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 ''Michel Bernatchez Blogue avec des /$pseudo-scientifiques$/''

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coeurtendre
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coeurtendre

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MessageSujet: ''Michel Bernatchez Blogue avec des /$pseudo-scientifiques$/''   ''Michel Bernatchez Blogue avec des /$pseudo-scientifiques$/'' Icon_minitimeLun 27 Jan 2014 - 23:10

''Michel Bernatchez Blogue avec des /$pseudo-scientifiques$/'' 200602e

Mère Teresa : tout sauf une sainte... - UdeMNouvelles

L’article intitulé Les côtés ténébreux de Mère Teresa qui a été rédigé par Serge Larivée, professeur au Département de psychoéducation de l'Université de Montréal, et ses collègues Carole Sénéchal et Geneviève Chénard, «déboulonne le mythe d'altruisme et de générosité accolé au personnage», pour conclure «à la construction d'un personnage auréolé de sainteté», selon un communiqué publié sur le site de l’Université de Montréal.

Mère Teresa n'était pas une sainte


Serge Larivée, professeur au Département de psychoéducation de l'Université de Montréal, et ses collègues Carole Sénéchal et Geneviève Chénard, dans le cadre d'un article scientifique qui sera publié dans l'édition de mars de la revue Studies in Religion/Sciences religieuses, présentent une analyse des écrits publiés sur mère Teresa qui déboulonne le mythe d'altruisme et de générosité accolé au personnage. À l'instar du journaliste et auteur Christopher Hitchens, abondamment cité dans leur analyse, ils concluent à la construction d'un personnage auréolé de sainteté - qui ne résiste toutefois pas à l'analyse des faits - et dont la béatification a été orchestrée par une efficace opération de relations médias.

« Alors que nous cherchions de la documentation sur le phénomène de l'altruisme dans le cadre d'un séminaire sur l'éthique, l'un de nous est tombé sur l'œuvre et la vie d'une des femmes les plus encensées par l'Église catholique et faisant aujourd'hui partie de notre imaginaire collectif : mère Teresa, de son vrai nom Agnes Gonxha, explique le professeur Larivée. La description qui en était faite était si dithyrambique que cela a piqué notre curiosité et nous a donné envie de pousser notre recherche plus loin. » 

Les trois chercheurs ont donc répertorié 502 ouvrages consacrés à la vie et l'œuvre de mère Teresa. Après avoir éliminé 195 doublons, ils ont consulté 287 ouvrages pour mener à bien leur travail d'analyse, ce qui représente 96 % de la littérature sur la fondatrice de l'ordre des Missionnaire de la charité (MC).Les faits déboulonnant le mythe de mère Teresa Dans leur article, Serge Larivée et ses collègues font aussi état d'un certain nombre de problèmes dont le Vatican n'a pas tenu compte dans le processus de la béatification de mère Térésa, soit « sa manière pour le moins discutable de soigner les malades; ses contacts politiques douteux; sa curieuse gestion des faramineuses sommes d'argent qu'elle a reçues et un dogmatisme excessif notamment à l'égard de l'avortement, de la contraception et du divorce. »

Les malades doivent souffrir comme le Christ sur la croix
Au moment de son décès, mère Teresa avait ouvert 517 missions accueillant les pauvres et les malades dans plus de 100 pays. Ces missions ont été qualifiées de mouroirs par des médecins ayant visité plusieurs de ces installations à Calcutta. Les deux tiers des personnes fréquentant ces missions espèrent y trouver un médecin pour être soignées et l'autre tiers agonise sans recevoir les soins appropriés. Les médecins y observent un important manque d'hygiène dans les locaux, voire de l'insalubrité, une rareté de soins réels, un régime alimentaire insuffisant et l'absence d'antidouleurs. Ce n'est pas un manque d'argent qui est en cause – la Fondation mise sur pied par mère Teresa a amassé des centaines de millions de dollars – mais une conception particulière de la souffrance et de la mort : « Il y a quelque chose de très beau à voir les pauvres accepter leur sort, à le subir comme la passion du Christ. Le monde gagne beaucoup à leur souffrance », répond-t-elle aux reproches, rapporte le journaliste Serge Larivée, professeur au Département de psychoéducation de l'Université de Montréal, et ses collègues Carole Sénéchal et Geneviève Chénard, dans le cadre d'un article scientifique qui sera publié dans l'édition de mars de la revue Studies in Religion/Sciences religieuses, présentent une analyse des écrits publiés sur mère Teresa qui déboulonne le mythe d'altruisme et de générosité accolé au personnage. À l'instar du journaliste et auteur Christopher Hitchens, abondamment cité dans leur analyse, ils concluent à la construction d'un personnage auréolé de sainteté - qui ne résiste toutefois pas à l'analyse des faits - et dont la béatification a été orchestrée par une efficace opération de relations médias.


