Michel Bernatchez blogue une citation avec le personnel soignant et les deux ministres/Dr Gaétan Barrette/Dr Philippe Couillard...
Citation à retenir/Sujet : Il n'y a pas si longtemps un médecin, après avoir regardé assez longtemps mon dossier médical, fixa son regard sur moi en prenant une grande respiration, et me dit ceci : Cher Mr Bernatchez, vous êtes un patient au cas rare, il n'y a pas grand-chose à faire pour vous. Alors dans une spontanéité de franchise naturelle et sincère, je lui demandai ceci : D'après vous, docteur, est-ce parce que je suis un cas rare que les Centres Hospitaliers qui semblent avoir attrapé le cancer de la bureaucratie, doivent faire d'un cas rare comme le mien un cas mort? La raison de cette citation réflexion est au-delà de toute simplicité : L'approche du personnel soignant à mon égard, a été cancérigène et m'a conduit vers une vie cauchemardesque.
Le personnel soignant, à savoir les préposés(es) aux bénéficiaires, ainsi que plusieurs infirmières, un grand nombre de médecins, y compris le dernier coordonnateur de l'urgence que j'ai rencontré, sans oublier le commissaire aux plaintes Mme Doris Johnson et l'ex-directeur le docteur Richard Bergeron, tous(tes) ont choisi de suivre le code de leur idéologie au lieu de faire l'option incontournable du code de déontologie médicale. Il y a eu de leur part un refus radical de se laisser guider par les recommandations écrites dans mon dossier médical. Chaque hospitalisation fut pour moi le lieu d'un grand combat avec plusieurs membres du personnel qui se refusait à lire les recommandations expliquant d'une façon pourtant très visible, qu'il ne faut pas m'exposer en-dessous des prises d'air par où entre l'air climatisé durant les périodes de chaleur, ou l'air frais de l'hiver, pollué par le chauffage au bois et d'autres produits toxiques, etc. D'ailleurs la ville de Trois-Rivières arrive au sommet des villes québécoises affichant les pires taux de pollution atmosphérique, suivie par Montréal, révèle un palmarès de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Ps: Depuis le début de ma jeunesse j'ai changé quatre fois de ville à cause de mes problèmes d'allergie, à cause de mon hyper sensibilité aux effets de la pollution atmosphérique sur l'environnement, surtout compte tenu du fait que je suis asthmatique sévère non-contrôlé ; il me semble donc que le personnel soignant manque de formation pour refuser de lire les recommandations des spécialistes dans le dossier de chaque patient, pour éviter de mettre la vie de chaque patient en danger, surtout si l'exposition peut conduire à une pneumonie, car on ne joue pas aux échecs avec cette maladie ; en effet, le mot asthmatique, et les mots allergie, pollution, environnement, air climatisé et chauffage au bois, ne font pas bon ménage avec les personnes atteintes d'asthme : les mots risquent de créer des maux conduisant un patient comme moi à la mort. Quand je suis venu vivre dans la ville de Trois-Rivières, je croyais que l'air était comparable à la Gaspésie durant l'été, mais je me suis fait jouer un vilain tour. Je demande aux deux Ministres qui sont médecins : Est-il normal qu'après avoir subi le syndrome de l'enfant battu pendant les 15 premières années de ma vie d'enfance, pour ensuite avoir consacré ma vie à m'occuper de la jeunesse dans les rues, et aussi avoir passé en grande partie ma vie à visiter les personnes malades dans les Centres Hospitaliers, dans les Centre D'Hébergement, ainsi que des milliers de personnes à domicile à toute heure du jour et de la nuit, alors je vous le demande, est-il normal aujourd'hui de me retrouver dans une situation qui ressemble presque à du harcèlement exercé volontairement par le personnel soignant, où la responsabilité relève de l'institution administrative qui se doit d'agir si elle n'est pas trop atteinte par le cancer de la bureaucratie?
