “Seigneur, ces gens le savent bien : c’est moi qui allais d’une synagogue à l’autre pour mettre en prison et faire flageller ceux qui croyaient en toi   et quand on versait le sang d’Étienne ton témoin, je me tenais là, moi aussi ; j’étais d’accord, et je gardais les vêtements de ses meurtriers.

  Il me dit alors : “Va, car moi je vais t’envoyer au loin, vers les nations.” »  Jusqu’à cette parole, les gens l’écoutaient. Mais alors, ils se mirent à élever la voix : « Débarrassez la terre d’un tel individu ! Il ne faut pas qu’il vive ! »  Ils poussaient des cris, arrachaient leurs vêtements, jetaient de la poussière en l’air.  Alors le commandant ordonna de le faire entrer dans la forteresse. Il dit de procéder à un interrogatoire par le fouet, afin de savoir pour quel motif on criait contre lui de cette manière. Comme on l’étendait en l’attachant avec des courroies, Paul dit au centurion de service : « Un citoyen romain, qui n’a même pas été jugé, avez-vous le droit de lui donner le fouet ? »  Quand le centurion entendit cela, il alla trouver le commandant pour le mettre au courant : « Qu’allais-tu faire ? Cet homme est un Romain ! » Le commandant alla trouver Paul et lui demanda : « Dis-moi : tu es romain, toi ? – Oui, répondit-il. » Le commandant reprit : « Moi, j’ai payé une grosse somme pour acquérir cette citoyenneté. » Paul répliqua : « Moi, je l’ai de naissance. »


Actes des Apôtres 22,3-28

« C’est Dieu qui va te frapper, espèce de mur blanchi ! 

 Le grand prêtre Ananias ordonna à ceux qui étaient auprès de lui de le frapper sur la bouche.  Alors Paul lui dit : « C’est Dieu qui va te frapper, espèce de mur blanchi ! Tu sièges ici pour me juger conformément à la Loi, et contrairement à la Loi tu donnes l’ordre de me frapper ! »  Ceux qui étaient là dirent : « Tu insultes le grand prêtre de Dieu ? »  Paul reprit : « Je ne savais pas, frères, que c’était le grand prêtre. Il est écrit en effet : Tu ne diras pas de mal d’un chef de ton peuple. »  Sachant que le Conseil suprême se répartissait entre sadducéens et pharisiens, Paul s’écria devant eux : « Frères, moi, je suis pharisien, fils de pharisiens. C’est à cause de notre espérance, la résurrection des morts, que je passe en jugement. »  À peine avait-il dit cela, qu’il y eut un affrontement entre pharisiens et sadducéens, et l’assemblée se divisa.  

En effet, les sadducéens disent qu’il n’y a pas de résurrection, pas plus que d’ange ni d’esprit, tandis que les pharisiens professent tout cela.  Il se fit alors un grand vacarme. Quelques scribes du côté des pharisiens se levèrent et protestèrent vigoureusement : « Nous ne trouvons rien de mal chez cet homme. Et si c’était un esprit qui lui avait parlé, ou un ange ? »  L’affrontement devint très violent, et le commandant craignit que Paul ne se fasse écharper. Il ordonna à la troupe de descendre pour l’arracher à la mêlée et le ramener dans la forteresse.  La nuit suivante, le Seigneur vint auprès de Paul et lui dit : « Courage ! Le témoignage que tu m’as rendu à Jérusalem, il faut que tu le rendes aussi à Rome. »

   Lorsqu’il fit jour, les Juifs organisèrent un rassemblement où ils se jurèrent, sous peine d’anathème, de ne plus manger ni boire tant qu’ils n’auraient pas tué Paul.  Les auteurs de cette conjuration étaient plus de quarante.  Ils vinrent trouver les grands prêtres et les anciens pour leur dire : « Nous nous sommes juré, sous peine d’anathème, de ne prendre aucune nourriture tant que nous n’aurons pas tué Paul.  Alors vous, d’accord avec le Conseil suprême, faites un rapport au commandant pour qu’il le fasse comparaître devant vous sous prétexte de mener une enquête plus approfondie sur son cas. Nous nous tenons prêts pour le supprimer avant qu’il n’arrive. »  Mais le fils de la sœur de Paul eut connaissance du guet-apens ; il se présenta à la forteresse et, une fois entré, avertit Paul.  Paul alors appela l’un des centurions et lui dit : « Emmène ce garçon chez le commandant : il doit l’avertir de quelque chose. »  Le centurion le prit avec lui et le mena chez le commandant, auquel il dit : « Le prisonnier Paul m’a appelé pour me demander de t’amener ce jeune garçon qui a quelque chose à te dire. »

Actes des Apôtres 23,2-18

: « De quoi dois-tu m’avertir ? »