« Alors que nous cherchions de la documentation sur le phénomène de l'altruisme dans le cadre d'un séminaire sur l'éthique, l'un de nous est tombé sur l'œuvre et la vie d'une des femmes les plus encensées par l'Église catholique et faisant aujourd'hui partie de notre imaginaire collectif : mère Teresa, de son vrai nom Agnes Gonxha, explique le professeur Larivée. La description qui en était faite était si dithyrambique que cela a piqué notre curiosité et nous a donné envie de pousser notre recherche plus loin. » Les trois chercheurs ont donc répertorié 502 ouvrages consacrés à la vie et l'œuvre de mère Teresa. Après avoir éliminé 195 doublons, ils ont consulté 287 ouvrages pour mener à bien leur travail d'analyse, ce qui représente 96 % de la littérature sur la fondatrice de l'ordre des Missionnaire de la charité (MC).

Les faits déboulonnant le mythe de mère Teresa 
Dans leur article, Serge Larivée et ses collègues font aussi état d'un certain nombre de problèmes dont le Vatican n'a pas tenu compte dans le processus de la béatification de mère Térésa, soit « sa manière pour le moins discutable de soigner les malades; ses contacts politiques douteux; sa curieuse gestion des faramineuses sommes d'argent qu'elle a reçues et un dogmatisme excessif notamment à l'égard de l'avortement, de la contraception et du divorce. »


Les malades doivent souffrir comme le Christ sur la croix
Au moment de son décès, mère Teresa avait ouvert 517 missions accueillant les pauvres et les malades dans plus de 100 pays. Ces missions ont été qualifiées de mouroirs par des médecins ayant visité plusieurs de ces installations à Calcutta. Les deux tiers des personnes fréquentant ces missions espèrent y trouver un médecin pour être soignées et l'autre tiers agonise sans recevoir les soins appropriés. Les médecins y observent un important manque d'hygiène dans les locaux, voire de l'insalubrité, une rareté de soins réels, un régime alimentaire insuffisant et l'absence d'antidouleurs. Ce n'est pas un manque d'argent qui est en cause – la Fondation mise sur pied par mère Teresa a amassé des centaines de millions de dollars – mais une conception particulière de la souffrance et de la mort : « Il y a quelque chose de très beau à voir les pauvres accepter leur sort, à le subir comme la passion du Christ. Le monde gagne beaucoup à leur souffrance », répond-t-elle aux reproches, rapporte le journaliste Christopher Hitchens. Et pourtant, lorsque mère Teresa a eu besoin de soins palliatifs, c'est dans un hôpital américain ultramoderne qu'elle les a reçus.


Contact politique douteux et comptabilité obscure
Mère Teresa était très généreuse de ses prières, mais plutôt avare des millions de sa fondation au regard des souffrances de l'humanité. Lors des nombreuses inondations majeures en Inde ou lors de l'explosion d'une usine de pesticides à Bhopal, elle offre ses prières ou des médailles de la Sainte Vierge, mais aucune aide directe ou monétaire. Elle n'a pas non plus de scrupules à accepter la Légion d'honneur et une bourse de la part du régime dictatorial des Duvalier en Haïti. C'est par millions que l'argent transitait dans les divers comptes bancaires des MC, mais la plupart des comptes étaient tenus secrets, énumère Serge Larivée. Compte tenu du « caractère parcimonieux de la gestion des œuvres de mère Teresa, on peut se demander où sont passés les millions destinés aux plus pauvres parmi les pauvres ? » se questionnent les chercheurs.