Si l'institution administrative est trop atteinte parce qu'elle fait le choix de son idéologie cancéreuse au lieu de faire option du Code de déontologie médicale, alors le Gouvernement se doit de faire le ménage au coeur de l'institution avant que le coeur soit atteint lui aussi, par le cancer de la bureaucratie, pour protéger le personnel soignant et les patients fragiles comme moi et bien d'autres qui sont très vulnérables et n'ont aucune défense. Je demande au personnel soignant des deux Centres Hospitaliers ainsi qu'au deux ministres/Dr Gaétan Barrette/Dr Philippe Couillard, et au Collège des médecins, y compris au Comité du code de déontologie : Trouvez-vous normal que le personnel soignant mentionné ci-dessus ne prenne pas en considération les recommandations qui stipulent dans mon dossier médical qu'il ne faut en aucun cas que moi, Michel Bernatchez, je sois exposé en-dessous des grillages par où entre l'air, même pas quelques instants, comme le mentionne le Dr Laila Amrani, à cause du danger de provoquer chez moi une pneumonie?
1/Voici la note du 20/11/2017 ci-dessous.
Le Dr Laila Amrani a écrit dans mon dossier médical : Mr Bernatchez présente une intolérance à l'air conditionné, il ne doit pas y être exposé, même en courte durée. Dr Laila Amrani.
2/Voici la note du 20/11/2017 ci-dessous.
Le Dr Goulet a écrit : Ce patient ne doit pas être exposé à l'air climatisé en raison d'une grande intolérance. Merci.
Lors de ma dernière hospitalisation, j'ai rencontré le coordonnateur du Centre Hospitalier Universitaire de Sainte-Marie, espérant cette fois-ci éviter un combat de mots qui finirait par devenir un combat de maux entre moi et le personnel soignant, mais à ma très grande et mauvaise surprise, celui-ci ne fit aucune démarche auprès du personnel soignant, bien que je lui aie présenté une copie de mon dossier, qu'il a tassé du revers de la main en me disant : On ne peut rien faire pour vous, Mr Bernatchez ; en refusant de prendre connaissance du contenu de mon dossier! Il pointa seulement la signature du Dr Laila Amrani et me demanda : C'est qui ça?
Depuis ma rencontre avec ce coordonnateur, je me demande sérieusement en quoi consiste son travail puisqu'il n'a rien fait de précis qu'il aurait dû faire, si on se guide sur la lecture du Code de déontologie concernant la sécurité du patient. Vivre une expérience semblable pourrait faire croire à un gag de l'émission "juste pour rire", et pourtant c'est la réalité d'une triste histoire que l'on aimerait bien éviter de vivre. Par la suite je fus exposé à l'air en-dessous de plusieurs grillages d'aération, dans une rangée où se trouvaient plusieurs lits les uns à côté des autres. Ensuite, comme mon cas empirait et que ma toux s'amplifiait, j'en devenais dérangeant pour les autres patients. Sans que je sois prévenu par l'infirmière qui était venue se présenter à moi au début en m'expliquant que c'était elle qui s'occuperait de moi jusqu'au changement d'horaire de soirée, à ma grande surprise un infirmier qui semblait avoir un problème avec sa voix, ne pouvant pas s'exprimer du tout, a pris mon lit en main et l'a déplacé très énergiquement en me conduisant dans une petite chambre où il y avait deux grillages qui m'envoyaient l'air droit sur le visage. Je restai dans cette chambre de 9 heures am à 21 heures pm ; la femme médecin qui est venue me voir m'a déclaré que j'avais juste un petit problème d’influenza. Juste au moment où j'étais prêt à sortir, un infirmier courut derrière moi pour me prévenir qu'il fallait que je revienne pour me déshabiller afin de repasser un autre examen pour mes poumons, et pourtant la femme, le Docteur Gauthier, m'avait confirmé avec assurance que je n'avais qu'un petit problème d'influenza ; elle m'avait dit : Vous pouvez vous préparer à partir, je vais rédiger votre prescription de médicaments.
