Que l'on ne vienne jamais me dire que je suis un patient impatient, car depuis 10 ans les Centres Hospitaliers de Trois-Rivières me renvoient d'un service à l'autre sans que cela me rende aucun service, bien au contraire : de service en service ils se renvoient la balle, mais en quoi cela peut-il me rendre service, à moi qui suis un (patient patient qui a horreur de l'impatience)? Moi qui crois qu'un jour je vais finir par leur rendre service en dénonçant leur attitude qui va à l’encontre du code de déontologie médicale en le remplaçant par le code de leur idéologie (vide d'écoute), vide de sentiment, avec une absence totale de cette présence humaine qui devrait dégager une compassion qui donne vie à une écoute en profondeur, celle que propose le code de déontologie. Cette approche que nous proposent les Conseils d'Administration des Centres Hospitaliers, représente un grand danger, surtout quand le personnel soignant n'arrive pas à combler les besoins par manque d'effectifs, quand il dilue les services, ce qui impose à plusieurs patients comme moi, atteints de problèmes de santé chroniques, d'être privés des services essentiels, ce qui représente un danger pour de nombreux patients(es). En jeux de mots, selon mon expérience dans plusieurs Centres Hospitaliers (Universitaires) - (((Uni) (vers) (si) (Terre))) -, les Centres administratifs des Centres Hospitaliers devraient revoir leurs structures sur le plan administratif, parce que si je me guide sur plusieurs expériences dans différents Centres Hospitaliers du Québec, il y a un grand ménage à faire au sein des Conseils d'Administration pour éviter que nos Centres Hospitaliers deviennent nos (Cendres Hospitaliers UniversiTerre). Si on se guide sur la façon dont l'administration des Centres Hospitaliers surcharge de travail les membres du personnel soignant, n'est-ce pas là une manière détournée >> de leur proposer l'aide médicale à mourir en les épuisant? Pour le personnel soignant, je suis certain qu'ils trouveront un côté sérieux à cette réflexion sous forme de jeux de mots.
Quand j'étais plus jeune et que je ne connaissais pas assez bien l'abécédaire, j'écrivais le mot Universitaire ainsi : (((UniversiTerre))). Comme j'étais très imaginatif - et je le suis toujours -, le mot universiterre me rappelait que quand l'enfant commence à marcher, il doit d'abord tomber plusieurs fois par (terre) avant de parvenir à marcher pour découvrir son (univers), surtout s'il évolue dans un environnement où des adultes responsables sauront respecter l'évolutivité de chaque enfant étant appelé à grandir, avec ses limites et ses capacités.
(Toujours en jeux de mots), aujourd'hui, après avoir fait une sérieuse lecture de recherche sur le code de déontologie médicale, j'ai trouvé qu'il y avait une grande différence entre les écrits que je trouve très beaux, et même trop beaux pour y croire, et le fait qu'ils ne soient pas actifs sur le terrain de nos Cendres Hospitaliers Universiterre qui sont loin d'être construits sur le roc du code de la déontologie médicale, mais sur la terre de leur idéologie administrative.
En réalité, si je compare les écrits du code de déontologie médicale avec la réalité de ce que nous vivons et voyons quand nous sommes patients, je constate que nous nous retrouvons devant plusieurs médecins qui devraient comme moi lire et relire le code de déontologie médicale pour le réintégrer à leur profession médicale, car on a comme l'impression que ces médecins ont perdu leur code de déontologie en cours de route ; il faudrait leur demander de faire la mise à jour de la raison qui les a motivés à faire l'option d'une profession médicale. Pour ces médecins, le code de déontologie est passé de l'Universitaire à l'Universiterre, où nos Centres Hospitaliers prennent le gros risque de devenir des Cendres Hospitaliers Universiterre parce que les médecins ont décidé d'enterrer le code de déontologie pour le remplacer par leur idéologie propre, là où le Conseil d'Administration épuise les membres du personnel soignant, en leur évitant ainsi de demander l'aide à mourir.
Si le code de déontologie continue à disparaître de nos Conseils Administratifs des Cendres Hospitaliers Universiterre, la prochaine étape consistera à proposer un cimetière derrière le Cendre Hospitalier, qui remplacera l'assurance-vie du personnel soignant mourant d'épuisement.
Excusez-moi pour les fautes d'orthographe faites non par épuisement, mais volontairement, pour éviter aux infirmières qu'elles se retrouvent sur une civière avant leur temps, en espérant que les Conseils Administratifs allumeront leurs lumières avant que les infirmiers(ières) deviennent poussière.
Oui, dire que cette année 2018, le jour de la Saint-Valentin tombait le même jour que le mercredi des Cendres, et le jour de Pâques, jour de la Résurrection, le même jour que le poisson d'avril! (Tout d'un coup), à supposer que le Conseil d'Administration des Cendres Hospitaliers (frait)(ferait) ressusciter le code de déontologie en enterrant leur idéologie dans le cimetière, ça empêcherait peut-être les infirmiers(ères) de devenir poussière avant leur temps.