''Un excellent plan média vers la sainteté''
Malgré tous ces faits troublants, comment mère Teresa a-t-elle pu réussir à se construire une image de sainteté et de bonté infinie? Selon les trois universitaires, la rencontre à Londres en 1968 de Malcom Muggeridge de la BBC, un journaliste anti-avortement partageant les valeurs de l'aile droite catholique, est déterminante. Ce dernier décide de faire la promotion de la religieuse qui découvre alors l'efficacité des médias de masse. En 1969, il réalise un film dithyrambique sur la missionnaire et il en fait la promotion en affirmant qu'on peut y voir le « premier miracle photographique », qu'il attribue à mère Teresa alors qu'il aurait dû l'attribuer à la nouvelle pellicule mise en marché par Kodak. S'ensuit de nombreux voyages pour la religieuse sur les cinq continents, de nombreux prix, dont le plus prestigieux, le Prix Nobel de la paix. Dans son discours de remerciements, au sujet des Bosniaques violées par des Serbes et désirant avorter, elle dira : « I feel the greatest destroyer of peace today is abortion, because it is a direct war, a direct killing – direct murder by the mother herself. »

À la suite de son décès, le Vatican décide ne pas attendre les habituels cinq ans avant d'ouvrir le procès en béatification. Le miracle qu'on lui attribue est la guérison d'une femme, Monica Besra, souffrant d'une intense douleur à l'abdomen. L'application sur son abdomen d'une médaille bénite par mère Teresa l'aurait guérie, prétend cette femme. Pourtant, ses médecins sont d'avis contraire : le kyste ovarien et la tuberculose dont elle souffrait ont été guéris par les médicaments qu'ils lui ont administrés. Le Vatican conclut malgré tout au miracle. La popularité de mère Teresa était telle qu'elle en était devenue une intouchable pour la population, qui l'avait elle-même déclarée sainte. Pour le Vatican, quoi de mieux que la béatification, puis la canonisation « de ce modèle pour revitaliser l'Église et inspirer les fidèles surtout à l'heure où les églises se vident et l'autorité romaine décline », suggèrent les chercheurs.

L'effet positif du mythe de la mère Teresa 
Malgré sa façon douteuse de prendre soin des malades en glorifiant leurs souffrances plutôt qu'en les soulageant, Serge Larivée et ses collègues soulignent l'effet positif du mythe de mère Teresa : « Si l'extraordinaire figure de mère Teresa transmise à l'imaginaire collectif a suscité des vocations d'humanitaires authentiquement engagés auprès de populations écrasées par la misère, on ne peut que s'en réjouir. » « Il est fort probable qu'elle ait inspiré plusieurs travailleurs humanitaires dont les actions ont permis de soulager véritablement les souffrances des déshérités et de s'attaquer aux causes de la pauvreté et de l'isolement, et sans que ceux-ci soient portés aux nues par les médias, ajoute Serge Larivée. Malgré tout, il aurait été souhaitable que les médias qui ont couvert l'œuvre de mère Teresa fassent preuve de plus de rigueur », conclut-il.


Références sur l'étude 
L'article Les côtés ténébreux de Mère Teresa de Serge Larivée, de l'École de psychoéducation de l'Université de Montréal, Carole Sénéchal, de la Faculté d'éducation de l'Université d'Ottawa, et Geneviève Chénard, de l'École de psychoéducation de l'Université de Montréal, peut être consulté en ligne.

La version imprimée sera publiée en mars 2013 dans le numéro 42 Studies in Religion/Sciences religieuses.Ces travaux de recherche n'ont pas fait l'objet de subventions ou de financement particulier. Et pourtant, lorsque mère Teresa a eu besoin de soins palliatifs, c'est dans un hôpital américain ultramoderne qu'elle les a reçus.


Voici un groupe de volontaires qui rendent témoignage de leur expérience avec les Missionnaires de la Charité. Une expérience de terrain n'est pas comparable avec une recherche livresque, bien assis confortablement sans avoir aucun contact humain avec la souffrance humaine. 

 Missionaries of charity, 8 mai 2002
USJ sans frontières - Sur le terrain - INDE, CALCUTTA 

''Voici la réponse de Michel Bernatchez à Serge Larivée et Carole Sénéchal et Geneviève Chénard''

 Bonjour Mr Serge Larivée, je vous ai écouté très attentivement à l'émission de Denis Lévesque concernant votre approche sur la Bienheureuse Mère Teresa de Calcutta, mais je n'ai retenu que peu de chose de votre théorie de recherche trop scientifiquement plongée dans les 502 ouvrages livresques consacrés à la vie et à l'œuvre de Mère Teresa. 

Serge Larivée a écrit : "Après avoir éliminé 195 doublons, ils ont consulté 287 ouvrages pour mener à bien leur travail d'analyse, ce qui représente 96 % de la littérature sur la fondatrice de l'ordre des Missionnaires de la charité (MC)."