Je suis revenu sans trop comprendre pourquoi je devais tout recommencer, sans aucune explication de leur part. Mais cette fois-ci on me donna une première jaquette bleue, et une deuxième faite en laine de couleur beige, et on me demanda d’enfiler une paire de gants de protection en latex, c'est la première fois de toute ma vie que je passais un examen pour les poumons de cette façon, et ceci sans aucune explication.
Mais avant de partir, comme je suis asthmatique depuis plusieurs années, j'ai l'habitude de reconnaître les signes, les symptômes qui me permettent de détecter qu'une pneumonie frappe à la porte de mes poumons. La première pneumonie, c'est impossible, mais quand nous en faisons l'expérience à plusieurs reprises pendant des années, on finit par reconnaître les signes.
Aussi ai-je expliqué au Dr Gauthier que dans les jours qui allaient suivre, elle ne devrait pas être surprise que je sois dans l'obligation de consulter le Centre Hospitalier une nouvelle fois, pour me reconfirmer une deuxième fois que j'avais une pneumonie. Je me disais, comme je le disais à mon épouse : Pour qu'ils agissent ainsi, soit ils ont la maladie d’Alzheimer, soit ils pensent que c'est moi qui ai cette maladie, si je me guide sur leur refus de prendre au sérieux les recommandations écrites dans mon dossier médical.
Personnellement, moi comme mon épouse ça nous interroge de bien des façons sur la qualité des soins accordés au patient dans des Centres Hospitaliers que l'on dit (((Universitaires))), pour ne pas écrire Universi(terre), (((où le code de déontologie est à terre))), remplacé qu'il est, par le code de l'idéologie de chacun ; on fait ce que l'on veut, comme on le veut, et on dit au patient ce qu'on veut bien lui dire, sans aucune consultation de son dossier, c'est ce qui va à l'encontre du code de déontologie médicale. Dans les jours qui ont suivi, j'ai reçu deux appels téléphoniques pour me confirmer que je n'avais rien aux poumons, tout en me rappelant que ce n'était que l'influenza. Pourquoi me confirmer à trois reprises que je n'avais que l''influenza, pour ensuite me faire dire le 9 février par un autre Centre Hospitalier, que j'avais une pneumonie? C'est à n'y rien comprendre de la part de ce (((Centre Hospitalier Universitaire)))!
Après avoir reçu la médication prescrite par la femme médecin rencontrée le 3 février 2018 au Centre Hospitalier Universitaire de Sainte-Marie, j'ai commencé à prendre cette médication pour la supposé influenza, le 4 février 2018, pour terminer le 9 février 2018. Comme ma situation empirait de jour en jour, j'ai pris rendez-vous le 9 février au Centre Hospitalier Cloutier afin de recevoir une médication pour une pneumonie, et non pour un simple problème d'influenza.
La médication reçue par le Dr Mercier était celle-ci :(((1/Sept Riva Moxifloxacin aux 24 heures pendant 7 jours. 2/Le Dr Mercier m'a prescrit une médication de 25 Prednisone 5M à prendre par 5 comprimés pour une durée de cinq jours. 3/Quatre Novo Prednisone 50M un comprimé une fois par jour pendant quatre jours. 4/Dix capsules de Tamiflu Plaq 75 M deux fois par jour pendant cinq jours.
Tout ceci après avoir prévenu le coordonnateur des dangers que représentait le fait d'être exposé en-dessous des grillages par où passe l'air frais, sur une durée de 12 heures et plus, ce qui veut dire sans compter les heures d’attente à l'Urgence, après avoir prévenu le personnel plusieurs fois depuis ma deuxième plainte de 2012, quand je suis passé par Mme Geneviève Dessureault CAPP Mauricie/Centre-du-Québec.
Que se passe-t-il dans ces Centres Hospitaliers auprès du personnel soignant? On a beau être poli, très gentil, faire photocopier les documents, faire grossir les caractères, les faire plastifier, il n'y a rien à faire comme il n'y a rien à comprendre avec la mauvaise volonté du personnel.