Conclusion de ma réflexion en jeux de mots, en espérant dans les années à venir, avoir à éviter bien des maux aux infirmiers(ères) ; on sait que leur surcharge excessive de travail pourrait les conduire à des congés forcés parce qu'elles n'ont plus de force, ne pouvant plus poursuivre leur profession, ce qui provoquerait leur retrait avant même leur retraite, parce que le Conseil d’Administration au lieu de bien les traiter, les auront bien maltraitées pendant plusieurs années, avant de se réveiller, alors que eux auront eu le privilège de prendre leur retraite du Conseil d'Administration en conservant leur santé, bien assis, sans avoir à subir aucune surcharge de travail.
Conseil au Ministre de la Santé Dr Gaétan Barrette, pour améliorer le Conseil administratif dans les années à venir, pour un meilleur avenir du personnel soignant, afin de le garder vivant plus longtemps et lui permettre de faire naître un rajeunissement de cette profession parmi notre jeunesse.
Quand une personne quitte le poste d'un conseil d'administration d'un des Centres Hospitaliers Universitaires, le premier Ministre Barrette devrait lui offrir de vivre 4 mois de repos dans un lit du même hôpital où elle faisait partie du Conseil Administratif, pour lui permettre d'observer le personnel soignant, tout en lui payant le même salaire et en lui demandant de donner un compte rendu au Conseil Administratif après ses 4 mois d'observation.
Une telle observation pourrait permettre au Comité Administratif de comprendre que autant le code de déontologie est présent auprès du personnel soignant, autant il peut être absent chez plusieurs membres des Conseils Administratifs des Cendres Hospitaliers Universiterre qui se paient des bureaux des plaintes pour étouffer les plaintes des patients, où il y a un lien très proche entre les plaintes des patients et la surcharge de travail des infirmiers(ères). Ps 1 /Durant les dix dernières années et plus, nous avons souvent entendu parler d'augmentation du salaire des médecins, mais pour ce qui est de l'augmentation du salaire des infirmiers(ères), c'est le grand silence. On parle beaucoup plus souvent de l'augmentation des heures de travail, qui donne comme mauvais résultat l'épuisement, alors que les Médias ne cessent de nous parler des primes versées aux médecins voici 6 exemples ci-dessous sous forme de navigation libre.
Le temps que les médecins priment sur des ajouts d'une variété de primes, elles les infirmières, elles dépriment sur les ajouts d'heures de travail qui ne cessent d’augmenter, au point d'en faire supprimer leur congé régulier, qui un jour va devenir leur congé de maladie obligatoire. Ensuite le gouvernement se demandera pourquoi les jeunes ne s'intéressent plus à cette profession, alors qu'ils sont les premiers à en être les grands responsables de la destruction.
Ps 2 / Je suis convaincu dans le 100% que toutes les infirmières sont d'accord avec moi, si j'écris qu'un code de déontologie ne doit jamais fonctionner sur la haute vitesse, sans oublier qu'il y a un lien très étroit entre les surcharges de travail imposées au personnel, et le non-respect du code de déontologie envers les patients, comme moi qui ai le privilège d'en vivre plusieurs expériences et d'avoir cette facilité de m'exprimer en comparaison avec plusieurs autres patients qui gardent le silence à cause des nombreux obstacles que leur impose le bureau des plaintes qui se vante dans les Médias d'une baisse des plaintes dans les Cendres Hospitaliers. Avec un certain sens de l'humour je pourrais écrire qu'il a été plus facile pour moi de détecter la qualité du travail fait par des médecins, des infirmiers(ères) et des préposés(es), tout en étant couché dans un lit d'hôpital, si l'on compare avec ceux qui sont assis au conseil d'administration pour prendre des décisions sans jamais être témoins de ce qui se passe sur le terrain (quand on est un(e) infirmier, infirmière qui subit des surcharges de travail excessives, au point qu'un jour les membres du personnel remplaceront les patients qu'ils soignaient). J'espère de tout coeur que cette réflexion sous forme de jeux de mots écrite par un patient patient, va éviter de créer de nouveaux maux auprès du personnel soignant. Je demande au gouvernement de veiller à ce que les Conseils d’Administration relisent leur code de déontologie médicale, pour leur apprendre à prendre soin du personnel soignant, avant de demander aux médecins, aux infirmiers(ères) ainsi qu'aux préposés(es), de respecter le code de déontologie médicale.
''Un patient qui a décidé de briser les murs du silence alors que sa vie est en danger à chaque hospitalisation.'' Voir les chaque lien mot présent
dans la réflexion ci-dessous...