Michel Bernatchez explique à Serge Larivée : En vous écoutant, je me suis demandé pourquoi vous ne consacreriez pas le reste de vos jours comme chercheur scientifique dans les plus grosses bibliothèques des différents pays du monde. Il existe dans ces bibliothèques plusieurs livres de vrais récits basés sur des faits vécus et non sur des histoires puisées au coeur du monde de l'athéisme. En voici quelques-unes ci-dessous, ce sont les plus grandes bibliothèques actuelles dans le monde. 


Bibliothèque d'État de Russie à Moscou : 42 millions de volumes
Bibliothèque de Saint-Pétersbourg : 33 millions de volumes
Bibliothèque du Congrès (Washington) : 29 millions de volumes
Bibliothèque de Pékin : 22 millions de volumes Bibliothèque de Novossibirsk : 13 millions de volumes Bibliothèque de l'Université d'Harvard : 13 millions de volumes Bibliothèque nationale de France (Paris) : 13 millions de volumes British Library Londres : 12 millions de volumes New York Public Library : 11 millions de volumes British Library of Political and Economic Science : la bibliothèque de la London School of Economics,avec plus de 4 millions de volumes imprimés -constituant ainsi la plus grande bibliothèque des sciences sociales au monde.



''Michel Bernatchez Blogue avec des /$pseudo-scientifiques$/'' Mare_t10

Pourquoi une telle proposition à votre groupe de pseudo-Chercheurs?

Michel réagit:Remarquez que ma proposition est en lien avec votre recherche déjà commencée, mais qui porte peu de fruit si l'on compare votre recherche livresque avec les personnes de terrain qui se rendent sur place pour participer à l'oeuvre de feue la Bienheureuse Mère Teresa de Calcutta. En vous lisant sur le Web, vous Serge Larivée et vos collègues Carole Sénéchal et Geneviève Chénard, et en vous écoutant à l'émission de Denis Lévesque, on se rend bien compte que le débat se fait juste entre vous et Denis Lévesque, en absence des personnes mises en accusation. Vous vous octroyez le droit de critique envers une personne qui vous paraît avoir été injuste ou incorrecte de son vivant, comme moi et tous les autres aurions aussi le droit de recevoir vos critiques, mais avec des preuves qui existent réellement. Aussi quelle valeur a votre critique à l'égard de Mère Teresa de Calcutta et de son oeuvre, dans un débat comme celui que vous avez eu à l'émission de Denis Lévesque? 

Mère Teresa n'est plus, j'en suis bien d'accord avec vous, mais son oeuvre auprès des pauvres dans le monde existe encore puisque l’Ordre mondial des Missionnaires de la Charité compte huit branches de l'oeuvre de Mère Teresa que voici : Les Sœurs actives, les Sœurs contemplatives, les Frères actifs, les Frères contemplatifs, les Pères missionnaires, les Missionnaires laïcs, les volontaires et les assistants des malades et des souffrants.


Comment pouvez-vous qualifier votre recherche de scientifique quand vous n'avez pas le courage, vous Serge Larivée comme vos deux collègues Carole Sénéchal et Geneviève Chénard, d'accepter un face-à-face médiatique avec les responsables de l'oeuvre de la Bienheureuse Mère Teresa? Les vrais scientifiques aiment la vérité, en acceptant de mettre leur théorie scientifique à l'épreuve dans une confrontation avec les personnes concernées, surtout quand leur supposée science a pour source trois personnes allergiques à la religion catholique ; trois personnes qui osent porter des jugements sur une oeuvre sans que les personnes impliquées dans cette oeuvre aient le droit de parole sur cette supposée recherche scientifique qui n'en a que le nom.

Cher ami Serge, à vous et à vos collègues Carole Sénéchal et Geneviève Chénard, je rappelle que nous ne sommes plus dans les années 1950 mais en 2013. Si la Commission Charbonneau donne le droit de parole à des personnes qui viennent témoigner devant elle avec un droit de protection, alors combien plus les responsables de l'oeuvre de la Bienheureuse Mère Teresa devraient-ils avoir le droit de parole quand des pseudo-scientifiques comme vous et vos collègues Carole Sénéchal et Geneviève Chénard refusez un face-à-face médiatique ; celui-ci prouverait que la raison d'être de votre recherche est de nuire à l'Église en méprisant une oeuvre d'Église, parce que trois chercheurs incroyants - ''pour ne pas écrire athées'' - sont dans l'incapacité d'accepter la bonne laïcité.