« Entre guillemets »
« Entre guillemets », quand on voit l'attitude du personnel soignant depuis ces dix dernières années, on a comme l'impression que les Centres Hospitaliers Universitaires ne semblent plus avoir besoin du code de déontologie comme point de repère. Nous savons très bien quelle est la mission première du code de déontologie qui régit un mode d'exercice d'une profession (déontologie professionnelle) ou d'une activité en vue du respect d'une éthique. Le code de déontologie est un ensemble de droits et devoirs qui régissent une profession, un point de repère très riche pour la conduite de ceux qui exercent leur profession comme médecin, infirmier(ère), préposé(e), etc. Le code de déontologie est une source médicale qui sert comme point de repère pour enrichir les rapports entre le personnel soignant et les patients qui doivent recevoir des soins sécuritaires et appropriés dans les Centres Hospitaliers Universitaires présents dans presque tous les pays du monde. À voir ce qui se passe dans nos Centres Hospitaliers Universitaires où on ne respecte plus le Code de déontologie médicale, on a comme l'impression que les Centres Hospitaliers ont décidé de créer des gags pour les présenter au festival "juste pour rire", pour ramasser des fonds afin de protéger l'intérêt du personnel soignant et non celui des patients. Surtout ceux qui semblent ne plus éprouver aucun intérêt pour conserver le code de déontologie comme point de repère. En ce qui me concerne, j'aimerais bien que l'on change de patient pour ce qui ressemble à des gags, car ces deux Centres Universitaires sont en train de détruire ma vie avec leur approche non-professionnelle.
Quand un patient comme moi rencontre autant d'obstacles, sa vie devient cauchemardesque ; elle a commencé pour moi en 2008 jusqu'à aujourd'hui, en 2018, avec le dépôt d'une double plainte, l'une en 2012 et l'autre en 2013, malgré le changement obligatoire qui a été imposé auprès de Mme Doris Johnson, commissaire aux plaintes, par le Dr Richard Bergeron, ex-examinateur, qui a essayé de se ranger du côté de son confrère médecin, voulant me convaincre comme son confrère, qu'il y avait une forte probabilité que mon problème de poumons ne soit que mon seul problème, dans la mesure où je serais atteint d'une maladie mentale, propos avancés juste après m'avoir demandé si j'avais des valeurs concernant la croyance religieuse. Je lui répondis que oui, j'avais une croyance en Dieu en équilibre, tout en lui expliquant la situation difficile que j'avais vécue durant mon enfance, mais comme je le lui ai bien expliqué, j'avais tourné la page de mon passé pour vivre une vie en équilibre au présent.
C'est à partir de cette réponse que le Dr Richard Bergeron a commencé à aborder le supposé problème de santé mentale d'après son discernement fautif et idéologique, comme celui de son confrère médecin, celui qui avait tenu à mon égard des propos inappropriés qui n'ont pas été mentionnés dans le rapport de Mme Doris Johnson ; pourtant, c'est la première plainte que je lui ai exprimée verbalement. Voilà ce qu'est le bureau des plaintes dans les Centres Hospitaliers Universitaires.
Quand je me suis rendu au Centre Hospitalier du Sacré-Coeur à Montréal, j'ai raconté mon histoire à un spécialiste des poumons concernant le soi-disant problème de santé mentale avancé par le Dr Richard Bergeron et son confrère ; le spécialiste m'a dit : Oubliez leur histoire, c'est du n'importe quoi, votre problème est bien dans vos poumons et vos allergies, je ne vois pas pourquoi ces médecins ont abordé le sujet du problème de santé mentale dans votre cas. Oubliez ça.