 Le commandant prit celui-ci par la main, l’emmena à l’écart et l’interrogea en particulier : « De quoi dois-tu m’avertir ? »  Il répondit : « Les Juifs ont convenu de te demander de faire comparaître Paul demain devant le Conseil suprême sous prétexte d’une information plus approfondie sur son cas.  Mais toi, ne leur fais pas confiance ; en effet, parmi eux plus de quarante hommes préparent un guet-apens contre lui : ils se sont juré, sous peine d’anathème, de ne plus manger ni boire tant qu’ils ne l’auront pas supprimé. Et maintenant, ils se tiennent prêts en attendant ton accord. »  Le commandant renvoya le jeune garçon en lui donnant cette consigne :

Actes des Apôtres 23,19-22

 « Ne raconte à personne que tu m’as rapporté tout cela. » 

 « Ne raconte à personne que tu m’as rapporté tout cela. »  Il appela alors deux centurions et leur dit : « Que deux cents soldats, soixante-dix cavaliers et deux cents auxiliaires se tiennent prêts à prendre la route de Césarée à partir de la troisième heure de la nuit ;  qu’on prépare aussi des montures pour transférer Paul en toute sécurité auprès du gouverneur Félix. »  Il écrivit une lettre dont voici le contenu :  « Claudius Lysias, au Très excellent Félix, gouverneur, salut.  L’homme que voici, dont les Juifs se sont emparés, allait être supprimé par eux. Je suis alors intervenu avec la troupe pour le soustraire au danger, ayant appris qu’il est citoyen romain.  Voulant connaître le motif pour lequel les Juifs l’accusaient, je l’ai fait comparaître devant leur Conseil suprême.  J’ai constaté qu’il était accusé pour des questions relatives à leur Loi, sans aucun chef d’accusation méritant la mort ou la prison.  Après dénonciation devant moi d’un complot contre cet homme, je te l’ai envoyé immédiatement, en donnant également aux accusateurs la consigne d’exposer devant toi ce qu’ils ont contre lui. »  Les soldats prirent donc Paul conformément aux ordres reçus, et ils le conduisirent de nuit jusqu’à Antipatris.  Le lendemain, ils laissèrent partir avec lui les cavaliers et regagnèrent la forteresse.  À leur arrivée à Césarée, après avoir remis la lettre au gouverneur, ils lui présentèrent Paul.  Le gouverneur lut la lettre et demanda de quelle province il était ; apprenant qu’il était de Cilicie,  il dit : « Je t’entendrai quand tes accusateurs se présenteront, eux aussi. » Et il ordonna de l’incarcérer au prétoire d’Hérode.


Actes des Apôtres 23,23-35
 
« Tu délires, Paul ! Ta grande érudition te fait délirer ! »

Il en était là de sa défense, quand Festus s’écria : « Tu délires, Paul ! Ta grande érudition te fait délirer ! »  Mais Paul répliqua : « Je ne délire pas, Très excellent Festus ! Mais je parle un langage de vérité et de bon sens.  Le roi, à qui je m’adresse avec assurance, est au courant de ces événements ; je suis convaincu qu’aucun d’eux ne lui a échappé, car ce n’est pas dans un coin perdu que cela s’est fait.  Roi Agrippa, crois-tu aux prophètes ? Je sais bien que tu y crois. »  Agrippa dit alors à Paul : « Encore un peu, et tu me persuades de me faire chrétien ! »  Paul répliqua : « Plaise à Dieu que, tôt ou tard, non seulement toi, mais encore tous ceux qui m’écoutent aujourd’hui, vous deveniez tel que je suis – sauf les chaînes que voici ! » Le roi se leva, puis le gouverneur, ainsi que Bérénice et ceux qui étaient assis avec eux.  S’étant retirés, ils se disaient entre eux : « Cet homme ne fait rien qui mérite la mort ou la prison. »  Et Agrippa dit à Festus : « Cet homme aurait pu être relâché, s’il n’en avait pas appelé à l’empereur. »

 Actes des Apôtres 26,24-32

Va dire à ce peuple : Vous aurez beau 
écouter, vous ne comprendrez pas.
 Les uns se laissaient convaincre par de telles paroles, les autres refusaient de croire. N’étant pas d’accord les uns avec les autres, ils s’en allaient, quand Paul leur adressa cette seule parole : « L’Esprit Saint a bien parlé, quand il a dit à vos pères par le prophète Isaïe : Va dire à ce peuple : Vous aurez beau écouter, vous ne comprendrez pas. Vous aurez beau regarder, vous ne verrez pas. Le cœur de ce peuple s’est alourdi : ils sont devenus durs d’oreille, ils se sont bouché les yeux, de peur que leurs yeux ne voient, que leurs oreilles n’entendent, que leur cœur ne comprenne, qu’ils ne se convertissent, – et moi, je les guérirai. Donc, sachez-le : c’est aux nations que ce salut de Dieu a été envoyé. Les nations, elles, écouteront. » Paul demeura deux années entières dans le logement qu’il avait loué ; il accueillait tous ceux qui venaient chez lui ; il annonçait le règne de Dieu et il enseignait ce qui concerne le Seigneur Jésus Christ avec une entière assurance et sans obstacle.

Actes des Apôtres 28,24-31


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