Je mets ci-dessous des liens de personnes volontaires qui ont travaillé à l'oeuvre de la Bienheureuse Mère Teresa de Calcutta. Vous allez vous rendre compte de la différence entre votre pauvre recherche pseudo-scientifique qui passe par votre théorie livresque, et une recherche de terrain en se rendant sur les lieux et en s'impliquant directement avec les Missionnaires de la Charité. 


Si je compare avec votre supposée recherche scientifique, c'est comme si on demandait à un groupe de personnes athées de faire une recherche sur le bon fonctionnement de l'Église Catholique de Rome. Si la recherche de Serge Larivée, de Carole Sénéchal et de Geneviève Chénard avait suivi les structures de la Commission Charbonneau, elle n'aurait pas eu le droit de se prononcer sur l'oeuvre des Missionnaires de la Charité sans leur donner le droit de défendre leur propre cause devant les médias. En parcourant le Web on se rend compte de cette immense soif que peut avoir votre (trio de pseudo-chercheurs) >(Serge Larivée, Carole Sénéchal et Geneviève Chénard). Une immense soif ayant pour seule et unique raison d'écrire des livres en transformant la vocation de la Bienheureuse Mère Teresa de Calcutta, en faisant passer sa vie par l'entonnoir de votre idéologie qui baigne dans une laïcité non-respectueuse.


Si l'on compare avec l'approche de la Commission Charbonneau envers des personnes qui se sont laissé influencer par le monde de la mafia, ces personnes ont droit à la présomption d'innocence, jusqu'à preuve du contraire. Je me suis rendu compte en vous écoutant minutieusement concernant votre approche sur la vie de Mère Teresa, qu'il y a beaucoup plus d'interprétation sans preuve qu'il peut y avoir de preuves justificatives solides, ce qui fait de vos recherches scientifiques un vrai charivari. 


Dieu merci, Serge Larivée n'est pas à la place de la juge France Charbonneau, avec ces deux pseudo-scientifiques Carole Sénéchal et Geneviève Chénard, sinon combien d'innocents(es) seraient en prison et combien de coupables seraient en liberté!?
Ps: Moi Michel Bernatchez comme la plupart des croyants(es), nous ne vous demandons pas grand-chose : Nous voudrions que votre justice envers la Bienheureuse Mère Teresa comme à l'égard des responsables de notre Église, soit tout aussi équitable que celle dont on use à la Commission Charbonneau pour discerner la vérité du mensonge, en accordant un droit de parole aux personnes qui accusent comme aux personnes qui sont accusées. 

Que l'on soit accusé en criminelle ou victime d'actes criminels ; que l'on soit croyant, athée, ou que l'on travaille à la Ville de Montréal ou au Vatican, nous avons tous droit à une justice en équilibre pour tous(tes). Si vous Serge Larivée, ainsi que Carole Sénéchal et Geneviève Chénard, vous approuvez cette justice en équilibre pour tous(tes), je propose à tous trois de refaire votre approche médiatique, mais cette fois-ci en suivant l'exemple de la Commission Charbonneau : En donnant le droit de parole aux personnes qui représentent les Missionnaires de la Charité comme aux personnes d'Église qui ont eu la responsabilité d'étudier le dossier pour la béatification de la Bienheureuse Mère Teresa de Calcutta.
Je termine en posant une question à Serge Larivée, Carole Sénéchal et Geneviève Chénard : Si vous étiez à la place des Missionnaires de la Charité, aimeriez-vous que l'on parle de vous dans les médias comme vous l'avez fait à l'émission de Denis Lévesque et dans d'autre médias, en vous servant maladroitement de leur Fondatrice feue Mère Teresa sans qu'ils aient aucun droit de parole?

Ps: Vous remarquerez qu'il y aura une deuxième réponse faisant suite à celle-ci, car dans dans votre approche à l'Émission de Denis Lévesque vous avez mentionné le nom d'un personnage très important qui vient contredire votre pseudo-vérité scientifique. En attendant je vous laisse réfléchir sur ce personnage qui m'a permis une fructueuse découverte, une source de vérité qui expliquera la vraie raison d'être de votre démarche où l'ignorance est au rendez-vous de votre pseudo-science.

Je vous rappelle que ma démarche est très différente de la vôtre, je suis pour une justice en équilibre, je suis pour une laïcité empreinte d'amour et de respect.


En toute amitié Michel et 
France un couple de Trois-Rivières.
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