Je voudrais rappeler au deux ministres/Dr Gaétan Barrette/Dr Philippe Couillard..., que c'est bien beau les nouvelles technologies médicales qui évoluent à une vitesse éclair, je ne suis pas contre, bien sûr, je suis pour à 100%, mais qu'en est-il de la protection des patients dans tous les Centres Hospitaliers du Québec et au Canada? Qu'en est-il de l'écoute entre le médecin et le patient, entre l'infirmier(ère) et le patient, entre le ou la préposée et chaque patient? Avoir de nouvelles technologies de plus en plus performantes, c'est au-delà de l'extra, c'est vraiment du merveilleux. Mais attention, soyons prudents et vigilants, si le même personnel qui est outillé avec ces multiples nouvelles technologies, si ce même personnel soignant perd le vrai sens profond de l'écoute entre lui et la personne malade en ne respectant plus le code de déontologie médicale, même s'il bénéficie des nouvelles technologies médicales, le fait de ne pas respecter le contenu du code de déontologie médicale en faisant option de son idéologie personnelle où l'écoute du patient devient un fardeau pour lui, à cause de cette absence d'écoute, les nouvelles technologies perdent toute vraie valeur. Si je me guide sur mes multiples visites auprès des personnes malades dans les Centres Hospitaliers, je me suis aperçu qu'à travers la sensibilité de mon écoute, le personnel qui s'est confié à moi avait autant besoin d'être protégé que les patients, tout comme les patients avaient eux aussi besoin de protection. Mais attention, attention, soyons prudents et vigilants, car avec ce que nous vivons depuis ces dix ou quinze dernières années, il ne faudrait pas qu'un médecin soit responsable au sein même de l'organisme choisi et mandaté par le gouvernement pour accueillir les plaintes des patients. Que le médecin s'occupe de chacun(e) de ses patients(es) est une chose, mais qu'un médecin exerce un mauvais contrôle sur un ou des patients, les empêchant de faire le dépôt d'une plainte, ou encore ne prenant pas celle-ci au sérieux, comme ce fut mon expérience depuis 2012, est une autre chose.
Il faut absolument que le gouvernement revoie sérieusement le dysfonctionnement des bureaux des plaintes en les sortant de l'intérieur des institutions de santé publique, pour un meilleur encadrement en lien avec le code de déontologie, en rendant chaque bureau des plaintes indépendant des Centres Hospitaliers afin d'éviter les mauvais contrôles qu'exerce le personnel soignant sur trop de patients. (((Les infirmiers(ères) comme les préposés(es) ne sont pas toujours libres de dénoncer les mauvais comportements des médecins.)))
Exemple : Combien d'infirmiers(ères) se sont confiés à moi en me disant : Vous savez, parfois, même si on voudrait protéger les patients en dénonçant des abus dans certaines situations, c'est le médecin qui a le dernier mot ; alors si on ne veut pas perdre notre job nous devons garder le silence, obéir et subir l’autoritarisme de plusieurs médecins avec leurs directives controversées ; ce genre de catégorie de médecins qui n'éprouvent aucun intérêt à respecter eux-mêmes le code de déontologie médicale. Dans mon langage coloré, je les appelle les médecins-dossiers qui regardent le dossier en préparant la prescription à l'avance, sans aucune écoute attentive auprès des patients.
Dans ces années-là où j'avais du plaisir à visiter des patients, je n'avais pas les problèmes de santé d'aujourd'hui. Mais aujourd'hui, c'est moi qui me retrouve comme patient, et tout ce qui a été dit par les infirmières, je l'ai vécu comme je continue à le vivre dans les deux Centres Hospitaliers Universitaires de Trois-Rivières, sans même que le personnel administratif et le personnel soignant apportent une correction pour ma sécurité. Comment ne pas croire ce que les infirmières m'ont raconté quand j'avais du plaisir à visiter les personnes malades, alors qu'aujourd'hui je me retrouve comme patient dans des situations où je constate que le personnel soignant est loin, très loin, de suivre les directives du code de déontologie médicale? Un jour, un de mes amis qui avait été infirmier en chef dans un Centre Hospitalier pendant plus de 30 ans, me raconta qu'un infirmier de son service avait un dossier très épais de plusieurs témoignages de patients(es) dénonçant ses comportements inappropriés, mais comme me le racontait cet ami qui était infirmier en chef, (cet infirmier fautif) a tellement été défendu par le syndicat du Centre Hospitalier, qu'il a fallu qu'il lui arrive un accident du travail pour démissionner de lui-même, mais involontairement, à cause de cet accident.
