Le premier mot qui attire mon
attention c'est le mot amour
Clique sur chaque coeur
L'action du bénévolat consiste à plonger
dans le monde pour accomplir de bonnes
actions, mais la première action de l'apostolat
est de descendre dans son coeur pour s'apprivoiser soi-même à l'amour afin que
l'amour transforme nos actions en œuvres
de vie.
Le deuxième Le deuxième mot,
c'est le mot Paix.
Si en écrivant le mot pardon vous
écrivez le mot paix par erreur, dites-vous
bien que ce n'est pas vraiment une grosse
erreur, car dans le pardon il y a une source
de paix ; impossible de parvenir à la paix
sans passer par le chemin du pardon.
Le troisièmes mot c'est le mot joie
Il y a plus de joie et de plaisir à
rencontrer un cœur qui se cache dans une personne que de rencontrer une personne
qui cache son coeur . Je peux vous dire qu'en aimant avec le du Christ, le Christ nous donne la grâce d'entendre
les plus belles histoires d'amour qui se
cachent dans le coeur de chaque pauvre que l'on rencontre sur notre route.
Le quatrième mot c'est le mot foi
1/En laissant parler mon coeur , j'ai le goût d'écrire : Notre coeur est comme une distributrice ; quand on dépose de l'argent
dans une distributrice, elle nous donne
quelque chose de notre choix. La seule
différence, c'est que la distributrice avec
de l'argent donne quelque chose, alors que
notre coeur , lui, quand on y dépose de l'amour et de la foi, il donne Quelqu'un, que
l'on appelle Le Dieu de la joie. C'est Lui
qui en est le Distributeur de Dons, comme
c'est lui qui en est le Créateur.
Le cinquième mot c'est le mot gentillesse
La gentillesse a deux capacités : elle
a celle de remercier de bon coeur une personne qui nous est venue en aide
ou encore une personne que nous-mêmes
avons eu du plaisir à lui venir en aide,
mais cette même gentillesse peut être vue
comme un signe où l'on profite de la
faiblesse d'une personne fragile et vulnérable.
Voici un exemple : Un jour, une jeune
femme invite sa maman à demeurer chez
elle pour lui venir en aide parce qu’elle avait
le cancer du sein et le cancer du poumon.
À peine une semaine présente chez sa fille,
la maman était toute joie. Mais la deuxième
semaine, la pauvre fille demande à sa
maman : « Est-ce que je peux te poser
une question ? » La maman dit oui, je
t’écoute, ma fille : Sa fille lui demande :
« Maman, dit-moi, est-ce que mon nom
est dans ton testament ? » La pauvre
maman n’a pas répondu et dans les
jours qui ont suivi, elle est partie demeurer
seule dans une roulotte. Pour comprendre
en profondeur, je vous invite à cliquer le lien
suivant sur un de mes faits vécu : (Les 7 bonjour du passage à froid (comme il
y a le bonjour du ). Le sixième mots c'est le mot pardon
Si je me guide sur les multiples expériences
des pardons que j'ai vécus sur le terrain
des grandes souffrances de la vie, seul Dieu
peut nous apprivoiser à pardonner
l'impardonnable. Le ou les pardons ne
viennent pas de nous, mais de Lui qui est
présent en chacun de nous. Oui, ne l'oublions
jamais, Dieu est le premier à ensemencer
le don de son pardon divin dans notre humain. Il se multiplie sans fin pour
nourrir notre faim. J'aime beaucoup dire
ou écrire que Jésus n'aime pas la division,
mais que sa préférence va vers le plaisir de
faire la multiplication des pardons qui
transforment notre langage humain en son
langage divin.
Le septième mot c'est le mot bénédiction
Dans une catéchèse qui a pour titre
site du Vatican. Pour la retracer très
facilement, mettre dans le navigateur
Google : (Vatican), pape François
(Catéchèse – 17. La bénédiction). La
catéchèse du pape François dit :
Aujourd'hui, nous nous arrêtons sur une
dimension essentielle de la prière : la
bénédiction. Nous continuons les réflexions
sur la prière. Dans les récits de la création
(Gn 1-2), Dieu bénit sans cesse la vie,
toujours. Il bénit les animaux (1, 22), il bénit
l'homme et la femme (1, 28), enfin il
bénit le sabbat, jour du repos et de la
jouissance de toute la création (2, 3). C'est
Dieu qui bénit. Dans les premières pages
de la Bible, c'est une répétition incessante
de Bénédictions. Dieu bénit, mais les
hommes aussi bénissent, et très vite on
découvre que la bénédiction possède une
force spéciale, qui accompagne pendant
toute sa vie celui qui la reçoit, et qui
dispose le de l'homme à se laisser changer par Dieu.
Le huitième mot c'est le mot bonheur
Pour que le monde devienne meilleur, il
faudrait bien que la souffrance invite
l'espérance chez elle, je le sais moi ; car
depuis que je l'ai invitée à vivre dans mon
, mon bonheur est devenu plus grand que ma souffrance et je suis ivre de bonheur.
Le neuvième mot, c'est (Mon Dieu) comme c'est beau.
J'aime beaucoup cette citation de Raoul
Follereau qui ne cesse de me revenir à
l'esprit, quand je pense au pauvre et au
malheureux. Cette citation dit : La vraie
charité, c'est la projection du visage
du Christ sur le visage du pauvre. Seigneur
(Mon Dieu, comme c'est beau !) surtout
quand nous en faisons l'expérience, car il
n'y a de compréhension dans cette
citation qu'en nous mettant devant un
pauvre pour donner vie à la citation,
pour que la citation devienne une
excitation à la charité et au service
de l'Évangile.
Dieu est là, dehors, mais pas toujours,
Il est le plus souvent au-dedans de nous ;
puis comme dans la barque des pêcheurs,
Ils dort, Il attend que l'on entre dans notre vie
intérieure pour nous dire : N'aie pas peur,
c'est moi, Je me repose dans ton coeur!