Toutes les connaissances que j'ai acquises au fil des années, tout en étant en contact avec des membres du personnel soignant, m'obligent malgré moi à expliquer qu'il faudrait une fois pour toutes repenser une meilleure approche concernant la protection des personnes malades à l'intérieur de nos Centres Hospitaliers, pour que les bureaux des plaintes ne dépendent plus des Centres Hospitaliers et fassent naître un nouveau système privé non-dépendant des Centres Hospitaliers, pour permettre à chaque patient de déposer sa plainte en-dehors de toute institution en lien avec le système de santé qui sème la controverse. Ce n'est pas pour rien que le sujet des caméras revient souvent dans les Médias.
Ps: D'après mes échanges avec plusieurs membres du personnel soignant, je crois que tout ce que j'ai écrit concernant la protection des patients, je crois qu'il faudrait en faire autant pour permettre aux infirmiers(ières) comme aux préposés(es) d'avoir une meilleure protection, avec un bureau des plaintes indépendant des Centres Hospitaliers, pour permettre au personnel soignant de déposer une plainte à l'extérieur des institutions médicales quand certains parmi les médecins contrôleurs, exercent trop de pression sur les membres du personnel soignant. Je suis convaincu dans le 100% que si nos gouvernements prennent position sérieusement pour un tel changement, cette nouvelle approche pourrait avoir une influence positive qui redonnerait aux institutions de la santé publique le vrai visage que voudrait lui donner le comité en charge du code de déontologie médicale.
Selon mes multiples expériences de terrain, je peux dire : Que ce soit un enfant battu, une femme battue ou une personne âgée exploitée dans son milieu familial, que ce soit un patient exploité ou un membre du personnel soignant dans un Centre Hospitalier ou dans un grand Centre d'Hébergement, ou encore une personne âgée vivant dans un foyer où il n'y a que 9 personnes âgées, que ce soit l'un ou l'autre, il faut éloigner la personne de l'endroit où elle a été exploitée, pour la conduire dans un endroit lui donnant accès à un meilleur environnement, là où elle se retrouvera en confiance auprès d'une personne à l'écoute attentive, qui saura faire naître auprès d'elle cette confiance qui lui permettra de témoigner de la forme d'exploitation dont elle a été victime.
Ps: Si je regarde ma propre situation comme patient de 2012 à 2018, je me sentirais extra mal à l'aise de me retrouver devant Mme Doris Johnson ou le Dr Richard Bergeron, ex-examinateur des plaintes. Parce que j'ai compris malgré moi qu'ils protégeaient plus le personnel que les patients, si je me guide sur la façon dont ils ont procédé dans l'analyse simpliste de ma plainte, et leur façon de ne pas être intervenus auprès des membres du personnel soignant où ma plainte n'a pas été prise en considération, si on se réfère aux recommandations des spécialistes dans mon dossier médical. Mais quand je me retrouve devant un organisme indépendant des Centres Hospitaliers Universitaires comme CAPP Mauricie/Centre-du Québec avec Mme Geneviève Dessureault, je me sens plus en confiance, bien que je n'aie pas vraiment compris pourquoi les propos inappropriés du médecin qui accompagnait les étudiants, n'ont pas fait partie de mes deux plaintes, surtout que mon épouse en avait été témoin, tout comme l'étudiante infirmière.
Pour le bien et la sécurité de tous(tes) les autres patients(es), j'aimerais que soit menée une enquête approfondie sur ces deux médecins. Je serais même prêt à rencontrer psychologue, psychiatre et travailleuse sociale pour démontrer que je n'ai aucune maladie mentale, du moins pour l'heure.
D'ailleurs j'ai travaillé à faire de l'accompagnement à domicile et dans des foyers ; très souvent l'organisme recevait des lettres de félicitations pour mon approche professionnelle auprès des patients, et je demandais que l'on me mette en contact avec les plus compliqués, c'était mon défi. Alors moi je dis aux médecins : Si vous avancez que j'ai des problèmes de santé mentale, soyez prudents, car j'ai des preuves qui attestent du contraire ; j'ai en effet passé ma vie à accompagner des personnes atteintes de problèmes de santé mentale. Pour en revenir aux bureaux des plaintes, je tiens à le rappeler une deuxième fois, il faudrait un bureau des plaintes pour le personnel soignant et un autre bureau pour traiter les plaintes des patients, et le tout en dehors de toute institution de santé publique qui dépendrait d'un organisme privé mandaté par le gouvernement. La raison en est simple, si on veut intéresser les jeunes à faire le choix d'une profession médicale comme infirmier(ère), il faut absolument éviter à tout prix que les médecins fautifs exercent une trop forte pression sur le personnel soignant, en donnant au personnel soignant les mêmes droits de protection qu'aux patients. Voilà, c'est avec plaisir que j'ai composé cette nouvelle réflexion sur ce sujet très sensible et mal compris, pour la simple raison que ceux qui travaillent actuellement en milieu hospitalier le font beaucoup plus pour conserver leur emploi qui leur permet d'avoir un salaire, que par un intérêt particulier pour la vraie protection et la sécurité de chaque patient, surtout les plus fragiles et les plus vulnérables. Moi ce que je fais au moment présent, c'est pour m'éviter de mourir d'une pneumonie, en prenant les moyens sécuritaires qui sont très bien expliqués dans le code de déontologie médicale, où l'on parle de la responsabilité du personnel soignant à trouver des moyens pour protéger chaque patient en lien avec sa maladie, surtout quand celle-ci est chronique. Mais ma démarche par l'écriture, je la fais aussi gratuitement, pour être le porte-parole de tous les autres patients que l'on appelle les sans-voix, ceux qui ne savent pas comment s'y prendre pour contourner les obstacles qui leur sont imposés par les faux bureaux des plaintes, qui peuvent conduire à la longue des patients fragiles et vulnérables, des personnes qui souffrent de solitude non-désirée imposée par leurs conditions de vie familiale, à des problèmes de santé mentale, voire au suicide. La solitude pourrait conduire à des problèmes plus graves de santé mentale comme la dépression, l'anxiété, surtout chez des hommes et des femmes qui se retrouvent sans accompagnement, seuls avec eux-mêmes, ne sachant plus trop quoi faire de leur vie pour trouver une porte de sortie. Pour donner un équilibre à ma réflexion, je dois dire qu'avec mes 42 années sur le terrain des personnes en difficulté de tout sorte, j'admets en toute sincérité que l'on se retrouve devant des patients(es), des infirmiers(ères), des médecins homme ou femme, il y en a pour tous les goûts. Dans toutes les catégories on retrouve du bon comme du correct, du très bon, comme certains dépassent le très bon, mais il y a aussi des personnes qui ne sont pas faites pour travailler dans des institutions de santé publique.
Et j'admets aussi avoir été un grand témoin privilégié quand j'ai vu des patients(es) abuser du personnel soignant, pour de multiples raisons ; le personnel soignant aurait sûrement plusieurs histoires à raconter. À la suite de cette réflexion il y aura un certain nombre de faits vécus, écrits à part, afin de démontrer l'urgence pour nos gouvernements de revoir l'encadrement des bureaux des plaintes en dehors des institutions, autant pour protéger les patients que pour protéger les personnels soignants.
Merci de m'avoir lu, je vous invite à signer
ma pétition en cliquant sur le lien
en vert ci-dessous.
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